vendredi 29 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! De retour de la répétition, ai mangé une pomme et une soupe. La télé diffuse les actualités, je suis content de ma semaine ça été très créatif… Encore ce soir je me branche sur mon sentis, j’ai rencontré quelqu’un qui m’a aidé a m’impliquer dans le cabaret poétique. Je suis content il semble aller mieux… Aujourd’hui j’ai pas entendus trop de bêtises moins que dans mes journées « normale » je dirais. Il fait un temps superbes les motards à la Harley-Davidson sont sortis. Je me sent bien j’ai pas envie de vous revirer ça négatif comme toujours je fait de mon mieux, j’ai pas envie d’entendre des histoires d’horreur de comédien. Je pense à la pièce Appelez-moi Stéphane, ça pas reviré comme ça. Mais oui je me donne la permission de me prendre pour un auteur, un écrivain. J’essais toujours de rester loin de la posture du demandeur. Je fais et j’essaye de donner, si ça vous plait pas c’est pas plus mal. Pendant ce temps là les groupes communautaires ont besoin d’argent, c’est toujours des petits salaires là-dedans ont voudrais bien une augmentation substantielle du salaire minimum, semble que je mêle tout… Fou! Fou une fois! Fou toujours pourtant je me rétablis, ce midi je me disait qu’il y avait pas pire conformisme que celui qui veux avoir l’air non-conformiste, c’est pas original, à un moment la différence c’est bien mais toujours non! Lentement j’avance dans mes écritures… C’est rien de transcendant, pense à tout ces bistros où j’avais l’habitude de boire ils sont tous fermés, ce soir les gens sont surement sur les terrasses… Je pense au Club St-Jacques pas au Pub St-Jacques… Je fréquentais le pub, une femme m’avait dis s’en tenir au Saint-Laurent frappé je croyais que c’était le bar de ce nom sur la rue Saint-Laurent, j’avais pas compris que c’était de l’eau avec de la glace… Bon! J’ai quitté mon sentis pour un moment, je file pas si mal…  Qu’est-ce qu’ils font ils bombardent des hôpitaux! Méchants salauds!!! C’est vendredi y’en a plusieurs qui vont aller se détendre en sirotant quelques bières. Moi quand je disais que j’en prenais une couple, ça finissais jamais la dalle qui éclusais!!! Je m’ennuis pas de ça, je crois que j’ai réussis à me bâtir un monde intérieur et spirituel riche. Ce soir y’a pas de douleur malgré la guerre outre-mer je crois que la vie vaux la peine. J’aimerais ça que mon écriture sois zen mais je suis trop bavard, y’a toujours le discours en bruit de fond… Un mantra, que je répète comme une prière, c’est ça je prie parfois je crois qu’on m’entend même si je prie en silence… Ce soir si vous savez pas trop quoi faire dites une petite prière pour moi, je vous remercie à l’avance de la même façon que je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici, je sais plus comment terminer j’essaye de respecter les barèmes que je me suis donné. Encore merci!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

jeudi 28 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Parfois je me laisse emporté dans des propos controversé mais j’ai pas encore trouver la façon d’écrire neutre. Peut-être qu’on retrouve ça dans la littérature administrative et encore ça peux faire pleurer quand on envoie des gens au chômage. Étrangement ce soir après une excellente journée, je me sent mort. J’ai vu un livre de Jean Larose qui s’intitule Google goulag, je sais pas où il a pris son idée? Une émission de radio aussi qui disait que les blogueurs ça sert à rien, bein voèyons!!! J’ai jamais vu une chose comme la blogosphère libre, à laquelle on demande de respecter une régulation. Moi, j’écris pas pour faire des phrases aussi laide que la précédente, je veux juste mettre des mots sur ce que je sent et ressent, j’ai de la peine j’aimerais beaucoup ne pas être un gars triste mais c’est dans moi… Je pense à un collègue hospitalisé ce soir, je crois qu’il est comme moi qu’il s’en demande trop… Pourtant je fait juste ce que je peux et de mon mieux après ça ne m’appartiens plus, vous devez être fatigué d’entendre ma litanie, ce soir dans le goulag occidental coin Saint-Laurent et Sainte-Catherine c’étais bien, le ciel bleu, le soleil et les piétons qui passent y’a quand même parfois les miséreux oubliés par le Bon Dieu. Trompez vous pas je suis triste mais reconnaissant. J’ai