Bonsoir! Bonjour ! Je viens de faire un cauchemar j’étais
attaqué par un ancien copain. La première chose que je me suis dis en me
réveillant c’est « Je sais même pas si il sais ce que ça veux dire se
battre ». J’ai fait réparé mes lunettes et j’ai commandé une autre
branche. Je sais pas pourquoi je pense à ce gars et sa Harley-Davidson qu’il
avait tellement peur de se faire voler, ça enlève tout le plaisir d’avoir une moto.
Moi pour voyager je préfère l’avion… Quand j’ai quitté la maison paternelle j’ai
jamais réussis a trouver un logement décent dans cette maudite ville de Terrebonne,
ça fait des années, je vie dans le bas de la ville, le goulag centre-sud,
depuis presque trente ans et c’est bien. Je pense aux gonzesses de Terrebonne
qu’elles sèchent… Sur les rues du goulag le samedi soir on entends du hip-hop
qui sors des voitures, parfois aussi ce que je qualifierais de corporate rock,
de la grosse musique sale. Viens de me relever essaye de me relever, à la radio
c’est une interview avec un comédien populaire les gens rient beaucoup. On
entend Springsteen, c’est cher pour assister à son show… Je me souviens chez le
patriarche y’avait une lune au dessus de mon lit, l’espace me fascinait la
schizophrénie aussi. J’ai cherché un livre avec des photos de motards au début
de leurs existences en Californie. Je l’ai perdus. Je viens de me relever à la
radio on entends les oiseaux qui viennent de revenir. Je suis pas là pour raconter
les émissions, c’est dimanche, me suis rasé, pris une douche c’est le banal
quotidien. L’après-rasage ça sent bon, j’ai hâte d’être dans les rues et
ruelles d’une ville étrangère les jours passent quand même vite. Je pense aux
alcooliques comment il ne faut pas menacer de prendre leurs alcool. Le matin
arrive, le sommeil m’a quitté, encore une semaine et on va jouer au Théâtre du
Nouveau Monde. Hier j’ai regardé les rues de Lisbonne à la télé, je vais placer
la photo d’une moto de course européenne. Je le répète j’adore le parfum, ça me
détend c’est une bonne sensation le propre, l’odeur on paye pour mais pourquoi
pas. Quelques mots encore je respire fort l’odeur au nez. C’est la chute, l’épilogue,
comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère
!!!
07/05/2023
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