dimanche 21 octobre 2012

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je viens d'apprendre que ce que j'essais de faire avec l'écriture c'est de l'expressionisme, une école pacifique allemande d'entre les deux grandes guerres, une école méconnus entre l'impressionnisme et le surréalisme , le dadaisme. Si j'ai bien compris la littérature dois me changer et donc changer le monde et là je pense au personnalisme d'Emmanuel Mounier au côté spitituel de l'écriture.... Chez les expressionismes on étais non violent on leurs a accolé les noms de Kandinsky, Romain Rolland, Bert Brecht, le Bauhaus aussi. L'expressionnisme c'est une école mineure partagé entre l'Allemagne, La France, la Russie une époque ou on le sait aujourd'hui, le nazisme aveuglait les allemands qui haissait le sentiment et son expression, on était pour la force de la nature la description de portrait de la nature... Je dois vous dire comment je me sent quand j'écris ça, me semble que la poésie c'est pas fait pour exalter la nation c'est un regard sur soi tout intérieur ou on espère que l'autre va se reconnaitre, c'est parfois surréaliste... Ça vous intéresse de savoir qu'hier j'ai mangé du tofu et non j'étais pas assis sur le futon. Cette nuit dans le goulag comme toujours on entend les camions reculer. Mais moi à l'intérieur je me sent pas bien, j'ai une douleur, Antoine l'appelle chien qu'on peux maltraiter comme n'importe qui. J'ai mal à l'existence, l'âme en labour, l'âme qui gêle, la mort automnale qui essais comme à tout les ans de m'abattre dans son temps gris et lâche... Je manque de mots pour évoquer le malaise, mon âme en charpie dans mon corps qui s'écartèle, s'empale sur le pieux de l'ignorance. Entendez vous? Entendez vous? Le goulag qui rêve à des cieux clément... Oui y'a longtemps j'ai eu peur puisqu'il faut le dire, l'écrire, une peur de fou, une peur de la mort, maintenant j'attend d'y être pour la nommer... Étrangement cette nuit je me suis levé somnanbule qui cherchais un ice pack, j'en ai jamais eu... Ouais!!! À cinquante six ans on dors plus comme un bébé. J'ai souvenir il y a longtemps d'avoir téléphoné chez mes parents la nuit on m'avait dis de ne pas recommencer. Je suis resté avec ma profonde solitude mon immense douleur et j'ai pleuré, y'avait personne... Ce que j'ai c'est une fracture de l'âme par ou s'envole le bon, ce bon qui a peur de la révolution, de la contrition, ce mot appris dans une prière on apprend ou on peux.. Les expressionistes étaient tout sauf nazi, on les a même persécuté, pour les nazis leurs littérature était moralement innaceptable. Je crois que pour eux c'étais de l'art dégénéré. Je suis dégénéré si ça veux dire être faible et montrer son malaise sa souffrance que j'ai de la difficultée a nommer dans et par mon inculture, mon mélange de synapses et de neurones handicapées qui me fait voir des espions un peux partout. Je termine là dessus, veuillez accepter l'expression de mes sentiments distingués. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!! Personnaly Berny

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