vendredi 30 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Encore quelques mots, je persévère dans mon destin d’écrivain. C’est humide j’ai démarré le climatiseur, c’est la nuit plutôt que de lire je vous écris. Je pouvais pas attendre plus tard pour écrire je serais mort sinon il aurait fallu que j’invente l’internet et de ça je serais incapable. Je pense à une poésie entre graffiti et art de la rue de Ivan Tresoldi ça dis « Il poeta sei tu che leggi » que je traduis avec l’aide d’internet en « Vous que les lois du poète » traduction pas très heureuse mais avec la poésie c’est toujours difficile. J’ai vu ça sur un mur à Trieste, le lecteur deviens le poète j’espère que c’est ce qui arrive avec le goulag occidental que vous devenez poète vous aussi au travers de votre lecture… Je sais que je suis pas toujours émouvant et que les lois de la poésie sont très exigeantes… J’aimerais bien que mon écriture marque votre quotidien quelle en sorte quelques un de l’analphabétisme, je sais que vous avez appris à compter les dollars avant d’apprendre à lire, d’ailleurs vous ne savez pas lire je sais pas pourquoi je vous écris, c’est peut-être un exercice de littération  contraire pour moi de l’allitération… Le langage compliqué de l’art mural est très beau ,mais je le comprends pas, tout ce graphisme mur à mur, vous voyez ici c’est moi l’analphabète, je suis incapable de marquer mon territoire du goulag occidental et là je me lance dans ce que je pense un peu comme un retour en enfance et la souffrance, la souffrance qui ne veux pas que je danse parce qu’il y a la France et l’alternance cette façon de se remplir la panse pendant que tu pense et que j’essais d’être dense et en partance pour la chance et l’espérance intense… C’est une sorte de rap de scat, de « spoken word » juste là comme ça pour le plaisir. Pourtant, pourtant, y’en a pas autant ni souvent qui essaye ce plan avec des mots savants et parfois des mots d’enfants vieux de milles ans, dans le temps, dans le temps on se croyait savant on est qu’ignorant, gros jean comme devant on y croirais à la poésie mais au lit avec une amie à se faire des guili-guili pas ici dans ces mots qui s’enfuient interdit comme des saloperies… Voilà! Voilà c’est ça on le dis tout bas sur les toits sur la corniche pas en bas, on les voie de loin les rats pas besoin de compter les pas, vous direz c’est un cas, c’est facile d’écrire ça ici et là on marqueras rien on marqueras pas le pas… Je continue, je continue je ne suis pas nu mais j’en peu pu de ces histoires de ces déconvenue, je vous salue, je vous salut dans cette nuit qui a pas plus. Je termine, je suis pas une vermine. Je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Me suis débarassé de mon vieux sofa. Je l’ai défoncé à la fin de la partie de hockey hier. J’en ai commandé un nouveau. C’est loin de mon senti tout ça, je suis quand même heureux que le Canada ais gagné la coupe du monde. Ce matin j’ai réussis à sortir seul le sofa ça a bien été. Ce soir je mange de la quiche. Je sais c’est pas très intéressant, parfois y’a des parfums qui me rappellent l’autre temps… Ce temps où j’étais malheureux mais où j’arrivais quand même à vivre, un temps où on me menaçait avec un couteau, où l’amour c’était pas beau. Je pense à Milan, c’est la capitale de la mode je crois, une très belle ville, j’ai beaucoup aimé y marcher. J’aime son architecture vieille Europe. Je me rappelle avoir pris un café dans le petit bistro derrière l’hôtel c’est des souvenirs qui me sont cher. J’ai encore envie de repartir, c’est pas les destinations qui manquent… Je reviens à ma façon de vivre auparavant, je veux qu’on me pardonne, je suis pas guéris mais je me rétablis, toute celle à qui j’ai fait du mal pardonnez-moi. C’est la fruiterie Milano qui a passé au feu, c’était un bon endroit pour se rappeler l’Italie. J’espère qu’ils vont vite se remettre sur pied. La quiche c’était une quiche provençale, la Provence un pays, une région où j’aimerais bien aller. Je me souviens du bonheur que j’avais à marcher seul dans Milan, faire un arrêt dans un bistro et prendre un café c’est une chose que j’aime faire dans toutes les villes que je visite même à Basse-Terre et à Pointe-à-Pitre en Guadeloupe. Je pense à ce bistro à touristes à la Havane, on y buvais des cocktails moi je buvais un cola cubain qui était aussi bon que le vrai. Disont que les gens buvaient des Cuba Libre, du rhum… C’est les vendanges, j’aimais bien boire du vin mais j’en ai trop bu maintenant c’est plus permis… Un espresso allongé c’est pas dégueulasse et ça réveille, un bon barista vous sers ça en moins de deux… À Washington j’en ai pris un tout ce qu’il y a de plus américain dans un Starbucks du quartier chinois c’est pas pareil comme un Starbucks pas loin du musée Pompidou à Paris encore là c’est des bons souvenirs bien que la barista trouvait que j’étais un peu Gérard. Tout ça pour dire que parfois on en sort du goulag occidental. Je pense à ces gens qui ont immigrés ici, j’en suis un immigrant je viens du Lac-Saint-Jean c’est quand j’étais enfant. Je me rappelle la place principale au centre de la ville, c’était très américain, c’étais Dolbeau. Marché dans Paris c’est un grand classique aussi, j’ai encore des choses à y voir, on dis la ville lumière je crois, elle est toute belle et éclaire les âmes. Voilà, ce soir c’est des souvenirs. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

jeudi 29 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je fais cuire un rôti de porc pendant ce temps-là je m’aperçois que j’ai payé deux fois la même facture. Il fait un temps superbe, j’ai pas trop mal à l’âme. Dehors un gars gueule. Je rêve toujours d’avion pense à Barcelone, Prague où Rome. Y’a un parfum d’herbe provençale. Je l’ai préparé vite le rôti. Entre Toronto et Montréal à mon retour de Washington, l’avion étais presque vide. Je vois encore les lumières quand on arrive à Montréal. À l’aéroport les bagages sont dans le dernier carrousel, je crois que je vous ai déjà raconté tout ça. Ce soir y’a un match de hockey, le tournoi mondial justement à Toronto si le Canada gagne nous sommes champion. C’est pas vraiment mon senti le hockey, les hockeyeurs les sentiments ils les expriment en se tapant sur la gueule. Les russes sont éliminés ils sont trop bons au ballet, Nijinski, Barychnikof, ici on a pas ça, y’a pas de tradition même si je vie dans le goulag occidental… Mais oui! Je mange du porc je viens de vérifier la cuisson je crois qu’il va être bon… Je pense à la mise en scène que les russes avaient fait pour la visite de Montand et Signoret une façade heureuse et derrière des gens qui crèvent de faim. J’ai la tête qui se promène d’un bord à l’autre… Le rôti est bien cuit ce seras avec des pommes de terre et des carottes. C’est l’automne vous le savez quelques irréductibles vont encore s’asseoir sur les terrasses. Quand on parle dehors dans le goulag occidental c’est tellement bruyant, on parle à tout le quartier. Pour coucher dehors c’est pas encore les gros froids mais enfin je sais pas pourquoi il gueule comme ça. Je disais donc bientôt ça va prendre un abri, moi je suis incapable  de rester dehors longtemps… Tiens tout à coup je suis triste, je suis désolé d’avoir fait une erreur avec ma facture du Bell, c’est pas grave c’est le quotidien une erreur dans ma routine, c’est pas comme si j’avais omis de payer j’ai payé deux fois, voilà! Je devrais pas vous raconter ça c’est mon intimité, c’est comme de dire son salaire à n’importe qui… Je vais pas râler juste me rendre à l’évidence qu’un blog parfois y’en a qui aime pas ça. J’ai pas beaucoup d’entrée je continus quand même. J’ai souper c’était bon, un vrai repas cuisiné avec amour.  Là je suis déconcentré, la télé est ouverte… J’ai pas mal, le garde-manger est plein… Je veux finir ça de bon ton pas comme si je me faisait pogner les fesses dans un bar bondé où bien dans une job détesté. Ce soir je fais pas la victime, je suis seul chez moi et je pense à mon prochain voyage. Je vais là où je veux quand je veux. J’ai hate à mon prochain voyage en avion. Je vous laisse merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Il est trois heure, on s’éveille pas on va se coucher. Je me rappelle dans mon enfance avec mes parents on est partis très tôt comme ça, j’aimais ça, je crois qu’on allais au Lac Saint-Jean, on l’a pas fait souvent mais j’en garde un bon souvenir… Une chose que je ne fait plus c’est écoeurer où étriver les autres, c’est pas nécessaire, je préfère la douceur. Je pense à un très bel édifice Le musée national de l’histoire Afro-américaine à Washington l’inauguration était cet été. J’étais gêné d’y aller je suis pas noir… Je suis pas noir mais parfois je me sent un peu à part comme si y’avait une apartheid des bénéficiaire de la sécurité du revenu, on a tous un petit quelque chose, un petit grain qui nous stigmatise, on a beau dire que c’est pas écris dans notre front c’est tout comme… Les psychoses à répétition ça marque. Cette nuit j’écris pas ça pour chialer, je suis un privilégié. Je m’en sors un peu plus chaque jour. J’avais un copain noir des années plus tard je suis conscient que c’étais pas une personne qui avait une grande estime de soi. Je l’ai perdu de vue y’a longtemps quand bien même je voudrais je saurai jamais ce que c’est qu’être noir. Je dois les accueillir comme des égaux, comme des citoyens parfois c’est difficile depuis que je me suis fait voler ma Ipad, sont ils délinquants et noir où noir et délinquants. Des petits bandits du vol à la tire y’en a de toutes les nationalités. Les américains ont même élu un noir comme président, c’est bien, et ils s’apprêtent à élire une femme, c’est le temps! J’admirais quand même tous ces bluesmen, tous ces jazzmen qui ont révolutionné la musique. Je veux pas dire de niaiseries mais je crois qu’ils ont beaucoup plus de talent que les blancs, je crois pas que ce sont tous des oncles Tom. Dans le temps au bistro y’avait un cuisinier Haïtien, il étais très gentils, on mangeais bien. Souvenir aussi de La Guadeloupe où les blancs sont plus rares mais où on est quand même traitée avec respect. Hier je regardais la vidéo du trentième anniversaire de Billy Jean en deux mille un, Michaël Jackson y est tout blanc, c’est étonnant… Je pense que les noirs aiment pas beaucoup qu’on parle d’eux ni qu’on les dénigre avec le mot raciste surtout que c’est temps ci aux U.S.A. ils vivent des moments difficiles. Partout on les arrête au faciès c’est de la persécution. Martin Luther King a encore des choses à nous apprendre et je pense à ce joueur de football qui refuse de se lever debout pour l’hymne national. C’est un geste qui en dis long. Tout ça c’est des belles pensées me reste à les traduire dans ma vie de tous les jours. Je crois que j’ai écris des clichés ce soir. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

