Bonsoir!
Bonjour! Encore des problèmes avec le voisinage, le fils de l’ancienne voisine
qui envois quelqu’un, une jeune femme, le chercher à l’appartement que sa mère
a quitté. Il peu pas entrer les serrures ont été changé, le gars il est un peu
désorganisé… J’écoute les mots qui me parcourent la tête, comme souvent la nuit
j’ai peur je confonds ça avec de l’angoisse. Je reste calmement chez-moi… C’est
pas les vendredis soir du temps de ma grande folie, je préfère maintenant vous
écrire entouré de souffrant… Y’a toute sorte de monde, c’est le goulag
occidental un endroit où on exile les plus mal pris, les multi-poqués, les
services sont-là mais la plupart nient qu’ils sont malades, qu’ils ont des
difficulté. Ils trouvent tout ce qu’il
leur faut pour assouvir leurs mauvaises habitudes… Parfois je suis fatigué de
tout ce brouhaha la folie me gagne je cogne à la porte voisine, je sais qu’il n’y
a personne… À moins d’aller vivre en ermite dans le bois y’a pas moyen d’éviter
les voisins… Je sais pas pourquoi je reçois un courriel de nouvelles de la
Fédération des Travailleurs du Québec… Tout à coups ça se calme… Je pense à mes
dix-huit ans à mes petits frères, j’étais pas vraiment un exemple… Je
travaillais et le soir je trainais dans les bars jusqu’au moment où je suis
devenu malade. Maintenant je suis revenus, je suis pas millionnaire mais en
rétablissement, la vie m’a appris quelque petites choses qui me permettent de
mieux vivre… Ce soir tout à coup j’ai de la peine je sais pas trop pourquoi…
Soixante quatre ans j’aurai un peu vécu… J’ai terminé le mauvais roman, je vais
peut-être me rendre à la librairie mais c’est pas une sortie essentielle… J’ai
beau moi aussi souffrir de schizophrénie, je stigmatise le voisin qui verbalise
la sienne… Je peux avoir une très bonne philosophie droit et devoirs mais quand
il décompense je sais pas trop quoi faire. Le voisin c’est un grand poète qui
réinvente le langage, si seulement il l’écrivait… La lumière se fait plus rare
les journées raccourcissent , de plus en plus de gens font du télé-travail le
centre-ville ne seras plus jamais ce qu’il était… On parle de deux où trois ans
avant que tout soit rétablis, d’ici là je vais essayer de me trouver une
destination voyage… Maintenant la nuit les gens sont moins insouciant ça ne les
empêche pas de boire. Voilà, septembre débute un mois encore et les campeurs
devront se trouver un abri. Je sais pas ce qui arrive avec les snowbirds et la
Floride… J’ai une petite fringale, je vais peut être terminer en me demandant
ce que je vais grignoter…. J’ai ouvert un sac de chips crème sûre et oignon… Je
les mangerai pas toutes j’ai sommeil. Bon! C’est la chute l’épilogue lâchez pas
on y arrive presque. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là.
Encore quelques mots, à la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!!
Bernard
Pas facile pour ces gens souffrants, surtout en ces temps perturbés. Nous gardons espoir de retourner au Sud cet hiver mais l'avenir de la Covid aura le dernier mot...😐
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