Bonsoir!
Bonjour! J’ai beaucoup trop dormis, me suis réveillé pour vous écrire… Je
trouve pas quoi… Je vais me faire un café. J’espère qu’il y a pas trop de
calcaire dans la bouilloire que c’est pas ça qui m’affaiblis. Aujourd’hui c’est
samedi, le cahier voyage dans LaPresse+, j’ai hâte de partir… Aller voir les
murales du quartier Mission, à Montréal y’en a des pas mal aussi. Si tout va
bien la semaine prochaine j’enregistre une émission radio c’est diffusée à
cette station https://canalm.vuesetvoix.com/ et aussi ici http://radiocentreville.com/wp/ je crois que c’est seulement là qu’on peut l’écouter
sur la radio habituelle à 102,3 FM le jeudi à neuf heures. Je crois qu’il y a
des chicanes de clochers à Radio- Centreville l’émission semble plus disponible
en ligne et un dernier endroit https://www.facebook.com/groups/68668061971/ voilà avec ça vous devriez être capable de me
trouver. Bon j’y vais avec mon senti quoi que là je devrais y aller avec mon
sent bon je me suis lavé… Je vais vous illustrer ça avec des espèces de tag en
murale, je peux pas en dire plus je connais pas les artistes comme c’est
interdit je crois qu’ils préfèrent rester anonyme. Je pense que j’ai une difficulté
parmi tant d’autre c’est de mettre en mots l’émotion que me fait vivre une œuvre,
la poésie du regretté Denis Vanier me fait vivre ça elle me touche et me
chamboule sans que je sois capable de décrire l’émotion. Je vous l’accorde c’est
de la poésie dure rien à voir avec le « roses are rose violet are blue… »
Essayer de trouver le Allô, police du même Denis Vanier vous aller trouver que
c’est fort. https://www.youtube.com/watch?v=f9naUs_Eyts voilà je vous l’ai trouvé en vidéo à la nuit
de la poésie de mille neuf cent soixante-dix . La révolte était présente j’avais
quatorze ans et ces gars là c’était mes idoles mes héros. Je sais Vanier c’était
pas ce qu’il y avait de plus gentil mais il devait vivre à sa hauteur. Les
grands poètes sont rarement des êtres délicat, dans un autre poème il écrivait « il
ne faut pas être dupe de soi même »… Je pense aux tatouages à comment c’est
devenus banal, les gens n’ont même plus l’ambition de faire une œuvre d’art de
leurs corps, des tatous de Mickey Mouse on a déjà vue ça. En ce moment je lis
de la littérature underground des années soixante-dix une belle époque, je
devrais peut-être lire Vice c’est plus contemporain avant on avait quand même
le journal Voir, je sais pas trop comment le qualifier mais à ses débuts y’avait
de la matière, du style et à lire et à écouter tout ça je ne suis rien devenus,
non, non je ne m’auto-dénigrerai pas… J’étais pas révolutionnaire, j’aurais
bien aimé, les discours j’en avait rien à faire drogué, les gars se sont tous
rangé, y’avait plus de révolte possible on est rentré dans le rang. Voilà! Je
vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard
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