lundi 20 mai 2013

Here is something for you and me

Bonsoir! Bonjour! Jolie week-end on a célébré l'anniversaire de la matriarche, beaucoup de monde et de jasette on en a profité pour discuter avec nos lecteurs de l'Outaouais. Notre lecteur designer à la retraite m'a fait quelques commentaires. Il aime bien quand je m'emporte et dis voir où je vais avec tout ça. Il est bien le seul même moi je le sais pas. Le ressentiment c'est pas un bon maître. Semble que j'ai perdus des lecteurs parce que je suis trop prolifique. J'ai un semblant de petite rage, vous suivez où pas... Je le répète si c'est pour commenter l'actualité vous m'aurez pas. Je préfère parlé de ma vie spîrituelle bien que ce soit pas facile. Je prie dans le goulag occidental et je vous demande de réfléchir à mon exil où la police est omniprésente. Ça me coupe le sifflet, je pense à l'époque où la matriarche écrivais aux grand-parents aux Lac Saint-Jean aux annales de Sainte-Anne qui ont jamais raffermis ma foi.  J'en connais qui vont confondre le mot annale avec quelque chose de sexuel, c'est pas du playboy qu'il s'agit ici ni d'un magazine pour les pervers. J'ai quand même jamais laissé de béquilles à Sainte-Anne-de-Beaupré. Tout les nomades et les gens de la route s'y rassemblent. Je sais pas si c'est un mythe mais les Roms y sont aussi. C'est de l'histoire ancienne on sait bien que maintenant les rituels spirituel passent par la musique, la transe au pic-nic électronique sous le Calder de l'île Sainte-Hélène. Je suis insomniaque et j'hésite a me mettre à genoux. Je sais, je sais vous croyez que ce sont des supertitions mais quand il ne vous reste plus que ça dans l'exil au goulag autant le faire.À genoux pour l'humilité et fou pour la capacité. Dehors une voiture klaxonne et les os me grincent. J'écoute, j'écoute, je suis pas Georges Bernanos je préférerais être Bernard DeClairvaux dans ses pélérinages aux différents monastères cisterciens. Ce que je vous écris là ce sont un peu mes mâtines mais là on tombe dans la règle de Saint-Benoit, on glorifie la nuit. Y'a longtemps l'asile de Montréal s'appelait Saint-Jean-de-Dieu et là je divague je ne sais pourquoi je reviens à ça, peut être un désir de quitter le goulag et d'entré dans les ordres pour vivre une vie de prières et de méditation en faisant des travaux ingrats. Comme dis Ferré dans sa chanson "Il n'y a plus d'après" tout est dans le moment et dans le moment je fais une courte prière pour que s'efface le doute, il va revenir et me triturer l'âme une sorte de torture du diable. À mon âge je ne fait qu'essayer d'avoir la foi je suis pas certains du tout je cherche le Bon Dieu partout. Je suis pas un mange curé bien que je hais les abus qu'ils ont fait subir aux enfants, des salauds ce sont des salauds pourtant il faut prier pour eux aussi ça répare rien mais enfin tenez les loin. Merci d'avoir lu juqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 
Preachy Berny

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