Bonjour ! Bonjour ! Ce soir je suis désolé j’ai pas un mot
pour me promener. C’est l’avant dernière nuit avant le départ je suis tout
mêlé. Je pars le premier juin j’ai peur de ne pas être à l’heure. Les horaires
ça fait pas de la très belle prose. J’ai
dormis un peu me suis préparé un café en croyant être le matin. J’espère que
mon pas régulier est revenus, je devrais plutôt vous parler de mon senti
comment parfois je suis touché par un texte et comment je manque de courage
devant toutes ces œuvres essentielles que j’ai a lire. On ne peut strictement
pas écrire et faire abstraction de la littérature… Souvenir de l’époque où je
travaillais pour le mouleur à la poterie. J’étais pas aussitôt payé j’allais me
saouler, l’alcool tenais une place centrale dans ma vie aujourd’hui j’oublie
pas… J’essais d’inventer ces moments où je trainais dans les rues de Terrebonne
Montréal à pied c’étais loin. Je m’étais recouché j’ai rêvé. Écrire c’est
revenir au cour de français du secondaire trois le soir le visage amoché, j’étais
bien peu de chose un pion dans trente élèves, des filles dont je me souviens à
peine. Je sais pas pourquoi j’espère une réponse à un courriel y’a pas vraiment
de discussion a avoir comme toujours c’est mon affect déglingué. Une autre nuit
et je pars, je pense à mes neveux à mes nièces que j’aime beaucoup. Écrire pour
moi c’est une façon de me réaliser de pas me laisser dépérir dans les années. Je
me fait une joie de partir quelques jours… Faire de mon mieux c’est toujours ce
que j’essais, après ce n’est plus de mon ressort. Y’a toujours quelque chose d’extraordinaire
dans les départs hier aux actualités ils disaient qu’il n’y avais jamais eu autant
de demande pour les vols outre mer. Hé oui! J’ai longtemps trainés dans les
rues ce que je faisait où j’étais ça intéressais personne, je courais après les
ennuis. Heureusement je m’en suis rétablis. J’attend un appel téléphonique de mon
bro avant de partir, quelques mots de bon voyage… Voilà c’est presque terminée
pour cette nuit, je pense que je vais manger un hamburger où de la pizza à l’aéroport
je termine avec la chute l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu
jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao
!!!
31/05/2023
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