jeudi 22 novembre 2012

Here is something for you and me

Bonjout! Bonsoir ! Bienvenue dans le goulag, j'espère que vous avez pas froid aux yeux, le goulag c'est le coeur de l'horrible, on pense à un ami qui couche à l'old brewery mission et qui a des difficultées a se reloger. Comme toujours il est tôt j'ai de la difficultée a écrire, a m'exprimer, je pense aux jolies italiennes de Trieste qui nous ont si bien accueillis avec un mini-bus et la visite de quelques coopératives dédiées à l'intégration sociale. J'ai vu beaucoup de mes pairs à Trieste soit au restaurant coopératif soit dans la clinique médico psychiatrique... Hier j'ai reçu une lettre qui me place en première ligne pour les soins psychiatrique avec un médecin généraliste il doit avoir mon dossier... Votre humble serviteur s'est fait photographier à la station de radio communautaire du goulag, on va encore voir ma grosse face!!! Pour ma lectrice secrétaire de L'Outaouais, oui j'y étais vraiment à Milan mai j'ai de la difficultée à le croire... J'ai pogné un rush de paparmane rose... C'est d'une saveur forte et sucrée, malgré tout le goulag ne dors jamais y'a toujours des voitures et des hobos, ce matin c'est l'émission de radio qui démystifie la folie mais je crois que malgré tout elle stigmatise on y dévoile notre maladie, on peux nous reconnaitre à la voix mais faut pas trop s'en faire, les gens portent pas nécessairement attention à ça... Je pense au vieux psychiatre rencontré à Trieste qui avait toujours, et c'est pour le mieux, les valeurs de la révolution française, liberté, égalité, fraternité ça devrais toujours être ça qui nous guide. Je pense à Bassaglia au cheval bleu, l'internet c'est mon cheval bleu mon moyen de communiquer avec l'extérieur... Hier j'ai renconté un "spécialiste" du film Mon oncle Antoine et aussi de la musique de Ennio Morricone, il se dis ostracisé pour des raisons politiques, ça fait des années qu'il tiens ce discours là, il s'est pas encore exilé au goulag certains de mes amis sont toujours près de l'itinérance, ils se font évincer de leurs logements pour n'avoir payer qu'une partie du loyer. On y vie au goulag, on y vie, le projet chez soi aide les itinérants a se loger, parfois ils se logent mal dans des loyers infestés de vermines bye! Bye! la santé mentale. Toujours a sucer des menthes roses... Il devrais neiger ce week-end doit on se réjouir ou pleurer. J'aime beaucoup quand le goulag deviens blanc et que l'hiver assourdis le bruit de l'extérieur... Cette semaine votre humble serviteur s'est tapé une boîte de gâteaux Mae West, de la vrai gourmandise, une folie pour le sucre... Je crois que ce seras tout! Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Candy Berny

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