mercredi 28 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ça va bien je suis pas trop triste. C’est la fin du mois et j’ai encore à manger. Je couche pas dehors et je peux me laver. Je bois beaucoup d’eau et je vais souvent uriner. Je sais! Je sais! C’est pas poétique, j’ai une collègue qui d’une façon élégante utilise le mot cinéraire, employé dans un haïku ça évoque deux choses l’urne et la plante. Des mots savants j’en utilise pas souvent mon vocabulaire est limité, je crois que la langue du commun est suffisante pour nommer mon senti. Pendant ce temps- là les gens rentrent à la maison, il fait frais c’est vraiment l’automne. Mercredi soir y’en a plusieurs pour qui c’est le jour de paye et qui vont aller noyer dans l’alcool leurs journées de dur labeur, me souviens d’avoir fait ça, cette détente était toute artificielle, ça m’en prenais toujours plus et j’y arrivais pas… Oui! Oui! J’ai déjà travaillé mais y’a longtemps, j’allais de ratage en ratage, bousillait tout ce que je faisais c’était toujours à recommencer. Je peux plus trop chialer sur la routine je m’en suis donné une avec ce que vous lisez là, la seule différence c’est que j’aime ça. Je sais pas si c’est vrai qu’il faut souffrir pour gagner sa vie je souffre un peu, hier j’ai pris un œuf dans le frigo je croyais en avoir qu’une douzaine mais j’en ai deux, je me suis mis a me demander qui avait bien pu apporter la deuxième, c’est impossible je vie seul mais parfois quand des choses comme ça arrivent je me sent persécuté. Je me souviens aussi j’étais peintre au fusil et je m’intoxiquais, le midi je croyais qu’ils cachaient mon lunch mais j’en avais tout simplement pas apporté. Ça aussi c’est de la folie et je vous parle pas du « fume » de l’assembleur tackeur après tout ça on va vous dire que le travail c’est important, y’a ce vieux dicton qui dis « soudeur le jour, saoul dur la nuit ». Tout ça c’est y’a longtemps y’a quarante ans. Maintenant je m’intoxique plus, ma folie puisque c’est de ça qu’il s’agit, je la passe dans mes écrits. Je guérirai jamais et je suis pas Dashiell Hammett pour écrire des romans noirs. Dans ma paranoïa j’avais commencé une enquête que j’ai jamais terminé, j’étais trop perdu. « Le faucon Maltais » avec Humphrey Bogart  http://www.allocine.fr/video/player_gen_cmedia=19424717&cfilm=1809.html qui menais de vrais enquêtes. Ça fait pas partie de mon senti, je pense que ce film a déjà été diffusé à la télévision. Ma vie c’est pas un roman noir, c’est juste parfois la peur, parfois l’angoisse. Je sais pas pourquoi je vous parle de ces deux grands artistes américains un a bien servis l’autre. Je vous écris comme ça c’est sans doute mon désir d’être un artiste, le millwright dirais que je suis un chuton, une larve, mais c’est pas important. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est presque devenue un tic cette entrée. J’ai le mot bicéphale qui surgit mais oui parfois j’aimerais bien avoir deux têtes pour voir comment a vécu l’autre. Avoir le pouvoir de réinventer mais on ne se refait pas. C’est le petit matin dans le goulag occidental. Je souhaite du courage à tous les chômeurs, chômeuses, à tous les prestataires… Je sais on voudrais bien qu’on retourne au travail mais la vérité c’est qu’on se place à la merci d’un éventuel employeur qui peux si il le veux nous débaucher… Je vous place une photo de l’œuvre Modern Head de Roy Lichtenstein, elle est tout près du American art museum à Washington. Je crois qu’on connait beaucoup plus son œuvre inspirée des bandes dessinées c’était dans la lignée du pop art de Warhol… Je reviens au monde du travail où on est à la merci de l’employeur. Je sais pas pour vous mais pour moi c’était comme ça cette pression là suffisait à me faire abandonner mon boulot enfin je me voyais pas pour les prochains trente ans à passer la moppe. Ai pris une douche me suis parfumé c’est à peu près au plus intime que je peux aller. Le médecin semble avoir réglé mes problèmes de démangeaisons. Les gens s’en vont au travail, je détestais me rendre dans ces affreux petits quartiers industriels loin de tout, j’avais pas de voiture j’en voulais pas. Je reviens sur mon senti, pense à ce gars qui travaillait avec moi et qui faisait customiser sa moto, je l’ai jamais vu terminée… Mais non! Mais non! J’irai pas me coucher avant d’avoir terminé. Le Lac Saint-Jean semble à la mode chez les artistes on dirait qu’ils découvrent ce qui a toujours été là. L’heptade reviens nous hanter, c’est je crois maintenant de la musique de bobo, de bourgeois bohème… Y’a des cycles, des modes partout en art le défi c’est de les transcender d’être plus que ça, moi faute d’être à la mode je reste libre de ce que j’écris. Y’a toute cette prétention avec le mot « artiste » comme si y’avait qu’Armand Vaillancourt qui y avait droit. Ce matin je parle beaucoup des arts sans dire grand-chose d’important, y’a plus de révolte plus de mouvement important comme le Refus Global, le grand soir, le grand changement est jamais arrivé, le Québec reste encore une société névrosé, on est un peu comme la tête de fer bleu de Lichtenstein, me voilà encore loin de mon senti à écrire des niaiseries, je vais m’être indulgent c’est une ébauche de pensée… De toute façon on est toujours post-moderne quand une société fait une œuvre d’art d’une machine à merde faut se poser des questions, je  fais une indigestion de la digestion artificielle. Quand j’écris ces choses-là c’est comme si je les vomissais, me semble que le beau a encore sa place. Je termine j’ai encore essayé de créer quelque chose. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Beaucoup de beau!!! Ciao!!!

Bernardead h

mardi 27 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Les arbres commencent à changer de couleurs… Je me rappelle je rentrais à la shop la mort dans l’âme. La vie était dure et longtemps à part ça. Me souviens de l’émission radiophonique Bouchées doubles animée par les regretté, Jean-François Doré et Chantal Joli, que de plaisir j’avais à les écouter ces deux là, http://ici.radio-canada.ca/widgets/mediaconsole/medianet/7508023  c’est tout simplement de la nostalgie, j’avais pas commencé à vivre, dans une vingtaine idiote qui ne voulais pas quitter la maison paternelle. Je me rappelle plus du nom, je l’ai retrouvé j’étais un Tanguy. Le patriarche en a eu assez de me voir étendu sur le sofa du sous-sol et de me laisser vivre, la folie commençait à s’emparer de moi. Ça peut sembler rigolo mais c’est presque tourné dramatique. C’est des souvenirs et je suis heureux d’être sortie de ça. Cet après-midi la voisine s’amuse avec les gratteux… Souvenir aussi du poèle à bois et du mur de brique derrière, l’hiver je chauffait, le patriarche avait pris un contrat du Bell pour assembler des chaînes qui soutiennent les bottins téléphonique. J’aurais pu en assemblé plusieurs mais pour moi ça faisait pas de sens. Je crois que je vous ai déjà raconté ça ailleurs. On refait pas une vie… Bon! J’y vais sans trop y pensés dans le goulag occidental la circulation est dense encore des souvenirs de psychoses sur le boulevard Pie IX, heureusement tout ça m’a quitté. Je délire, je délire toujours les mêmes choses, les mêmes mal… J’ai sortis les biscuits salés, si au moins je pouvais vous écrire sur la mythologie inventer un nouvel Atlas, pauvre ignorant que je suis, j’ai lu quelque part qu’au Québec y’a pas de mythologie et que sans mythe on fait pas un pays… Disont que Ti-Mé Paré comme mythe c’est pas fort, on est toujours dans la dérision, pour avoir des mythes encore faut-il savoir lire, mais on préfère souvent les criminels des nouvelles télévisées. Je pense à la vision du commun qui fait de la littérature un objet pour les efféminées. On semble pas croire que la lecture ça sauve des vies.  Aux livres on choisit souvent les sports mais le mieux je crois c’est de marier les deux. Je sais pas pourquoi je pense au métis Louis Riel, peut-être un certain rapport avec la mythologie mais il a perdu on l’a pendu, nous sommes un pays bâtis sur la défaite, ça non plus c’est pas fort… Votre Ti-Coune sait pas où il s’en va avec ça, je veux pas me faire mener politiquement par ceux que je vois, je trouve qu’ils ont des sales gueules et c’est suffisant pour pas les aimer, je suis un peu comme les madames et la coiffure des politiciens qui lui gagne des votes. Y’a toujours l’argent cette valeur qu’on nous enfonce bien dans le crâne. Ceux qui disent que c’est pas nécessaire sont toujours pleins. Je sais y’a plusieures fausses notes mais je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard

