dimanche 2 décembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour encore une fois, c’est la nuit de dimanche à lundi… Mon café s’est refroidis, la super maman a fait un passage au Centre Bell avec l’ami Antoine. J’espère qu’il a aimé ça malgré la défaite de l’équipe locale. Je pense aux insomnies du lecteur de Deux-Montagnes on va essayer de lui faire faire un bout de nuit… J’ai dormis toute la soirée, cette nuit je ne dors pas je vous écris. J’ai pris une douche, je me promène nu dans l’appartement, je pense au personnage de Bad Lieutenant du comédien Harvey Keitel qui se promène avec une bouteille de fort dans son logement… https://www.youtube.com/watch?v=oFvGeMDW7bw  ma vie de solitaire célibataire est pas aussi torride que dans ce film. L’ami sclérosé est déménagé j’espère qu’il va pouvoir recommencer à me lire… Je me suis parfumé ça fait du bien, lentement décembre avance, une journée à la fois comme on dis, on est le trois… Si ça fait le mois ça risque d’être assez plate. J’ai mangé une banane, lundi quelques réunions, j’essais de garder mon écriture vrai, j’utiliserai pas le mot ornières pour rien, souvent elles sont dans les pistes forestière mais pour moi c’est pas déjà une habitude. La véracité dans l’écriture c’est assez difficile, on en a toujours beaucoup trop appris pour que ça reste crû de la difficulté d’écrire selon le senti de son état. J’écrirai pas à la mort c’est inutile elle n’écoute pas… Je serai pas morbide, je pence à ça. Mes phrases par petites touches essaient de ressembler à des peintures impressionnistes, je suis quand même toujours plus près du cru… J’ai pas appris à écrire à l’université, je pense à la complexité des formulaires d’inscription que je suis incapable de remplir. Je sais pas pourquoi l’écriture me sécurise. Ils sont tous des artistes mais moi je me l’interdit… Poésie, j’aimerais bien y arriver vous pouvez quand-même m’imprimer… Je tiens des propos insignifiants pourtant ça donne du sens ça affirme mon senti… J’ai envie d’écrire à la gentille médiatrice culturelle ces vers de Lucien Francoeur « Prend une chance avec moé m’en va toute te donner… » J’aimerais ça écrire de bons vers comme ça, j’y arrive pas. J’entends une toune avec des cuivres pourtant les appareils sont silencieux c’est dans ma tête, Mile Davis! J’ai souvenir d’amis musiciens qui cherchaient à percer, ils y sont pas arrivé, maintenant il est un peu tard y’a une autre génération qui pousse… J’ai jamais trop compris ce que voulait dire le mot standard dans le répertoire de jazz. Bon! Je vais terminer avec les gilets jaune français qui vont malheureusement faire fuir plusieurs touristes, je pense au roman Paris brûle-t-il ? Je crois que oui. Voilà! C’est presque terminé encore quelques mots, ici on manifeste pour supporter les franco-ontariens à qui on brime des droits, le gouvernement ontarien semble pas comprendre la règle des deux peuples fondateurs. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard  

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