qu’a me rappeler avant j’étais beaucoup plus suicidaire. J’ai de la difficulté a croire au bonheur éternel. Je crois que les bonnes choses ont toujours une fin, c’est assez affreux, mon constat c’est que j’en ai plus derrière moi qu’en avant pourtant… Tout à coup je suis triste, les larmes me montent aux yeux, je pense à tout nos grands-pères c’est eux qui ont construit le pays maintenant c’est moi le presque vieux. J’écris sur et dans le goulag pour laisser une trace dans cet univers de fou. Pour le cabaret Poétique que nous montons tout le monde semble avoir du plaisir, c’est bien, ils nous reste deux générales avant le show, je crois que ça va être bon. En même temps je pense aux migrants en Europe, on laisse même pas les chiens vivre comme ça, de toute façon je suis pas terrible en politique internationale, derrière tous leurs ministres je vois une police… J’aime beaucoup la France mais je trouve que ça brasse trop c’est pas le temps d’y retourner. Je regarde au ciel essais de voir un avion et sa trainée de fumée en altitude. Hé oui! Je vais repartir un bon matin prendre le train pour l’ouest Canadien ça aussi c’est loin. Je sais pas mais je crois que dans l’illustration d’aujourd’hui on peut parler d’ogive pour un vitrail. Le lecteur designer à la retraite pourrait m’indiquer si je me trompe. Encore quelques mots, la télé nous emmène une jungle civilisé, je crois pas que c’est comme ça sans équipe de tournage. Je termine là-dessus en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 27 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ce soir j’ai envie de parler orientation sexuelle, juste vous dire que j’ai jamais eu de relations sexuelles avec un homme ce qui m’empêche pas d’avoir des amis gay comment vous dire que ça me blesse quand j’entends ces mots, fifs, moumounes, tapettes et plusieurs autre quand bien même je coucherais avec des hommes ma vie sexuelle vous regarde pas, ça ne regarde que moi… Ce soir ça pue,  j’ai ramené cette odeur de la répétition, je reviens dans mon sentis, selon moi un schizophrène-paranoïaque avec co-morbidité ça toujours peur de se faire sodomiser et j’en suis un, on me dis toujours que c’est pas bon de m’ouvrir là-dessus mais si je dis pas que je me rétablis qui va le dire? Tiens tout à coup ça sent l’ail, je vous raconterai pas mes nombreuses psychoses c’est toujours ça qui arrive quand je m’implique dans des projets artistiques, ce soir je suis chez moi, je peine encore à vous écrire, je veux pas aller dans l’inconscient qui par son fait est absent, vous pouvez peut-être le lire, moi je délire en me réjouissant d’avoir mangé de la soupe au pois maison. Je suis presque un vieil homme, un sexagénaire, je pense aux amis avec qui je joue, j’espère que j’ai un peu de talent, hier je vous ai pas parlé de certains problèmes ça s’est bien réglé, j’ai été délicat je crois et ça a bien tourné… Je pense à certains collègues que je soupçonne de s’adonner aux plaisirs interdits, le jour en groupe… Les plaisirs interdits c’est pas ce que vous croyez c’est plutôt des substances illicites, c’est relaxant, ça détend, ça permet de faire le rigolo mais c’est beaucoup plus difficile à jeun… Si vous vous sentez visé parlez m’en, je disais au collègue que ça me dérangeais pas que la terre entière se saoule mais pas moi, c’est une forme de sentis que je vous écris là, la nuit est mort le jour est roi… Je crois que sortir le soir c’est surtout pour tuer les angoisses pour nourrir les rêves qu’on est incapable de réaliser quand la nuit a cessé d’être magique faut la laisser aller et vivre à plein tube le jour… C’est toujours après, Ferré chantais « Il n’y a plus d’après à Saint-Germain-des-Prés » ça a jamais commencé pourtant on vas y arriver… Je sais pas si c’est bon ce que j’ai écris pour le Cabaret mais la personne qui fait la mise-en-scène a fait une belle job d’assemblage. Demain c’est texte et musique j’ai hate d’entendre… Quand je suis au théâtre je pense à un ancien copain qui rêvait de ça…  Lentement j’y arrive, j’ai hate d’avoir terminé pour ce soir, encore quelques mots je crois perdre la psychose c’est une bonne chose, les voix elles sont vrai dans les répétitions, ma voix me dis que c’est bon. Voilà comment ça se termine ce soir. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!! Ciao!