lundi 26 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! C’est la soirée du débat aux U.S.A. semble que la terre entière va le regarder émotivement ça me dérange pas beaucoup. Cet après-midi j’ai dormis, ce soir j’ai chaud. Ai mangé une pizza pour souper j’ai la bouche qui goûte le sel. Je suis pas allé jouer aux cartes, j’étais trop assommé. J’attends pour voir la dernière de la série Stalingrad sur la bataille du même nom. Je sais pas trop quoi vous raconter, cet après-midi je suis allé voir le médecin pour un petit problème pas très grave mais irritant. J’essaye en même temps que j’écris ce blog d’écrire un texte pour les humeurs culturelles . Je veux rester près de moi, c’est la soirée et dans le quartier gay les gars continuent de s’embrasser. Lundi soir y’a rien a faire. Je me rappelle du temps où j’allais au bar il étais vide. Le seul endroit où y’avait du monde c’était aux soirées thématique du Café Campus sur la rue Descelles sur la montagne. Je trouvais moyen de me saouler même le lundi soir. Me suis toujours questionné sur les pourboires et le salaire d’un serveur d’une serveuses. J’étais longtemps seul dans mes virées à la fin j’étais toujours cassé. Viens de boire une boisson organique mangue orange. J’ai jamais revue le waiter qui me servait pas plus que la barmaid, j’étais une tache, le dernier bar de cette époque, Le Bobard a fermé. Sur Fairmount côté nord est y’a un petit bar d’habitué qui désemplit pas c’est dire comment tout ça c’est une question de mode y être resté je serais mort. «  Quand monsieur Gobeil s’en va travailler le matin que c’est bien, que c’est bien »- Jean-Pierre Ferland http://listenmusicfm.net/track/Monsieur-Gobeil-by-Jean-Pierre-Ferland-with-lyrics-2967957 . Souvenir d’après les virées nocturnes où on allait déjeuner sur la rue Notre-Dame dans Saint-Henri. Aujourd’hui je vois bien que j’en ai perdu un bout de ma vie de toute façon j’ai jamais su vivre l’angoisse était toujours en moi. Je vous l’ai déjà écris je crois, que mon ambition de fou c’était de boire dans tous les bars de Montréal. Un moment j’avais cessé d’aller veillée, un an a passé les soirées chez moi, la matriarche dans sa grande sagesse m’avait dis d’aller boire j’étais malheureux comme les pierres, j’ai donc poursuivis ma descente dans les enfers de la drogue et de l’alcool. Je racontais de la bullshit, j’étais perdus couchais où je pouvais avec les rats et les coquerelles. Maintenant c’est terminé, je suis stabilisé, je reste chez moi j’ai vu beaucoup de choses et j’en verrai encore mais à jeun. J’étais pas dans le jet-set juste un toxicomane parmis d’autre. Je sais je devrais pas vous avouer ça mais j’en ai finis pour aujourd’hui. Les choses ont changés je suis presque vieux, je m’ennuis plus la nuit. Je développe encore autour de mon thème de prédilection, l’alcool. J’ai plus grand-chose à écrire ce soir. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ce matin odeur assez toxique de javel et de savon désinfectant. J’en ai mal à la tête mais au moins l’odeur d’urine est disparue. Je fais bouillir de l’eau pour le café… L’entretien ménager voilà une autre chose que je déteste, c’est pas que je suis incapable de me torcher comme disait l’oncle c’est que j’aime pas ça, tout ce que cet oncle avait trouvé à me donner comme travail c’est justement ça le torchage de son usine, passons à autre chose c’est de l’histoire ancienne il est plus là pour en parler. Hier j’écoutais TLMEP ils y avait comme invité un milliardaire québéquois moi l’argent c’est pas dans mes valeurs, je préfère Saint-François D’assise mais ce serait assez difficile de l’accueillir à cette émission, on invite pas non plus les petites sœurs de La Charité elles sont pas assez sexy je crois. Je me demandait pourquoi j’écoute cette émission, j’en parle à personne c’est pas de ma classe sociale.  Ce matin j’ai une réunion de mon groupe d’entraide et après je vais voir le médecin. Je prends mon café lentement, c’est la nuit et je suis victime de mes obsessions du senti, comment vous écrire avec humilité? Trois heure du matin j’ai mis la télé sur France 24 ça me donne des souvenirs de voyage. J’aime bien les actualités vue de loin, un autre point de vue. Je sais pas comment pensent les migrants, ils veulent travailler en Grande-Bretagne moi je crois pas qu’à faire des petits boulots ils vont s’en sortir mais je comprends qu’ils fuient la guerre et les bombardements. Encore cette nuit je suis loin de mon senti, dans le goulag occidental c’est tranquille on entend les voitures qui passent. Je ferai pas comme la semaine passée j’abandonnerai pas le texte avant de l’avoir terminé après je retourne au lit. J’ai sommeil, je me demande comment il se fait que plusieurs sont devenus pair aidants rapidement et d’autre ont été laissé à eux même. Ce que je souhaite c’est me rétablir en ayant pas à faire appel à un pair quoi que mon groupe d’entraide c’est un peu ça. Je pense que plusieurs croient qu’ils sont guéris quand ils deviennent pair-aidants, c’est faux y’a toujours beaucoup de chemin à faire ne serait-ce que soigner sa névrose. Je sais pas ce que j’écris pas plus que je sais ce que les pairs-aidants ont à m’offrir, j’écoute, j’écoute ce que mes collègues ont à dire. Je me rétablis toujours en pensant à la pleine citoyenneté… Je rêve encore d’avion de départ j’irais bien visiter les amis de Lille et de Dijon avec toujours dans l’esprit la notion de devoir qui prime sur les droits. Je pense au vieux psychiatre de Trieste qui parlais avec justesse de Liberté, Égalité, Fraternité à la fin de cette semaine on devra faire son premier devoir payer le loyer, c’est important la rue pardonne pas. Je vous laisse là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

dimanche 25 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Dimanche superbe, beau temps pour le marathon et pour les moins sportifs la cueillette dans les vergers, j’essaye de pas trop pensés aux traces que laisse l’être humain sur la planète… L’espèce de métal qui sert a faire les écrans de mobiles et de tablettes, je laisse ça là comme on dit rien ne se perd rien ne se crée. Je reviens sur mon senti, celle-là je suis certain de vous l’avoir jamais raconté, elle est scatologique, j’étais dans l’avion entre Paris et Montréal assis au centre entre deux autres passagers. Je parlais à celui qui étais sur le bord de l’allée chaque fois qu’il ouvrait la bouche ça sentais la merde, mais c’était seulement quand je tournais la tête vers lui. Depuis j’ai fait quelques vols et je sais maintenant que l’odeur venait des toilettes défectueuses… Un vol de merde, j’en ai jamais refait. J’essais de connecter avec mon senti… J’y arrive pas je m’occupe du senti des autres à la télévision, si j’avouais que c’est parce que je me sent bien mais y’a toujours une odeur de détergent par-dessus mon odeur de merde, mon senti c’est pas ce que je sens mon parfum mais c’est ce que je ressens. C’est comme je vous racontais à propos de la schizophrénie, je pue et je vais bientôt prendre une douche et me parfumer. Je pense à ce « collègue » avec qui j’ai voyagé en France à Besançon. C’est pas devenu mon ami et c’est o.k. quand je suis partis c’était pas vraiment important. Y’a le directeur adjoint du SAPA à l’institut avec qui j’ai fait plusieurs voyage plusieurs activités. Je dirais que c’est presque un ami quoi que maintenant je suis trop jeune pour participer à ses programmes. Non! Non! Je suis pas incontinent, je sais pas pourquoi je vous raconte ça. J’écris pas pour faire l’intéressant, y’a trop longtemps que je veux écrire, je laisse pas passé ma chance. C’est vrai que je pourrais me contenter de mon cahier mais j’aime bien l’idée d’avoir un ou deux lecteurs. J’ai des reflux gastriques je sais pas pourquoi, je suis probablement trop nerveux j’ai mal à tous les trous. Une émission sur les véhicules récréatifs, je pense à mes snowbirds, l’entretien de leur véhicule, je crois que le bof est capable de s’occuper de ça. Encore une fois je m’éloigne de mon senti, ça me tue quand ils disent qu’il faut que tu dépense pour économiser. Pour revenir aux snowbirds c’est certainement moins difficile de vivre dans un V.R. qu’en camping dans une tente quand même j’aimais beaucoup camper, parfois ça me manque, un feu le soir, le bois la campagne, je suis loin de ça dans le goulag… L’automne dans le bois c’est aussi beau. Je suis pas un chasseur mais je comprends pourquoi on peut aimer ça. Un chalet et un poêle à bois c’est aussi agréable. Je termine en vous souhaitant un bel automne. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

