jeudi 29 octobre 2020

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Bonsoir ! Bonjour ! Le confinement se fait plus lourd, on peux pas aller prendre un café, juste flâné comme ça dehors et profiter du temps qui passe… La ville a acheté des chambres d’hôtel pour l’hiver des itinérants à la radio ce matin un campeur disait que les autorités se devaient de fournir en priorité un abri à ceux qui n’ont pas de tentes. Demain on travaille notre création collective c’est toujours amusant c’est aussi la paye, la pension. Je vais aller au marché c’est difficile de vous écrire autre chose que la routine. À l’émission Plus on est de fous plus on lit à Radio-Canada les critiques ont éreinté le recueil du poète Patrice Desbiens… J’aimerais dont ça écrire de la bonne poésie voilà une tentative

Au son du mal

Malfrats et pauvres gens

Enlignent la misère

À tous les temps

Écrire cachère

C’est un débile tourment

Comme quitter la chaire

Avant le bourreau allemand

C’était hier

On écrit plus ça maintenant

Des mots de pierre

Un sot sonnant

Bêtise d’une prière

Qui jure en sacrament

 

Voilà j’aurai essayé ce soir, quand j’écris l’anxiété diminue ça me calme. J’essais quand même de toujours vous toucher, c’est une question d’émotion… Je voudrais plus vivre cet énorme vide je croyais que j’allais en mourir des fois je pense que c’est le psychiatre qui voulait me tuer avec les médicaments pourtant je le répète je me rétablis, j’essais de me tenir loin des ennuis… Ouais! C’est toujours le journal du confinement avec l’ami on parlait des possibilités de guerre civile aux États-Unis d’Amérique, ça fait peur… Je ferais pas grand-chose là-dedans, je sais pas me servir d’une arme à feu… Voilà un autre voisin qui court après le trouble et qui reçois des étrangers, il est surement gay, il me rappelle Gérard et son pensionnaire. Je pense toujours à la France comment ils sont éprouvés, quand même ils sont fait fort… Je me souviens dans le temps des gens faisaient livrer de la pizza à une autre adresse pour embêter le voisin… Je trouve pas, je trouve plus, je veux juste que la machine plante pas. Y’a un parfum de mets chinois c’étais peut-être ça que le gars livrais… Je crois que les motos sont rangées il fait froid on ne les entends plus bientôt il va surement neigé… Quand j’arrête d’écrire trop longtemps je m’autodénigre c’est pas joli joli…  La matière grise, la folle du logis me laissent écrire un peu ce que je veux, libre rester libre d’écrire à ma façon essayer de faire passer de l’émotion… Mais non vous n’aurez pas le frisson. Je termine toujours de la même façon, la conclusion c’est difficile j’y arrive jamais à point, j’essais de vous voir lire à travers l’écran, à vrai dire y’a jamais de fin je recommence tout le temps, quelques mots encore découragez vous pas c’est juste pour vous saluer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!


1 commentaire:

  1. Bon texte et beau poème. Il y avait de beaux textes à la radio hier...Nous aurons un Halloween pas mal plus tranquille cette année... Bonne journée 🎃

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