Bernard

mardi 26 avril 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Viens de regarder et d’écouter une très touchante chanson de Richard Séguin notre Bruce Springsteen québécois. Ce soir c’est tranquille chez moi, je divague et ne suis pas en vogue avec mon goulag avec mes logues pourtant une plogue c’est cent dix où deux cent vingt, je joue pas dans le fourneau je veux pas me brûler les mains. C’est difficile ce soir y’a des choses que je veux pas vous raconter j’attends à demain ça va peut-être se concrétiser. Je suis bon mais je veux pas faire ma tête enflée, parfois quand on monte on chute et prend une débarque qui nous laisse devant rien qu’un moi déglingué. Vraiment ce soir, je goutte ma solitude, seul dans cet idiot de goulag occidental qui existe même pas… Je pense qu’il y a eu une opération policière place Gamelin, les petits bums ont décalés leurs arrêt de transport en commun. Y’en avait trois qui niaisait devant chez moi dans l’abribus, je sais pas, je sais pas, je niaisait pas là dans ma dérive j’essayais de trouver le pusher pendant la nuit… Emportez moi avec vous, dans vos jours les plus durs, les plus crûs, je pense à cet ancien voisin qui avait une photo de lui dans sa jeunesse beau bonhomme, mais maintenant si il est pas décédé il est déglingué par le sida… Je vous parlerai pas de cette maladie là heureusement j’ai été épargné, y’a un bon Dieu pour moé… J’écoute ce que ça me dis je pense à tout ces gens que j’ai vu aujourd’hui. J’ai pris du plaisir a faire ce que j’ai fait, le jeu, le jeu, la lecture j’ai fait de mon mieux. Le soleil est couché aux États ils ont des ouragans, nous ici c’est encore le froid… Je suis pas encore arrivé au bout de mes mots, je sais bien que pour terminer il est un peu tôt, je veux vous en donner pour votre misère pour votre plateau, un nom du père, un héros. Étrangement j’ai le mot miserere dans la tête, je crois que j’aurais pas fait un bon curé, trop de sacrilèges trop de jurons… Pis là je veux vous parler de la foi, de ma foi que j’essais d’avoir je crois, oui je crois! C’est plus utile disons que je crois aussi que Pascal c’était pas un cave. Lentement j’avance dans ce qui est quasiment un blog œcuménique, je demande la force spirituelle ceux qui rient, ceux qui se marrent vont peut-être un jour rester avec moi pour prier. Quo vadis? Je sais pas j’avance en âge vers le même endroit que tout le monde, j’espère que la boite va être belle et la musique à fond la caisse… C’est un peu triste d’évoquer une fin mais c’est pas pour aujourd’hui. Je pense que je suis encore bon pour un grand bout. Mais là j’étire un peu trop, je vais vous trainer jusqu’au dernier mot. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

lundi 25 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Comment vous dire? La police me harcèle où du moins ils se paient ma gueule. Je devrais pas écrire ça, ça va les nourrir dans leurs mépris. Si ils m’en veulent tant que ça qu’ils viennent me chercher chez moi mais j’ai rien sur la conscience. L’écrivain les traitait de « parking lot attendant ». J’y arrive pas la dernière fois que j’ai eu affaire à eux on m’a emmené en prison, mais je sais que je suis pas criminel mon passeport est en ordre. Pour les voix je vais vous avouer que j’en ai qu’une et c’est celle là qui vous écris. Je crois que la médication joue un grand rôle… Ce soir j’écris des bêtises tranquille chez-moi. J’ai peur des policiers, bonne raison pour rester tranquille, je crois que ce midi ils savaient que j’allais manger un papa burger chez A&W… Semble que la police en sais beaucoup plus sur nous qu’on le crois. Bon! Pour tout de suite je la lâche la police, ils peuvent me faire beaucoup de mal. Je me souviens y’a pas longtemps une femme policier est venue répondre à nos questions, elles