samedi 24 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Belle journée, cet après-midi j’ai dormis j’ai laissé la télé fermée. Je survivrais si je vous écrivais pas mais ça me donne un sentiment d’accomplissement. Je sais pas si je vous crée un stress numérique avec mes écrits mais c’est pas le but. Ai sortis les vidanges comme pôpa et j’ai rencontré le copain de la voisine que j’ai salué. C’est pas simple écrire à tous les jours, ce matin j’ai marché jusqu’à la librairie et j’ai acheté un roman de poche. J’essaye de nommer ce que je sent. Je pense à Georges et à Johnny les copains belge de mon enfance. Ils sont pas resté leurs papa a décidé de retourner en Belgique. J’écoutais ma sœur et sa copine Aline parler des gars, j’aurais aimé être un de ceux-là. Dans une maison quelque part y’avait surement des filles qui parlaient de moi, je sais pas qui, je sais pas où mais je crois. Un autre souvenir de mon père qui voulait acheter une porte de garage pour la shop, j’en fabriquais justement mais le patron oncle a décidé de pas en acheter une où je travaillais. Il a préféré une porte en métal à une porte en bois, c'étais pas important de me donner du travail, d’acheter où je travaillais. J’ai encore ces frustrations là en tête… et je suis partis j’étais déjà fou. Je me souviens avec la gang le soir en regardant les étoiles je leurs racontais qu’une fois partis de chez mon père je ferais de gros party c’est jamais arrivé. Ça me fait mal de vous raconter ça, les gars m’ont laissé tombé et y’en est resté que un, que j’apprécie toujours. Y’avait toujours ces gars qui en voulait à mon argent, j’étais pas riche mais j’en avais de côté les caissières de la banque le savait… Me souviens aussi d’avoir refait le solage en pierre d’une maison, les gars étaient correct ils me donnaient du travail pas longtemps après ça je suis tombé malade, j’errais, j’errais seul et en peine dans la ville a cherché du travail. J’ai longtemps voulu revenir en arrière et tout recommencer mais c’était impossible. J’étais battu mais battu pourtant j’ai pas compris ça a pris beaucoup de temps avant que j’arrive à me rétablir. Comment vous dire que matériellement je suis pas nantis mais y’a des choses que j’ai acceptés et ça va mieux. Je regrette, j’ai de la peine et je regrette pourtant j’essaye de faire de mon mieux. Soixante ans et j’aurai pas accomplis grand-chose à part ça cette écriture où j’essaye de vous dire en m’arrachant le cœur.  J’avais un chien Anak qu’il s’appelait, tout ce que j’avais réussis à lui montrer c’est de sauter au bout de mon bras, c’était une chienne elle étais folle mais je m’amusais. L’automne je me souviens pas d’avoir ramassé les feuilles, je laissais ça à mon père, lentement les arbres changent de couleur, je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je regardais une émission sur l’art au vingt-et-unième siècle. Des sculpteurs féminins qui disaient que lorsqu’elles exposaient leurs œuvres fallait qu’il se passe quelque chose. De l’animé dans le géologique. Je peux pas m’empêcher de pensés au Nénuphar d’Alexander Calder une œuvre exposés au Smithsonian c’est un stabile par opposition au mobile. Je suis peut-être dans le champ mais j’y vois une évocation du déjà vieux art nouveau. L’organique Nénuphar, les feuilles qui se réflètent dans l’eau leurs évocation puissante. C’est aussi l’évocation d’une vie dans la marre, les feuilles poussées par le vent et les oiseaux qui volent. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexander_Calder  J’ai toujours été fasciné par Calder lui qui avec les parents qu’il avait ne pouvait être autre chose qu’un artiste. Il semble que ses stabiles sont tous en acier peint en noir. Sauf celui de l’exposition internationale de 1967. J’ai aussi vu son mobile dans l’aile est de la National Gallery of art, une œuvre haut perché depuis les rénovations, les galeries étaient fermées. https://www.youtube.com/watch?v=IhGkuj5f2rI . Je me demande ce que valent ces petites lignes d’écriture c’est la seule matière que j’ai l’espace et les moyens de travailler… L’abstraction en écriture j’y arrive pas et malheureusement je suis pas Marcel Duchamp. Je sais pas pourquoi je vous parle de ça cette nuit peut-être à cause des œuvres noires… Je vous écris ça pendant que les américains sont au bord de la guerre « civile ». Les bars viennent de fermer quelques tueurs casse-cou klaxonnent. Je sais que parfois la nuit après son quart de travail mon lecteur chauffeur d’autobus viens manger une poutine et un burger au fast-food du goulag occidental. J’essais de réfléchir à ce qu’étais la vie d’un célibataire au début du vingtième siècle, pas de télévision, un peu de radio et l’internet on y pensait même pas. Je dis ça parce que je suis seul et je trouve le moyen de m’activer autour de la technologie… La télé est sur France vingt quatre, j’aime bien cette chaîne. J’enregistre une émission sur une autre chaîne. Je sais pas si vous avez remarqué j’aime bien la sculpture mais la seule chose que j’ai jamais sculpté c’est une cuillère  et j’ai jamais été capable de faire des châteaux de sable. Je suis quand même fasciné par la présence des arts dans notre vie de tous les jours. Je pense à mon lecteur designer à la retraite qui pourrait me parler de ça. À ce rythme d’écriture là je vais être muet bientôt. C’est toujours la nuit dans le goulag occidental , le jour arrive ce seras pas long. Étrangement je pense au tour à bois comment les tourneurs sont aussi des artistes, je crois que les tours sont maintenant numérique encore un métier qui se perd… Cette nuit comme souvent je me sent à la veille d’un départ, je crois que c’est la télé qui fait ça France vingt-quatre. Je ne pars pas je reste pour vous remercier d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!

Bernard

vendredi 23 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Je vous écris avant de souper, la télé est sur les infos… Je crois que vous êtes capables aussi bien que moi de les regarder. J’aime beaucoup le camping que va faire la nièce avec ses enfants et son chum. Je suis allé la semaine passée au verger où ils vont se rendre, Labonté de la pomme http://labontedelapomme.ca/ un endroit extraordinaire avec une équipe superbe. J’y ai mangé une excellente soupe à l’oignon et de bonnes pommes. Je crois que je vous ai déjà écrit à ce propos. Le soleil sort ce soir, j’aimerais comme toujours écrire sur mon senti, la poésie ça peut être ça, les pommes et le miel, le bucolique d’une petite ferme pour les enfants. Ai mangé un pâté au saumon, écouté en rafale une série sur les trains un peu partout dans le monde… Ils parlent de la place que veulent prendre les adolescents, à cet âge-là j’en avais pas de place, c’est les actualités qui parlent des adolescents. Ce soir je suis pas malheureux, suis pas sortis j’attendais le téléphone du médecin, on m’a donné rendez-vous pour lundi après-midi. Bientôt un vol de quatorze heures entre Montréal et Shangaï . J’aimerais ça aller en Chine voir entre autre la mausolée de Mao Zedong même si j’ai plus mon petit livre rouge. Le voyage se ferait en Boeing 787 https://fr.wikipedia.org/wiki/Boeing_787. Je sais pas si mon lecteur qui travaille à la Rolls-Royce a mis la main sur les moteurs de cet avion. Je suis malade de voyages, malade des avions, hier je pensait me rendre en Nouvelle-Zélande, pense aussi à la Corse, des îles. J’oublie pas que le goulag occidental est sur une île. Ça se tiens pas, plus que jamais mon texte. La voisine du dessous est justement partis à Shangaï… Les nouvelles c’est toujours de la magouille et moi j’arrive pas à écrire ce que je ressent. Je reviens sur les voyages en train. J’avais bien du plaisir à le prendre pour me rendre dans la région de la capitale nationale. Je m’assoyais au bar du train, qui n’existe plus, pour écluser quelques bières. J’avais l’impression de faire quelque chose. Ça sert à rien l’alcool est toujours là dans ce que j’écris, je vous parle pas de la première fois que j’ai pris l’avion avec l’amaretto à volonté… Non! Je serai vraiment pas un grand écrivain… Incapable d’écrire quelque chose qui a du sens. J’ai eu qu’une vie mes expériences sont limitées ça donne juste des textes boiteux. Quelqu’un gueule dehors, son chien jappe, rien de très profond ce soir. Je me lance des défis de quelques mots, des instants sans résonnance, juste du vécu passé pourtant ça s’intitule au présent, c’est que j’écris maintenant. J’ai chaud le soleil frappe par la fenêtre, les publicités télévisées sont en bruit de fond, ils vendent des produits absurdes… Le texte tire maintenant à sa fin, je vous parlerai pas des assurances… Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

