vendredi 26 avril 2024


 Bonsoir ! Bonjour ! Y’a de la dynamite boul. Saint-Joseph à Montréal, j’espère que ça sauteras pas. Ce soir c’est encore un magnifique soleil. Ce matin j’ai refait mes exercices je pense que ça va aller mieux. C’est vendredi soir y’a des gens qui vont aller ouvrir le chalet. Côté bande dessinée je pense au génial Reiser c’était vraiment fort et original, y’avait de quoi rire longtemps. Je regarde ça je suis moins triste, les français avaient un regard différent. Iconoclaste je dirais c’est le bon mot pour de la bande dessinée. Y’avait Wolinski aussi… C’est le week-end mais on annonce de la pluie demain. L’humour dans la bande dessinée c’était du grand art avant que ces dessinateurs disparaissent aujourd’hui pour cette forme là je retrouve pas. Le gros dégueulasse il me manque, ses pustules son marcel, son nez de vérolé et sa barbe pas faite, ses sous-vêtements sales c’était tout un personnage. Les mouches se réveillent se chauffent au soleil. Ça va se gratter la bedaine. Fin mai Montréal va avoir son festival de la bande dessinée. Moi je suis plus depuis que les grands sont partis. Quand même ça reste toujours une bonne introduction à la lecture. Faut pas en rester là mais essayer de fréquenter, j’allais écrire la vrai littérature, mais la bande dessinée est de celles là, c’est authentique.  Je dis ça parce que je crois que c’est un art littéraire. Je lisait les magazines après les bandes je lisais les articles sur toute sorte de sujet c’était très pédagogique. Présentement je lis le Roman de ma mère qui se passe au Lac-Saint-Jean sur les chantiers quand maman et papa y étaient ça me rappelle des histoires que j’ai entendues. Au souper souvent papa parlait de son campe. C’est écrit dans le langage des bûcherons dans les chantiers.  Ils sont partis moi c’est comme si j’arrivais en ville mais je suis essentiellement urbain, j’ai jamais rêvé de travailler dans la forêt. Les ainés sont partis on va essayer de réinventer des histoires urbaines, la vie dans le centre-ville on pourrais même parler des campements, des itinérants… La toxicomanie ça fait pas de belles histoires au bout c’est toujours la mort. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

27/04/2024

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