Bonjour ! Bonsoir! Aujourd’hui je vous écris du matin. J’avais
besoin de dormir. Je crois être malade je sais pas ce que j’ai mais quand je
sors j’ai de la difficulté à marcher. Ce matin c’est mieux, dimanche ! J’ y
arrive pas mon discours est taris pour pas dire taré. J’arrive pas à me défaire
de cette auto-stigmatisation. Parfois j’aimerais être capable de faire deux où
trois choses à la fois. J’ai rangé le recyclage, encore une fois la voix d’un
grand écrivain s’élève contre les réseaux sociaux, les écrivains ont tous le
monopole de l’édition, ce que vous lisez présentement c’est pas de la littérature
selon eux, dans le temps on disait la même chose de la bande dessinée mais elle
s’est imposée. La radio est sur l’émission du week-end… Je l’ai fermé, tout ce
bla-bla. J’ai envie de vous dire… Mais non je garde ça pour moi. J’aime bien
les photos de ma nièce au Portugal elle fait pas le même voyage que moi ça se
passait dans deux villes… Je reviens ici le village se criminalise, les gens n’y
vont plus de peur d’être attaqué, entre Papineau et Berri ça pas de bon sens, si
on trouvait des logements à ces gens là ça aiderait peut-être. C’est le déclin du
quartier. Écrivain! Voilà ce que j’essais d’être je sais pas si j’y arrive. Je
trouve pas le propos, je vais peut être me rendre à la librairie pour acheter
de la lecture. Y’a aussi cette série que je regarde je vais terminer. J’ai hâte
que l’émission télé La grande librairie reprenne. Ce matin c’est pas la douleur
c’est la faiblesse, je mange un croissant me prépare un café, souvenir d’une
copine avec qui je vivais c’étais difficile, je préfère être seul ça fait moins
mal. Ça sent bon le café, la maladie je
me dis que c’est l’âge que ça va passé. J’y serai quand même arrivé ce matin.
Je pense aux photos de Porto, quand je me rappelle le voyage je me sens mieux,
je pense aux sympathiques chauffeurs. Je vais attendre au moins deux ans pour
repartir je sais pas où? Quelques mots encore, je vous aime lectrices, lecteurs
voilà! Je termine c’est la chute, la conclusion l’épilogue. Comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!!
À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!
03/09/2023
Tu couves peut-être le virus que j'ai attrapé, un gros rhume sinusite qui me force au repos. Quel beau pays que le Portugal. Nous on fera une croisière l'hiver prochain.
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