jeudi 22 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! C’est jeudi soir, la semaine prochaine je passe à l’institut. En me regardant dans une vitrine j’ai remarqué que je suis pas très élégant. J’ai envie de manger des chips. Ce soir j’attends l’inspiration, dehors passent les camions… Je croyais avoir oublié d’éteindre le four quand je suis partis, mais non! J’écris mots à mots… Je remercie ma puissance supérieure j’ai pas bu aujourd’hui. Ça on m’a dis de garder ça dans l’anonymat, mais c’est le mien je ne nomme pas personne d’autre, c’est pas une question de pouvoir mais d’expression, juste dire que c’est possible d’arrêter de consommer… Certains oublient parfois que nous ne sommes plus dans les années quarante, que les asiles n’existent à peu près plus, on mise beaucoup sur le rétablissement certains qui ont besoin de plus de support on de l’aide dans des foyers de groupe et différentes ressources. Je sais que dans ma dégaine mon côté pas normal parait… Les restes de mes multiples psychoses, les résultats de ces injections d’anti-psychotique retard. « Que sont mes amis devenus »-Rutebeuf interprèté par Léo Ferré le regretté https://www.youtube.com/watch?v=27PU0qYEMpU . C’est touchant cette chanson je pense à tous ceux-là qui sont passés dans ma vie pour mon mal, pour mon bien… À ceux que j’aime encore qui sont si loin, si loin…  La folie n’est plus celle du Moyen-âge, c’est une folie faites de psychose de toxicomanie et parfois on voie de ces beaux fous purs qui n’ont jamais bu, jamais utilisé de produits toxique ceux pour qui vraiment on arrive pas à comprendre, ceux pour qui si ils n’étaient pas ce qu’ils sont ce serait pas eux, une folie toute personnelle. Ouais! Je suis quand même toujours dans le goulag occidental et je pense comme souvent à mon bôf, je sais pas pourquoi d’ailleurs, il répare sa roulotte pour encore faire le snowbirds cet hiver. Ce soir je suis passé devant son alma-mater le cégep Ahuntsic je crois aussi que ma lectrice de L’Outaouais y a travaillé dans les débuts de sa vie active. Moi j’ai pas de souvenirs de cégep dans ma jeunesse, je me débattais de boulots en boulots pour payer la pension. « One bourbon one scotch one beer »- John Lee Hooker interprété par Georges Thorogood  https://www.youtube.com/watch?v=--AvCsh48bk . Moi je sais pas ce que je serais devenue si y’avait pas eu de musique, même dans ma plus terrible dérive y’avait de la musique, je crois qu’il y avait un côté schizophrénique là-dedans. Ce soir c’est vraiment l’automne, il pleut, il fait frais et jours après jours octobre arrive. J’ai souvenirs de ces kiosques dans le parc où on trouvait abris, c’est là que ma vie de bum à commencé, faisait pas chaud mais ça nous tenais à l’abri du vent, de la pluie… Voilà c’étais ça mon université, le parc, la rue et les amis aussi malheureux que moi. Je termine lentement en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! J’espère que vous allez apprécier. À la prochaine j’espère encore!!!

Bernard

mercredi 21 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je file, je file et c’est pas de la laine. Je sais pas pourquoi je regarde la télévision, j’imagine que c’est pour me distraire… Je crois que je devrais donner dans la fiction mais avant j’ai le souvenir de m’être fait pété les dents au ballon-balai. On me les avait arraché sous anasthésie, « Anastasie l’ennui m’anasthésie ». J’ai souvenir aussi d’une dent creuse c’est idiot parfois je regrette de ne pouvoir jouer dedans. C’est une chronique pour un dentiste et un denturologiste… J’aime pas beaucoup les auto-proclamés poètes, ceux pour qui la poésie c’est les nuages, pour moi c’est la dureté de la vie et j’aimerais bien être poète, voilà deux ou trois mots écris ici et là et on est poète! La poésie ça a parfois a voir avec l’étymologie, la sémantique et la sémiologie parfois certains qui se rendent là mettent fin à leurs jours. J’essais de m’en tenir au lexique… Je sais pas si je vous ai déjà écris sur mes lectures du dictionnaire, je cherchais la définition de mots qui me passaient dans la tête des espèces de voix…  Sémiologie ça a à faire avec semence, la mienne a jamais servis à rien… Semé voilà ce que j’essais de faire ici mais la récolte seras mince. C’est difficile écrire là-dessus, je pense à Foucault, à Lacan… Y’a des fois que le silence parle plus, tout ça après une claque sur la gueule… Je me souviens du pusher qui m’avait donné les livres comment écrire un scénario ça a détruit mes rêves de cinéma… Y’a la sémiotique aussi, je sais pas où je vais avec ça… Je vous écris avec en bruit de fond les publicités télévisuelles, côté sémiotique dans les sports on a pas grand-chose de sexuel, vous savez quand parfois certaines conversations prennent une tournure sexué. J’ai pas à faire mon frais, c’est une histoire de cochon, de porc comme quand on utilise le verbe mettre comme dans se mettre d’une façon crue et sans érotisme. J’étais jamais allé dans ce sens-là sur le goulag. C’est un blog pour adulte de toute façon c’est tellement mêlé un enfant y comprendrais rien. Oui! Oui! Les boxeurs sont toujours abstinents à l’entrainement quelques semaines avant un match, après gagne ou perd ils tombent dans la débauche… Là je pense aux cheer-leaders du football on est pas supposé y voir rien de sexy. Je pense qu’à mon âge avec ma bedaine j’ai plus grand-chose de séduisant, j’aime quand même bien les jeunes filles. « Il suffirait de presque rien » une chanson de Jean-Marc Rivière interprété par Serge Reggiani https://www.youtube.com/watch?v=FqaSdy3lR7Q . Je sais c’est pas très romantique ce que je vous écris ce soir. Quand je vous écris comme ça la fatigue s’en va, le vieux fou que je suis y trouve un certain repos dans l’expression. J’ai finalement trouvé à vous raconter, c’est pas ce qu’il y a de mieux, c’est mon expression. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!!

