mercredi 20 novembre 2013

Here is something for you and me

Bonjour! Bonsoir! Je suis debout très très tôt, ce matin je chauffe c'est froid dehors. J'essairai de vous parler du goulag occidental. Je crois que certains lecteurs connaissent bien le goulag oriental et j'amène mon âme avec moi, cette nuit c'est silence je n'entend que le frigidaire. Les belles nuits de l'itinérance dans le goulag sont passées plus question de coucher dehors faut se trouver un refuge. Certains vont faire les serins et s'accrocher chez un gay en mal de solitude. Dites moi pas que je suis homophobe les gays aiment bien le jeunes hommes et y vont parfois de beaux gestes qui se retournent contre eux. On héberge quelqu'un et on fait de beaux plans pour le futur, on iras vivre à la campagne, on élèveras quelques animaux et on regarderas nos vieux jours passé dans la sérénité. Désolé il est trop tard le serin s'est remis a consommer, l'appart est devenue une piquerie et on devras quitter en laissant tout derrière, le serin est devenus menaçant. C'est la brisure, la cassure de l'âme, une fracture romantique homosexuelle qui essais de vivre une vie de straight. On a toujours aimé les belles choses l'amour en est une même si on a jamais cessé de bitcher là dessus. Ouais!!! Je laisse ça comme ça vous aller croire que je suis gay mais je ne fait qu'observer mes voisins du goulag. Quoi vous dire de mon âme que vous ne sachiez déjà... Dans le goulag y'a des usines désafectées du beau temps des chemins de fer... Y'a un atelier informatique aux shops Angus que certains d'entre vous connaissent peut être, les trains c'était à l'époque du trans-canadien qui rivalisait avec le trans-sibérien.Mon âme voudrait changer d'exil, de vie aller voir plus loin si j'y suis. J'ai comme un poignard dans le corps, la solitude me pique ma nuit d'angoisse. Je suis pas Dostoïevsky... Ce matin j'ai pas encore pris ma douche je suis encore dans le parfum viril de la veille, façon élégante de dire que je pue.  Mon exil c'est pas parce que je ne me suis pas battus à Stalingrad de toute façon j'y aurais pas survécu. Je suis exilé pour cause de spéculation, dans ma région il était impossible de trouver un loyer abordable et encore plus impossible de louer quelque chose d'autre qu'un sous-sol qui nourris la schizophrénie. Parfois je mêle mon mal à l'âme avec un mal d'estomac... Vous voyez je radote en attendant les froids sibériens, les nuits de froid à pierre-fendre du goulag occidental. Vous vous en crissez pas mal du goulag, vous êtes sollicité de partout, achetez donc un journal de rue ça allège l'exil des itinérants. C'est toujours la nuit il est deux heure cinquante. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Friendly Berny

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