étais pas très très méchante. D’autre vont vous dire que c’est ma paranoïa, ils font leurs jobs. Ce matin à la répétition c’étais bien tout le monde était à l’heure… Tout à coup j’ai des souvenirs de gare et aussi du grand-père de mon lecteur designer à la retraite, son grand-père donc qui était ingénieur des trains c’est pas rien. C’est bien aussi comme lieu de passage la gare et une fois partis se faire bercer par le train. Je sais pas ce que ça évoque pour vous mes textes parfois on y lis des choses qui ne sont pas là. J’écris beaucoup je veux devenir meilleur… Ce soir je suis moins fatigué, le soleil se couche doré… Me rappelle ces gares d’Europe aux toits très haut et la foule qu’il y avait là à Montréal la gare est souterraine et surtout fréquenté par les trains de banlieue quoi qu’il y a des destinations pour les villes américaines et aussi Toronto et Ottawa. Encore une phrase ratée mais je veux pas trop la travailler ça fait partie intégrale de mon écriture gauche. On nous annonce un train électrique pas loin du goulag occidental complémentaire au métro et aux autobus, on va pouvoir filer jusqu’à l’aéroport… J’ai toujours ces policiers dans la tête, c’est des gens a ne fréquenter qu’une fois retraité. Non ce soir je me dénigrerai pas, je vaux plus que ça. Je suis honnête et authentique si ça vous plait pas allé voir ailleurs, y’en a plein à la prose incertaine, au destin incertain. Ça aussi je répète, la confiance en soi c’est difficile parce que souvent j’ai peur. Je vais terminer avec confiance mais sans certitude de vous plaire avec ce texte. J’arrête donc ici en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque là!!! Je vous étire ça encore merci et à la prochaine j’espère!!!
Bernard

dimanche 24 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Cet après-midi je cherchais le sculpteur d’une œuvre sur la Place Paul-Émile Borduas dans le quartier latin. J’ai trouvé la photo mais jamais aucune mention de l’artiste. Pour illustrer je me suis donc rabattus sur un silo du Vieux-Montréal, le seul qui reste je crois. Je sais c’est toujours préférable de parler de l’architecte mais faites vos recherches. C’est confus mon affaire aujourd’hui, disons que je suis pas de l’époque du Refus Global, mon manifeste à moi disait que les élus c’était tous des trous-du-cul rien pour faire peur mais un manque de décorum pour les autorités. Le printemps est arrivé rien ne change, c’est toujours l’austérité… Je voulais vous parler des fonctionnaires comment ont en leur demandais, mais je connais pas ça je suis prestataire pas fonctionnaire. Je veux toujours vous parler de mon sentis mais parfois ça semble impossible, je dors le jour, je dors la nuit je suis tout mêlé, vais-je y arriver? Je dois absolument rester connecter avec mes émotions sinon je deviens psychopathe. Je pense au In cold blood de Truman Capote, c’est de la folie ce que j’écris là… J’écoute mon âme et essaye d’écrire de la romance, de la romance du goulag occidental où on mange des patates bouillies à la mode poor british, irish,… Bon! Devrais-je m’acheter un shack à Saint-David-de-Falardeau? J’aime trop le goulag occidental je veux rester près de l’aéroport. C’est pas le mal de l’âme que j’ai c’est le mal des poumons, des glaires! C’est dégueulasses… L’ami viens de me téléphoner on a pas de réunion du groupe d’entraide demain, je pense que ça nous affaiblis comme groupe ces activités extérieures. J’avais ouvert la télévision, je l’ai fermé on peux pas vraiment dire que je suis déconnecté, la machine gobe ce que je lui donne, je pense que c’est très enfantin ce que j’écris là. Je suis toujours a essayer de voir ce qu’un auteur adulte sérieux écrirais. Je veux mettre d’autre mots qu’amour dans ce que j’écris, je veux que ce soit plus effectif affectif. Je