Bernard

mardi 20 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai des problèmes avec le câble télé, ce soir j’ai beaucoup de difficulté à vous écrire. Je veux écouter le hockey mais le canal semble pas branché. Je pense… Finalement ça marche. Le mot qui me viens en tête c’est névrose, viens de regarder une magnifique version de Creep de Radiohead  https://www.facebook.com/nbc/videos/10154084312154760/ . La soirée est pas mal avancée, l’équipe canadienne de hockey à gagné. Je pitonne sur ma télé essais de voir les stations à lesquelles je suis abonné. C’est pas très beau comme phrase. Je mange quelques biscottes, je suis à bout de cette écriture, j’ai tout écris à propos de mon senti, cette démarche « littéraire » ne m’auras mené qu’à un cul-de-sac une impasse. J’ai plus de souvenirs, j’ose pas vous dire que j’avais fait pleurer le patriarche à mon entré et à mon expulsion du collège. Plus tard l’oncle voulait m’aider à m’inscrire pour des études en éducation spécialisé, le patriarche l’avait pris personnel, l’oncle lui en avait pas parlé… C’est des vieilles histoires tout ça, je radote. J’ai soixante ans je peux pas recommencer ma vie, plus je vieillis plus le temps passe vite et je suis échoué sur les haut-fond du goulag occidental, ma coque prend l’eau je coule mais je m’accroche au bastingage en attendant les gardes côtes, tout ça pour dire que la vague quelle qu’elle soit ne m’auras pas mené loin juste sur de la pierre au ras de l’eau, le moteur étouffé, le mat brisé et les voiles déchirées c’est pas fort comme métaphore, une épave ça écris pas comme les grands hommes de lettre, ma vie c’est un peu la fin du vingtième siècle, le début du suivant qui a vu naitre la terreur, mais oui j’ai peur, maintenant que ça s’approche je veux plus mourir. Ce soir j’essais de tout vous donner, limité par le peu de verbe que je sais utiliser, laissé mon senti approché du votre ce ne seras que ça un rapprochement sans faire de mal par un déjà vieux prestataire qui s’est toujours battus avec la misère. Je courre à la mère et dans la mer de sentiments méchants je me perds comme souvent, voilà voilà tant de temps qui m’arrache gros jean comme devant. Je sais pas trop ce que ça veux dire, peut-être une autre façon de dire ma perte, ma malédiction, vous en ferez de belles phrases moi tout me mène en rond. Les filles disait c’est que des mots, oui mais les miens je les ai appris dans la douleur et le mal, j’écris pas avec mon sang parce que c’est trop clair trop évident, ça saigne et vous me rentrez dedans. J’y arrive et je pense comme souvent à Jos et son Boubla du Race de monde du grand V.L.B. Voilà! Voilà! Voilà quelques mots encore que je vous prie de me pardonner, j’ai pas d’échelle je peux pas grimper. Je vous laisse merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Me revoilà! J’ai un peu peur de Trump candidat à la présidence. J’essais de trouver quelque chose de positif à raconter. Je pense que je vais placer la photo d’un portrait de Christopher Reeves, Superman, il est décédé et ne souffrait pas de paralysie cérébrale comme je croyais mais étais tétraplégique à la suite d’une chute de cheval. Je  pense que Reeves a marqué le rôle, il faisait un Superman crédible si ça se peut.  Je crois qu’on le voyait plus se changer dans une boîte téléphonique, elles deviennent de plus en plus rare et on permet l’utilisation des toilettes dans les restaurants seulement aux clients. En tout cas à Montréal je sais pas ce qu’il en est de Métropolis. Je reviens à mon senti cette nuit, le  goulag occidental est tranquille c’est un peu épeurant. J’entends une voiture qui passe viens de voir l’autobus de nuit y’avait qu’une cliente, qu’un passager. Déjà mardi je cherche comment vous exprimer mon senti souvent j’ai honte de vous en parler c’est un peu pornographique et j’ai pas le talent de Philip Roth où d’Henry Miller pour exprimer la sexualité crue, comment vous dire que souvent je me fais ami avec des relations stériles les femmes sont lesbiennes. Je dirais aussi que parfois je sais pas parce que j’ai plus de vie sexuelle… http://usineapaysage.blogspot.ca/2008/05/bernard-saulnier-lusine.html Voilà un texte d’il y a longtemps, on m’y avais dérobé mon portefeuille, le  temps passe vite ça fait déjà huit ans… Après le sexe je sais plus quoi dire, j’ai la tête vide… Les choses artistiques on voie souvent ça comme de l’enfantillage. Je  pense que parfois les enjeux sont pas assez grand, pas assez sérieux… Donné à lire voilà ma mission, j’aspire même pas à la poésie elle est trop éthérée, j’espère resté dans le concret une poésie du quotidien, je me lève prépare un café m’assois devant l’écran en espérant de tout cœur pondre quelque chose. Pour le sens on repasseras parfois y’en a tout simplement pas. Cette nuit je roule  à vide, pense encore à Christopher Reeves comment c’est triste pour un homme qui a incarné Superman de finir ses jours faible et paralysé. Ça m’a quand même fait plaisir de voir cette toile, souvenir de superhéros, de vilains et de kryptonite…  Clark Kent et Lois Lane quel beau couple, j’aimais bien les épisodes où Lois ne savait pas que Clark était Superman. Clark était un peu délicat et disparaissait on ne sait pourquoi si on se prêtais au jeux.  C’est quand même un peu mon senti tout ça, c’est ce que je ressent à la pensée, à la vision de cette peinture… Souvenir de comics books dérobés chez le marchand de journaux, le vice commençait là à huit neuf ans à lire en anglais les pages couleurs sur du mauvais papier. Voilà je vous ai fait un aveux, je sais pas ce qu’ils sont devenus ces comics books. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

lundi 19 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Je vais essayer de vous en pondre un cette nuit… Je pense partir encore je sais pas vers où, ça commence à être dangereux partout. La terreur fait sa job, dans le goulag occidental quelqu’un fouille dans les bacs à poubelles… Étrangement je suis réveillé dans la nuit, les voitures qui passent sur la Catherine vont vite. Ce matin plusieurs d’entre vous s’en vont à l’ouvrage, moi j’ai une réunion où je vais comme souvent parler de mon vécu, de mon senti… Je pense à J.F. le propriétaire du bistro où j’avais mes habitudes y’a longtemps, un été je lui avait prêté la maison que j’avais loué à la campagne dans ces années là j’étais plutôt itinérant, ça fait presque trente ans. Viens de me taper les magnifiques harmonie vocales des sœurs Roches, https://www.youtube.com/watch?v=6-LJX9IXiio . C’est un copain du temps qui avait ramené le disque d’une virée au New-Jersey… Je pense à la maison de chambres, non je veux pas y retourner, je me rappelle avoir trouvé une bicyclette que j’avais monté sans l’inspecter, la chaîne avait pété je m’étais presque cogné les couilles sur la barre horizontale… Je pense au Quiconque meurt meurs à douleur de Robert Morin https://www.youtube.com/watch?v=vNtMMnCW3Hk . Je sais pas pourquoi je vous met ça là peut-être à cause des explosions à New-York. La police va surement faire des perquisitions. Je vous écris ça je vois pas le temps passé, je me couche je vous reviendrai… J’ai passé droit, je suis resté couché. Me revoilà! J’arrive de ma réunion dehors c’est chaud et humide c’est difficile d’écrire sans faire de mal à personne, fait mon lit, bue un verre d’eau. C’est terrible ce vide intérieur et ce qui est étrange ça fait pas mal. J’ai démarré le climatiseur, il est midi vingt-cinq c’est rare que je rédige mon blog à cette heure. Peut-être que quelques un d’entre vous vont me lire sur leur heure de diner. « J’irai jamais sur ton island » une chanson de Michel Grisolia interprété par Fabienne Thibeault https://www.youtube.com/watch?v=WB6pN5r4ZZU . Je reste chez moi sur la mienne d’île dans le goulag occidental. Je me râfraichis c’est assez insignifiant ce que je vous écris aujourd’hui, je pense à tous ces virus informatiques qui infectent la machine, pour l’instant je suis épargné. Mon lecteur qui travaille au conseil du trésor me fait peur il a une barbiche de motard. C’est difficile d’arrêter et de reprendre cette écriture. Je pense aux petits gars de mes nièces qui sont à l’école, je leurs souhaite du succès, moi au primaire j’avais de la difficulté avec ce qu’ils appelaient les réglettes je vous écris et je me sent comme à ces moments de petite école. Dans la famille de ma lectrice à la retraite de l’Outaouais y’a des bébés, c’est bien mais chez nous du côté paternel y’a qu’un neveu, on pense à lui dans sa cuisine. Je m’arrête et je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

 

dimanche 18 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Ai regardé l’émission Thalassa c’était très intéressant ça se passait en partie en Thaïlande, une région que mon lecteur chauffeur d’autobus de la rive-nord connais bien. Ça donne envie d’y aller mais les endroits les plus intéressants sont interdits aux touristes.  Je sais pas pourquoi, maintenant j’ai toujours le désir de partir c’est probablement parce que je me fais vieux et que je veux pas mourir avant d’avoir rien vu. « One night in Bangkok » http://www.dailymotion.com/video/x2wcy_murray-head-one-night-in-bangkok-19_music .  Je vais essayer de vous parler de mon senti cet après-midi, survivre dans le goulag occidental c’est assez simple, j’ai dû faire différent métier pour manger et j’y suis arrivé mais quand je suis tombé malade tout m’a parue impossible. La folie paranoïaque s’était emparée de moi, maintenant elle est moins présente… Je crois que j’ai moins d’ennemis… Je remercie et je prie ça me garde loin des ennuis. Je respire aussi par le nez ça coupe l’anxiété, tout ça je vous l’ai déjà raconté. En vous écrivant comme ça c’est une façon de faire ma part pour la communauté sans parler des groupes que je fréquente et où j’écoute les autres moins chanceux. Je suis toujours dans mon cahier je prépare un autre texte pour les humeurs culturelles… J’ai téléphoné à la matriarche elle est pas revenue de sa fin de semaine au chalet. Je cherche comment dire le bonheur, le fait d’être heureux puisque c’est de ça qu’il s’agit… Le problème c’est que ça dure pas y’a toujours une pensée négative qui apparait et qui fait mon malheur. Je veux pas faire de psychologie comme dans les livres de psycho-pop, c’est surtout sur la spiritualité que je mise me semble qu’un peu de foi ça peut pas faire de tort.  Je calcule le temps que je prends à vous rédiger ça après je veux regarder les actualités à la télé… Je sais pas si je vous ai écrit à ce propos, j’ai rencontré un végétarien et lui ai dit que j’étais pas fort là-dessus, il prête des pensées humaines aux animaux moi je crois pas à ça, un animal ça raisonne pas ce n’est qu’instinct, lui se demande de quel droits les humains tuent et mangent des animaux me semble que c’est vieux comme le monde, l’homme est toujours allé à la chasse à longtemps été éleveur, la viande c’est toujours dans le guide alimentaire canadien, ça me choque les végétariens j’ai pas les moyens de faire mes courses dans le rayon bio… Je pense aux repas que j’ai mangé à l’hôtel, la viande étais très bonne j’ai encore la saveur dans la bouche. Je sais que pour nourrir le bœuf y’a beaucoup de déforestation mais y’a surement une façon écologique de faire. Je pense que si j’achetais mon bœuf sur ses pattes çe serait mieux… Je suis carnivore que voulez-vous! Le goulag occidental est pas fait pour les granolas. Je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


