Bonjour ! Bonsoir ! Je viens de finir la lecture de Rue
Duplessis de Jean-Philippe Pleau un livre sur le transfuge de classe. Je
cherche à vous le résumer un gars de la classe ouvrière qui par des études en
sociologie réussis à s’épanouir dans un autre milieu que celui auquel il étais
destiné. Je sais pas si c’est le bon mot ? Je voudrais comparer son parcours
avec le mien truffé de petits boulots, d’échecs scolaires, et de maladie
mentale. J’ai pas réussis comme on dis, seulement l’âge m’a permis d’intégrer? Un
autre milieu, ça reste quand même celui des soignants mais j’y prend place
comme personne en rétablissement et formateur certifié. J’aurais peut-être apprécié
la sociologie mais je devais vivre de mon travail dans différentes shops dans
des boulots qui demandaient aucune qualifications, du balai brosse et autres
travaux manuel. Je suis d’accord avec monsieur Pleau qu’il faut pas voir ça
comme un parcours du haut vers le bas si je comprend bien, transfuge ça décris
bien et j’ai toute les misères du monde a identifier la classe d’où je proviens
disont que j’ai toujours été un prolétaire. Maintenant j’aime aussi à m’identifier
comme écrivain. Je comprend monsieur Pleau et ses difficulté avec ses parents.
Aujourd’hui je suis certain qu’on dis de moi que je pète plus haut que le trou.
On disait souvent t’a pas voulus aller à l’école endure maintenant ! J’ai pas
été capable d’apprendre un foutu métier. Dernièrement ma mère est décédée et c’est
comme si elle me donnait la permission d’écrire. Quelques semaines avant sa
mort elle m’avait demandé une copie d’un de mes livres. Il y a beaucoup de
courage dans le parcours de monsieur Pleau de son enfance qu’il a trouvé
difficile je crois à son travail à flipper des boulettes en gardant longtemps l’odeur
de fritures. Je m’arrête sur ces points j’étais pas un auditeur de ses
émissions à Radio-Canada quoi que j’aimais bien le regretté Serge Bouchard avec
lequel il a travaillé. Le sociologue nous dis, encore une fois si j’ai bien
compris, que c’est la société qui détermine notre place, faute de mieux. J’ai
trouvé le livre passionnant c’est à lire. Voilà! C’est la chute ! La conclusion
! La finale ! L’épilogue ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là
! Au revoir! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère ! Ciao !
19/05/2024
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