Bonsoir ! Bonjour ! J’arrive pas à dormir, cette nuit il
pleut voilà c’est dimanche. Je crois que je vais y aller en… Quête à queue
mystère d’Yseult, ancré dans l’ignorance de la débile tempérance cherchant a dire,
au bout de l’espoir d’un charabia compris que par les parias, délire trop
simple qui va comme une plainte arrivée avant de partir. À quoi bon, à quoi
bon, aqua pourquoi ? parce qu’il ne reste plus que ça sans ivresse dans l’impuissance
nocturne vous préférez les mots rares pas rapport j’attaque la sale dans une
paix restreinte. Me tenir, me tenir comme au snack-bar sur le comptoir d’arborite
picoté. Ça parait facile mais c’est enrayé enroué, laissez moé donc faire mes
mots, toujours tout le temps tentant et pis fuck les assonances., souvenir du
cheminot devenu souffrant… C’est faible le temps n’y est pas je jette
protestant pollueur, monde intérieur impossible sacrament, vous avez tant de talent
rayant, rayant et rayant avant la
tentative on comprend pas vous dites ce n’est que mon discours angoissé sans
finalité. Ailleurs y’a beaucoup mieux comme plongée dans le monde sentimental.
Vous faites une lecture dans l’ombre tout près de ce que ça voudrais être, ne
vouloir que ça parce que sans désir devant votre regard méprisant vous avez vu mieux vous avez lu mieux..
Ouais! Tant de mots sans importance qui n’arrivent pas à dire jamais! Avec le
souhait de la beauté oubliée. Je désirais je désirais mais je ne suis pas ça je
le répète ça ne dis que l’impuissance en étirant… Et on s’ouvre le poitrail
ultime tentative pour laisser l’âme s’envolée pourtant il est pas question de
tuer. Pourquoi y arrivent elles alors que moi je n’arrive qu’à l’huile d’olive,
y’a des phrases dont on est pas fier. Allons bon oublions cessons cette
tentative de sérieux. Je ne peux encore une fois dire d’une voix. J’ai perdu le
fil sans avoir eu le rythme, le cœur me bat comme une caisse claire, cannibale cardiaque caravelle cadillac pourtant
c’est pas le dictionnaire. Ça sert à rien de vouloir shiner comme du brass
quand on est que de l’étain. Voilà ! J’arrive à l’épilogue, terminer en
attendant le pissenlit, la chute c’est toujours le plus difficile, je vous
remercie d’avoir lu jusque-là, quelques mots encore, au revoir !!! À bientôt
!!! Je vous laisse là, arrangez vous avec ça !!! Ciao !!!
23/04/2023
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