 Bonsoir! Bonjour! C’est la nuit, j’espère que tout s’est bien passé pour le scan de mon lecteur de Deux-Montagnes. J’ai dormis maintenant je vous écris. J’ai pas d’inspiration. Cette nuit je cherchais un livre sur le rétablissement dans la schizophrénie, j’ai pas trouvé… J’entends pas de voix juste une sorte de discours dans ma tête, c’est aussi ça mon senti. J’aime bien cette solitude dans la nuit, dehors il pleut « Trouvez mieux » une chanson de Robert Charlebois https://www.youtube.com/watch?v=ZD7Ciqgqa5U  Je suis bien réveillé, cet après-midi je vais regarder l’émission télévisée « Des racines et des ailes » https://www.youtube.com/user/DRDAfrancetv  une très bonne série documentaire… Je crois que je vais manger… Deux tartines au beurre d’arachides. Je me souviens du Vieux-Montréal dans les années soixante-dix, j’avais dix-huit ans, la majorité… Lentement je perdais l’humour de la vie, je pense à ma névrose qui pour me faire plus mal s’est transformée en psychose… Assez fou pour attendre le pusher et fumer son mix de drogues. https://www.youtube.com/watch?v=3XqyGoE2Q4Y . Je me souviens d’une époque, une trentaine d’années à peu près où j’avais peur dans ce que je n’avais pas encore baptisé le goulag occidental. Le last call approche https://www.youtube.com/watch?v=xuZA6qiJVfU  du New Wave y’avait quand même une belle sensibilité dans cette vidéo qui montre un peu comment on se rendais fou à consommer dans les bars « Looking for Mister Goodbar » https://www.youtube.com/watch?v=fp1Lb694uag  un autre film qui montre les dangers de la nuit. Mais tout ça parlais de moi de ce que je cherchais dans ces virées nocturnes et ne trouvait jamais, une femme, une fille qui veux bien rester avec moi. J’ai jamais connu le succès dans cet univers noir… J’ai envie de vous placer « Saturday night fever » https://www.youtube.com/watch?v=u1qN6gLbUMw Un film un peu moins noir sur le night life. J’aurais aimé ça vider une piste de danse parce que je dansait trop bien mais tout ce que je réussissais a faire c’est me faire traiter de moppe à cause de la sueur que je dégageais en dansant. « Barfly » à la fin de mon monde de consommation ça ressemblais plus à ça https://www.youtube.com/watch?v=E5OLViof8ho  et là tout à coup je pense au film « La femme qui boit » de Bernard Émond, la solitude et la folie https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Femme_qui_boit  et là je me vois après plusieurs scotchs m’endormir au bar mais y’avait toujours quelqu’un pour me tenir éveillé. Je détestais l’alcool mais j’ai attendus trop tard pour arrêter. Tout ça pour raconter qu’avec l’alcool on nous vend aussi des rêves de show-bizzness et voilà une publicité d’une bière qui n’existe plus, je pense que c’est de la pub « sociétale » https://www.youtube.com/watch?v=0FAQ5naycAw  Là c’est le vrai last-call ça fait vingt minutes que les bars sont fermés, j’espère vous avoir fait dériver une partie de la soirée. J’étais loin de ce que j’appelle mon sentis c’était un peu mes humeurs nostalgiques d’alcoolique abstinent. Je termine là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!! Bye!!!

Bernard

samedi 17 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! On dis que pour commencer une conversation,  une vrai relation, on commence par parler de la température alors allons y. Aujourd’hui c’est gris ça annonce un peu de pluie. Je peux pas en dire plus je suis pas monsieur météo. J’essais comme toujours de vous écrire sur mon senti, c’est vide… Je cherche qui est le poète le plus médiatique, je crois que c’est Jean-Paul Daoust http://www.jeanpauldaoust.com/  un peu moins connu y’a Patrice Desbiens https://fr.wikipedia.org/wiki/Patrice_Desbiens  et moi si on compare je n’existe pas. L’enjeu de la poésie pour moi c’est la vie, celle qu’on risque en écrivant quelques mots on entend souvent l’alcoolique dans la poésie du désespoir, le poète est souvent, que dis je? Est toujours athée, il essaye de se libérer par l’écriture et n’y arrive pas c’est souvent une poésie de la défaite qui en veux à cette sale vie remplie de conflits et de guerres. Je suis bien loin de ma vie avec  ça j’essais de me tenir au plus près de mon senti, il me semble que j’ai tout dis, c’est verbeux ce que j’écris un babillage qui ne veux rien dire… Je vous courre après avec mes textes teigneux comme si j’avais la gale… C’est mauvais la poésie technologique faut s’en tenir à l’humain, à l’humanitude, à la solitude… C’est pas une question de savoir faut voir en soi et attendre que les mots se fassent. Difficile de dénoué l’enjeu de prendre la liberté quand on est attaché à l’ignorance. Pauvre cave, pauvre cave voilà ceux qui jugent on m’appelle à la cour, les policiers ont plus le temps. La police c’est pas très poétique. Je fais affaire avec une autre sorte d’agent, culturel celui-là qui cherche le crime de lèse-majesté. Je me souviens dans ce café à la scène ouverte elle cherchait le génie qui était-elle pour juger du génie… Je prends le temps, je suis pas iconoclaste, je respecte les objets sacrés, mon époque de brise-fer est révolue pourtant on aime souvent le choquant. Dans le moment dans ma tête j’entends mon nom de famille Saulnier, y’en a moins que de Tremblay… Je reviens à la température j’attends la pluie, ce seras je crois pour cette nuit. Encore aujourd’hui j’ai rien écris de remarquable, je me vois me faisant vider du Saint-Sulpice avant même d’avoir publier, y’a longtemps déjà j’ai raté l’occasion de me faire des amis. Salut le concours! Je crois pas pouvoir gagner ma vie décemment à coups de prix. La reconnaissance j’en aurai jamais je suis trop vieux. Elle est terminé mon époque du jeune fendant me souviens plus pourquoi… Je sais qu’on ne voulait plus me servir j’étais trop fatigant, un peu plus tard j’ai arrêté de boire et battus le désespoir. On aime bien les poètes saouls mais faut pas qu’ils dérangent trop, juste qu’ils nous donnent encore des poèmes de dépression, de bas-fond et voilà je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! Je suis bien à jeun. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!

Bernard

vendredi 16 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’ai passé une belle journée loin du goulag occidental, au soleil dans un verger. J’aime beaucoup ces sorties, c’est pas snob, y’a plein d’enfants c’est familial. Ai parlé avec mon lecteur de Deux-Montagnes, je crois que c’est un lecteur fidèle comme plusieurs d’entre vous. Ce soir j’ai pas envie de me dénigrer juste de prendre ça easy. J’ai comme souvent en automne, raconté mes expériences de cueilleur de pommes. Souvent les gens croient pas que j’ai fait ça déjà, y’a longtemps, pour gagner quelques dollars, maintenant je cueille un cinq livres que pour moi, des mcintosh, je racontais aussi qu’à la petite école on nous emmenait pas dans les vergers comme les enfants d’aujourd’hui. Ce soir y’a un beau coucher de soleil,  ça été une journée heureuse à en pleurer, le personnel du verger était très sympathique. Parfois c’est difficile de parler de son monde intérieur, je crois que les psychiatres aiment pas beaucoup ça quand on dis, on écris notre sentis… Moi c’est ça qui me sauve et y’en a quelques un quelques une qui aiment lire ça. Ce midi j’ai mangé une soupe à l’oignon, y’a longtemps que j’avais pas mangé une bonne soupe à l’oignon gratiné au fromage. L’ami Michel dis toujours qu’il faut pas accorder trop d’importance à ces espèces de pensées délirantes… Viens de répondre à un sondage CROP sur mes services de communication, rien à dire j’ai répondu mais je sens que je vais me faire harceler par les services provider. J’arrête de vous parler de ça drette là, ces appels me dérangent. Je me sentais bien jusque-là mais je sais pas quand ces grosses compagnies vont cesser de demander l’argent du pauvre, étrangement j’ai la toune « Les yeux du cœur » https://www.youtube.com/watch?v=HFp9wfIT2q8 Une chanson avec des paroles de Jean Hould et une musique de Gerry Boulet interprété par celui-ci et Marjolaine Morin. C’est pour mon lecteur de Deux-Montagnes c’est très années quatre-vingt. Je sais pas si vous êtes comme moi mais parfois je veux reproduire de bons moments que j’ai passé. J’y arrive pas toujours c’est un peu de la nostalgie… Les journées raccourcissent de plus en plus, les enfants sont en congés pour le week-end les mamans devront avoir des trésors d’imagination pour les occuper… Moi j’aimais lire et dessiner parfois j’avais pas envie de sortir dehors. Je préférais rêver… S’te maudite adolescence qui est venue briser tout ça, ça été long avant que je devienne adulte. Je pense à cet ami qui est partis vivre en France et que j’ai jamais revu. C’est décousu comme souvent ce que j’écris, je devrais pas revenir sur le passé, j’ai vécu, j’ai vécu je revivrai jamais ça et aujourd’hui parfois j’arrive à être bien. Lentement la nuit s’en viens. Je pense à la pomme et à Guillaume Tell, il avait du visou… https://www.youtube.com/watch?v=sdqBJjz31v4  Voilà lentement je me retrouve, je suis bien content de ma journée. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!

