lundi 10 décembre 2018

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Ai ouvert la boîte de biscuits européens, semble que le chocolat c’est bon ces temps-ci de l’année. L’équipe locale a gagné son match, semble que Noël s’en viens rapidement, chez moi c’est un Noël glacial dans tous les sens du terme, pas d’enfants, personne pour fêter avec moi. Je vais fêter avec les amis quelque jours avant. Depuis que je bois plus je prends ça calmement les fêtes. Je pense à tous ceux qui n’ont pas ma chance, mon bonheur… Me suis couché, je me relève… Je suis gonflé de biscuits, lundi, aujourd’hui je monte l’arbre de Noël. Je me prépare un café. J’ai remarqué une chose j’aime pas beaucoup les gens qui imposent leurs façon de penser aux autre même si elle est psychologique, encore plus si elle est psychologique je dirais… Me tenir droit, respirer par le nez voilà de bonnes façons d’être… Il fait chaud chez moi j’ai ouvert la porte, un peu d’air frais ça feras pas de tort. Je déjeune pas j’ai pas faim… Moins de quatre mois avant mon départ pour Frisco, j’ai hâte de visiter les lieux mythiques de la contre-culture. En Californie! J’aurais pas cru ça possible… Les snowbirds eux s’en vont en Arizona, je crois qu’ils vont faire un beau voyage. Mon lecteur chauffeur d’autobus de la couronne nord veut partir pour les Indes mais je crois qu’il a de la difficulté avec sa fiancée. Et  mon autre lecteur de Deux-Montagnes s’en va passer les fêtes au Mexique. Je suis loin de mon senti avec tout ça, je vie pas toujours des choses intenses… Je pense au Zéro Legel du regretté Gilbert Langevin, un personnage que j’ai côtoyé dans mes nuits d’ivresse sur la rue Saint-Denis. Je me rappelle l’avoir mis mal à l’aise sur une scène en criant spontanéité, je suis pas fier de ça. Encore un autre Noël, mon soixante deuxième, ça fait pas mal de souvenirs mais pas trop précis, j’aimais bien me rendre chez mon parrain sur la rue Boyer… Il est regretté on l’a plus pour nous jouer des airs d’accordéon, lui qui en étais si fier… Y’avait ma regretté marraine aussi, qui est disparue très tôt, trop tôt… Avant de partir elle m’avait écrit quelques mots qui m’ont beaucoup aidé… Il est presque cinq heures du matin et je suis bien réveillé, j’ai réussis à rafraichir le logement… Je sais pas comment je vais vous illustrer ça. J’ai trouvé une photo de la gare centrale à Montréal. Lentement j’arrive à la chute, je vous aurai donné à lire encore une fois et moi ça me fait plaisir de vous écrire… Je pense à tous ceux qui à Noël vont prendre la route pour visiter leurs familles. J’espère qu’ils seront prudent. Hier y’avait des parfums de sapin, ce sont toujours de beau souvenirs. Voilà! C’est comme ça que je termine cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! Quelques mots encore en espérant vous revoir dans une prochaine!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

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