Bonsoir ! Bonjour! J’espère que vous allez bien. Je salue
bien bas la lectrice qui prend la peine de me commenter elle donne vie à tout
ce que doit être la « littérature » un échange. Merci! Cette nuit
comme toujours je cherche mon propos. Je pense à mon premier resto à Porto je
suis tombé sur des gens sympathiques qui m’ont servis la célèbre Franceshina le
repas typique de Porto. J’essais de me trouver une destination pour l’an
prochain cette fois ci j’aimerais bien
le Vietnam où la Thaïlande mais accompagné, c’est encore loin je verrai… Je
pense aux changements climatiques c’est rien d’attirant. Bon ! J’ y vais maintenant
dans l’ordre de l’émotion comme toujours j’essais de nommer cette émotive précarité,
cet état d’esprit que les psys se plaisent à analyser ce versement presque
déversement dans l’oedipe devant l’écran, les mots qui me renvoient la balle et
que j’essais de dire et d’écrire, sans pouvoir le suivre je pense au philosophe
Deleuze, l’anti-oedipe un concept très compliqué pour moi. Enfin comme toujours
chez les plus récents psy et philosophes il est question de sexualité disont
que je n’ai plus cette vie là je la trouvais malheureuse et douloureuse. Je
crois qu’il est possible de se rétablir de se réaliser sans avoir une vie
sexuelle en analyse transactionnelle on parle de sublimer… J’ai longtemps été à
la recherche d’une partenaire je manquais de subtilité mon corps transpirais le
désir… Tout ça c’est terminé maintenant je m’abstiens tout ça c’est de l’ordre
de la confidence. Je peux pas écarter Narcisse avec qui j’ai longtemps partagé
dans les bars à miroir, mon soliloque se faisait des commentaires devant mon
reflet, ça me menait que dans la folie la schizophrénie plutôt que l’oedipe.
Combien de temps combien de mots avant de faire le saut vers l’antithèse l’anti
mots ne vivre que le sursaut d’un noyé à l’eau un malheureux plein pot une peau
sur le dos une envie un désir un défaut. Voilà! On y est presque, c’est lourd
ce que je vous écris cette nuit, je pense à ce miroir tellement présent chez
les toxicomanes, il deviens tordus et distordus. N’empêche la douleur ne
disparait qu’un moment. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue comme
toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! N’ hésitez pas à me
communiquer votre appréciation. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère
!!!
11/07/2023
Un texte dense en contenu mais intéressant. Bonne journée
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