vendredi 29 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Allons y pour la « poésie ». les mots à s’en arracher le cœur jusqu’au plus large de l’estuaire de l’aorte le sang qui coule en marge du malaise sans nom en essayant d’avancer. Du n’importe quoi en essayant de partir pour arriver, triste sans savoir pourquoi j’arriverai à recommencer et les mots malheureux encore une fois, écrire en pensant au géant qui paralyse dans le cercle vivant, s’écrire incapable soudain dans le faux en pensant à un ami. Se pendre virtuellement étouffé par les tentatives esthétiques, voyons bein voyons donc où tout ça mène survivre comme une vieille peau avant d’aller à l’abattoir… Je pourrais continuer longtemps comme ça c’est plus de l’écriture automatique que de la poésie. J’ai rêvé un peu cette nuit, les écrire c’est difficile. Allons y plus tendrement plus lentement en vous respectant dans cette tentative d’écriture. C’est la nuit et y’en a qui trainent et crient dehors la peur me colle au ventre. Que de bêtises cette nuit, hier j’ai regardé l’émission l’échappée belle, une région des vallées en reconstruction après le passage d’une tempête c’était beau à pleurer. Je suis niais je me dis souvent avec émotion que la France c’est aussi chez moi pourtant j’y connais personne mai j’irais bien y passé quelques mois. La matriarche a reçu mon livre elle semblait heureuse de l’avoir. J’en prépare un autre… J’ai mal au cœur, j’ai mal au corps on me dis que c’est de l’arthrose peut-être. Cette nuit je suis dans une impasse je pense m’être égaré à Lisbonne… Sur Facebook y’a une photo de Simca du même modèle qu’avait le patriarche encore des souvenirs. Y’a pas de musique dans mes mots c’est malheureux. J’ai toujours mes voyages en tête je sais pas où je ferai le prochain. Quelques mots encore dehors ils ont cessé de crier. J’arrive pas à écrire avec de la fioriture à mettre ça tout beau tout bon avec une bonne estime de moi. Je pense à l’auto-stigmatisation j’étudie ça, j’en parle mais j’arrive pas à m’en débarrassé c’est un travail de tout les instants. De la tendresse voilà de quoi le monde a besoin, écrire lentement tendrement faute d’amour. C’est toujours étonnant d’entendre les gens qui passent et parlent seul. Voilà! C’est la chute, la conclusion, l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

30/09/2023


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