Bernard

Au présent


Bonsoir! Bonjour! J’arrive pas à dormir c’est comme si je faisais de la fièvre. En écrivant comme ça parfois on trouve une pépite, c’est pas de l’or mais j’arrive à faire une image riche. Je me lève, je me couche j’arrive pas à dormir. Ce matin on va dans un verger ramasser quelques pommes. Y’avait ce gars qui disait qu’à quatre heure du matin c’était le meilleur temps pour faire ses coups, qu’à cette heure-là même la police dormait. Mais oui le goulag occidental dors, quelques voitures passent rapidement, le matin s’en viens et j’attends. Je me bat pas avec le clavier je laisse les mots arriver quand à la nuit elle va partir nous quitter encore pour cette journée. On m’a félicité d’avoir un texte publié dans le livre des Impatients, le groupe d’art thérapeutique. Je sais pas si c’est à titre d’artiste, de personnalité où d’Impatients c’est pas important mon texte est là. Mercredi je sais pas pourquoi j’ai salué une inconnue… Je sais qu’on aime pas que j’écrive ce qui me passe par la tête mais je vois pas ce que je pourrais écrire d’autre… Y’a quelqu’un qui cherche des contenants recyclables dans les rebuts et dans les bacs de triage. Comment écrire que maintenant l’angoisse est beaucoup moins grande que j’arrive à vivre décemment sans peur des voisins. Je songe à tout ce temps que j’ai vécu avec la peur au ventre comme si j’étais en guerre avec l’univers, la paranoïa omniprésente. Je reviens sur ce voyage organisé à New-York, les voyageurs que j’entendaient me dénigrer, je sais pas si c’était vrai ou si c’était des hallucinations. J’étais très confus mais je suis arrivé à m’isoler dans la foule de Manhattan. Je crois que j’ai un ego perturbé, une hyper-sensibilité maladive… Le chauffeur d’autobus comme j’ai rien acheté se demandait ce que j’étais allé faire à New-York, c’était juste pour le beat de la grosse pomme. Trompez-vous pas c’était il y a plus d’un an mon voyage le plus prêt c’est à Washington. C’est vendredi lentement les gens se lèvent pour allés au boulot, quelques un  ont veillé tard intoxiqué et alcoolisé ils sont incapables d’aller travailler… J’ai souvenir d’avoir fait ça, on pouvait pas compter sur moi, je couchais n’importe où chez la première venue. Je crois que je vais prendre une douche. Voilà c’est fait, j’ai un doux parfum, bientôt le jour va se lever souvenir encore de ces matins ou je partais travailler sur le pouce c’était pas drôle, j’avais pas les moyens de m’acheter une voiture, c’était ça j’ai presque toujours vécu sans automobile. Y’a des chansons qui me reviennent comme des vers d’oreilles, ce qui m’étonne le plus c’est que j’écoute pas la radio du matin. Je suis debout mais je suis pas un travailleur, je m’y retrouve pas… Les habitants du goulag occidental vivent pas les problèmes de circulation. Je m’arrête là avec une pensée pour quelqu’un. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!

Bernard

jeudi 15 septembre 2016

Au présent


Bonjour! Bonsoir! Très belles journées. Je suis allé au supermarché pour quelques achats et j’ai acheté le magazine L’Itinéraire, http://www.itineraire.ca/  moi les camelots me rassurent ils habitent le quartier ce que j’appelle le goulag occidental, c’est mon univers, quand je les vois pas je me demande ce qu’ils font pour moi ils sont une sorte de protection. Je sais que je suis pas à l’abri de l’itinérance s’agirait juste que ma santé mentale se détériore. Hier entre cinq et six heure j’étais au coin de la rue Sherbrooke et Saint-Laurent, c’était la folie furieuse, l’embouteillage les autobus remplis, les voitures qui n’avancent pas, ça m’angoisse cette foule, j’attendais l’autobus un pick-up s’est arrêté devant moi le gars a sortis deux cônes orange et un balai y’avait une odeur de haschich. Je crois qu’ils étaient là pour nettoyer l’abribus, avant j’ai un peu marché sur Saint-Laurent je me suis retourné à l’arrêt ce qui ressemblait à un toxicomane me suivait. Je l’ai laissé passer. Je suis vraiment pas dans mon senti avec ça. Aujourd’hui je vais mieux, j’ai pas envie de bitcher personne. Ai parlé avec l’intervenante ça m’a réconforté… Je sais pas pourquoi je pense à la chanteuse Fabienne Thibault https://www.youtube.com/watch?v=FvikQRWJwGg je crois qu’elle est l’auteure de cette belle chanson, aujourd’hui elle fait carrière en France. Hier j’étais perdu aujourd’hui je me retrouve, j’ai une bonne odeur. J’aime pas beaucoup le monde snob où j’ai fait une virée hier. J’aime ces après-midi où je suis seul chez moi je vous écris et j’évite les ennuis. Je trouve plus, je trouve pas les mots et c’est ça qui me rend idiot voilà! Le dénigrement reviens parfois, je crois que c’est pas bon de vous dire ce qui me passe par la tête pourtant c’est mieux que de porter un masque. Là je pense à un musée de Londres la Courtauld  gallery avec une magnifique exposition d’impressionnistes. Un psy au prénom de Jean-Pierre m’avait conseillé de le visiter, il s’est pas trompé j’ai bien aimé. Partout où je suis allé j’ai visité un musée où du moins j’ai été en contact avec l’art, parfois on en trouve où on s’y attend le moins faut rester attentif. Je me souviens plus de la pensée alcoolique et négative sur les musées pourtant… Pour un alcoolique actif le monde va trop mal ça sert à rien d’essayer de créer sinon de peindre le monde en noir, pourtant de ces nuits de malheurs peux surgir une immense création, une grande œuvre… Si on avait attendu que tout aille bien le blues serait jamais né. Je me suis éloigné de mon senti. J’ai pas le blues j’aime la vie même si, même si on nous endort on nous ennuis avec la guerre avec les si… Voilà ce qui se passait dans mon petit appartement du goulag occidental cet après-midi, quelques mots pour vous dire que je prie, que j’aspire à l’esprit. Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Arrivederci!!! Ciao!!!

Bernard

 

mercredi 14 septembre 2016

Au présent


Bonsoir! Bonjour! Ça l’air qu’on trouve que je suis un gros sale, ça commence mal ce soir, du dénigrement. C’est toujours une question de santé mentale, la mienne est pas forte forte. Je fait chauffé une pizza… Un imbécile je suis un imbécile et je sais pas où est ma place. Je devrais rester chez moi loin des mondanités, ce que j’avais lu sur le formulaire de l’aide sociale c’était bien schizophrénie c’était pas grippe virulente. C’est toujours une question de sentis… J’ai envie de tout lâcher de m’enfermer chez moi mais pourquoi… J’ai pas à prendre le mauvais que les gens m’envoie. Ça y’est j’ai mangé ça me calme un peu. Ce soir au lancement du livre je me sentais comme à la cour de Louis XIV avec ses courtisans, j’ai pas vu le roi et je sais pas qui s’était mais tout le monde a fait parade pour la bonne cause. Ce soir en revenant, à l’arrêt d’autobus je regardais un avion filer droit vers l’est, j’essayais de deviner sa destination… Je cherche encore elle est où ma place, c’est pas dans une shop ni dans un commerce pas plus dans un bureau mais où?!!! Où?!!! J’ai dormis un peu… Je comprends très bien les alcooliques-toxicomanes rétablis qui ont mis fin à leurs jours. Ils ont été dévoilé, on a brisé leurs anonymat c’est une des raisons… Je vais me faire un café, l’eau bouille… Je veux encore et toujours vous écrire sur mon senti. Dehors c’est froid le climatiseur indique douze. Dans la population on aime pas les schizophrènes on pense aux gestes affreux que parfois ils posent. C’est un des stigmates que j’essais d’abattre mais je  peux comprendre ce sont souvent des êtres chers qui sont victimes des schizophrènes. Y’a aucune sensibilité dans la psychose où peut-être une sensibilité déjanté, je  pense à l’Anti-Œdipe de Deleuze https://www.youtube.com/watch?v=HVLWbtxrQPw . Hier les gars m’ont invités à la radio, j’ai parlé de mon voyage à Washington, de ma schizophrénie en voyage http://www.iusmm.ca/institut/humeurs-culturelles/billets-2016/un-schizophrenique-a-washington.html . Parfois j’ai tellement mal, j’ai tellement mal je pense au film « On achève bien les chevaux » où à la phrase « venez donc m’abattre » c’est pas très réjouissant cette nuit mon blog. La maladie prend parfois le dessus, je  peux pas vraiment accepter d’être fou comme ça. Je suis content d’être chez moi ce soir. J’ai repris la pratique du cahier, j’espère que ça va donner quelque chose de différent pour l’agent de planification programmation et recherche. On y arrive y’a pas mort d’homme. Je pense à l’habillement de certains toxicomanes qui s’injectent des drogues parfois ils font des crises d’épilepsie, vous voyez je suis encore dans mon thème de prédilection. J’entends les roues des trains qui crient dans la gare de triage, pense à ces petits bars toujours plein un peu passé le coin Saint-Laurent-Fairmount, les gens discutent et s’amusent, moi j’en ai trop abusé je peux plus me permettre ça. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!

Bernard