Bonsoir! Bonjour ! C’’est la soirée la radio est sur la
rediffusion d’une émission. Ai réglé la
télé sur de la musique des années quatre vingt. C’est difficile d’avoir un
autre point de vue, je sais pas si c’est comme dans mon temps le vendredi soir
tout était plein. Hier j’ai parlé avec mon frère qui trouve que la publication
d’un livre c’est un bel accomplissement. Je le remercie. Au cas où vous
voudriez vous en procurer un vous avez qu’à m’écrire ici b.saulnier@sympatico.ca Ce que je vous écris là c’est un peu mon journal
des heures de rétablissement. J’ai eu de beau retour sur la publication de mon
livre. Je pense déjà a en publier un autre j’essais de me trouver un angle d’écriture.
Ce soir la musique est émouvante souvenir de plein de choses dans la vie on avait
toujours une musique qui nous accompagnait. Je me rappelle aussi des coups de
poings sur la gueule à la brasserie, l’ivresse rendait impulsif. Aujourd’hui en
après-midi c’est football, y’a déjà un bon moment que je me suis rendus dans
cette ville de banlieue où j’ai passé beaucoup de temps. La schizophrénie c’était
d’aller voir ailleurs si j’y étais. Je me briserai, je me briserai sur les
chemins visités, j’y arriverai pas les grands ont déjà rédigé, poétisé. Le défi
c’est toujours d’écrire quelque chose de fort. Une lectrice m’a flatté en
disant que j’étais très cultivé je vais le prendre. J’écris en soirée avec
difficulté , c’est remember the eighties tout anglophone, je me vois mettant
des pièces dans le juke-box, de la bière j’en buvais une j’en pissais six
toujours a faire des allers retour entre ma table et les toilettes. Tout ça c’étais
pas une vie, rien de constructif l’alcool, toujours l’alcool je m’y perdais le
retour a été long. Je dirais que c’est une histoire très contemporaine de la
banlieue Montréalaise. J’aimais bien avec un ami qui avait une voiture me
rendre dans le vieux-Montréal j’avais toujours d’étranges émotions quand on
traversais le pont Pie-IX et qu’on arrivais à Montréal. Les lumières de la
ville longtemps plus tard j’ai réalisé comment c’étais difficile d’y habiter.
Quand on roulais dans les rues j’étais excité, la nuit était arrivé c’étais pas
des virées d’acier. Je sais jamais comment terminer, en tout cas merci d’avoir
lu jusque-là !!! C’est tout, à la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!
29/10/2022
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