Bonjour! Bonsoir! Je vous ai un peu abandonné, suis
de retour de l'Outaouais, pour vous dire que dans les occasions spéciales,
l'anniversaire d'une lectrice à la retraite, on en sort parfois du goulag
occidental. Je suis très heureux et très ému d'avoir assisté à cette fête de
famille, on s'est bien amusé j'ai vu que des gens biens et beaux. C'est dimanche
après midi j'ai ramené un CD de Dave Beauchamp un excellent artiste de
l'Outaouais qui fait de la musique au réminescence des groupes rock alternatifs
des années soixante dix, ça vieillis pas.Dans le goulag occidental cet après
midi on entend la radio des voitures et l'éternel bip des camions qui
reculent.Je suis seul je m'écoute,c'est pas des voix c'est une voix qui me dis
d'écrire sans blesser personne. J'essaye, je veux rester positif, le ciel est
quand même couvert... Je prend mon temps pour vous écrire. Je veux pas changé de
personnage. Je suis vide comme ça arrive de plus en plus souvent, j'attend les
muses comme toujours c'est quatre vingt dix pour cent transpiration et dix pour
cent d'inspiration. Demain j'ai une réunion de mon groupe d'entraide. J'espère
que nous ferons la différence que nous apporterons un peu de réconfort. La
partie de soccer, dans le parc en face. est terminée. Le voisin prend l'air sur
la passerelle. Je sais pas si je vous l'ai déjà écris, c'est un peu ça mon
travail, ce blog qui m'amène parfois de la joie. Que je prend plaisir a écrire
ça m'allume!!! Parfois on remercie pas assez, je prend les choses comme si elle
allait de soi. C'est pas rien d'avoir des frères et des soeurs avec qui on
s'entend, avec qui on partage des bouts de vie... Je sais pas si ça va vous
plaire je pense aux lecteurs qui sont pas de la famille et qui me font l'honneur
de lire ce qui, je l'espère, deviendras un jour de la littérature quand même je
crois pas que j'ai le talent pour l'académie française. Je garde les choses à ma
mesure et cette mesure c'est vous tous. Me reste que trois lignes a vous écrire,
le goulag occidental est tranquille cet après midi... Je pense à ces gars qui il
y a longtemps me traîtais de tapette, des ignorants et des inconnus, l'insulte
passe encore pour bien rire mais quand c'est pour blesser c'est difficiles,
c'est dénigrant. Ma vie sexuelle ça regarde personne et je vous en parlerai pas
ici. Je vois que ça prend une tournure inatendue. Je m'étais pourtant promis de
pas tomber dans le domaine de l'intime. J'en ai assez dis je termine donc en
vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
Bernard