m’arrête, réfléchis pense à ce silo à comment parfois ça deviens une façon de travailler, mais c’est pas pour les ouvriers la force des choses font qu’ils travaillent avec différentes équipes, peut être que je me trompe? À l’usine j’étais très seul dans ma production. Je me souviens plus de ce que ça veux dire « se faire rouler dans la farine », c’est mentir, embellir les choses, on étoufferas pas dans le silo. Je sais pas comment je suis arrivé à ça, on peux me reprocher bien des choses mais je suis pas menteur. Je pense à vous qui rentrez au boulot demain moi j’ai une répétition en fait je répète toute la semaine. Je vous souhaite une excellente semaine. J’essais comme souvent de terminer ce texte d’une manière élégante. Je salue tout mes lecteurs en les remerciant d’avoir lu jusque là!!! Encore quelques mots pour vous dire que j’apprécie votre lecture. À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

samedi 23 avril 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Aujourd’hui je mange des Life Savers , il fait un temps superbe. Je cherche quoi vous raconter dans l’actualité c’est le décès du dramaturge Marcel Dubé. J’aimais pas beaucoup ses téléromans, il employait un langage trop châtié un peu loin du monde enfin c’est ce que j’en pense avec le petit peu d’émissions que j’ai regardé. Mais je reviens à moi, à mes sentiments intérieurs. Je rêve encore à Paris, je crois que je serais bien accueillis, je retournerais visiter le Louvre. Vous devez me trouver fatigant avec les voyages et les avions mais je veux en profiter avant d’être trop vieux, ce week-end y’avait les courses de Formule E à Paris, des rapides voitures électrique. La matriarche m’a téléphoné pour que je regarde les images, la tour Eiffel et les immeubles on s’est dit qu’on étaient tous les deux passé là. Je crois qu’un jour je vais y retourner. Je salut ici l’ami professeur d’histoire de l’art, hier on est allé petit déjeuner au Miami un restaurant à la décoration au sommet du kitch. J’espère que j’ai pas été trop bête avec lui c’est tout de même un homme des arts et de culture. Je crois pas avoir dis de bêtises. Y’a aussi les snowbirds je sais pas si ils continuent la lecture de mon pauvre blog… Je crois que j’ai des acouphènes dans le silence ça sille dans mes oreilles remarquez que c’est pas en passant des années la tête dans les boîtes de son de la discothèque qu’on développe son ouï. Je crois que j’ai déjà écris là-dessus. Une vie c’est bref y’a des moments de solitude que j’ai su apprécier. Je pense à cette époque où je travaillais dans le recyclage de carton et de papier. Je ramassais des poches de jute remplies de papier, ce qui valait le plus cher c’était le papier d’ordinateur, ça existe plus je crois. Aux actualités, des écrivains qui parlent de leurs droits d’auteurs, moi j’y pense même pas, je trouve ma satisfaction juste de savoir que vous me lisez. Pour un écrivain qui en vie combien ont d’autre métiers? La course des E cars se passait dans le quartier des Invalides recouvert de bitume qu’on va enlever. Ça fait quatre cent ans que Shakespeare est mort, je me demande qui retire ses droits d’auteur? C’est difficile de se renouveler, la palette d’émotions est quand même pas si grande. Je sais c’est froid ce que je vous écris du moins c’est ce que je ressent  tout ce que je vie c’est de la peine où de la joie de la peur parfois et du courage aussi en anglais ils écriraient « mixed emotions ». À la télé j’ai encore vu de ces images magnifiques des capitales d’Europe. J’y retournerai, j’y retournerai. Ça ressemble à du délire continental ce que je vous écris. Je crois que je vais terminer ici en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!! Encore quelques mots pour terminer. À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard