Bonsoir!
Bonjour! Suis debout à vous écrire un autre blog. Je m’endors encore, rêve à
ces capitales que j’ai visité, au centre de Washington on trouve plus de
Starsbuck’s que de McDonald c’est surement à cause des « bus food ».
Je pense au National World War II Memorial c’est magnifique. J’en finis plus de
ce voyage, d’avoir été là. La semaine prochaine j’irai à la radio on m’a invité
a participer à l’émission Folie Douce. Les yeux me ferment tout seul, c’est la
nuit les bars sont fermés les plus alcoolique d’entre nous vont se trouver un
endroit pour boire après les heures. J’écris ça lentement sans trop réfléchir,
Montréal a pas d’immense monument comme Washington. Je pense à Ottawa humble
petite capitale du Canada. Ai ouvert un emballage de gaufrettes à la vanille.
Quand j’ai sommeil comme ça, mon senti se tiens tranquille. Je pense à cet ami
que, pensant bien faire, j’avais essayé d’aider. Je crois qu’il est décédé
prisonnier de l’alcool et des drogues… Y’a aussi la poétesse de qui je n’entends
plus parler elle corrigerait certainement ma prose de prolétaire mal-aimé…
Ouais! Il est neuf heure trente je sors du lit me souviens pas de mes rêves.
Hier soir j’ai regardé le football. Je me sens débile pas à peu près quand je
termine de regarder ça. Ce matin je me sens mieux mais puisqu’il s’agit de vous
savez quoi je survie. Je baille, ce matin la journée semble superbe,
étrangement je me sens encore en voyage. Ai démarré le climatiseur… J’y arrive
pas, j’y arrive pas, ma tête est dans un silence angoissant, mon écriture veux
pas dépeindre ça, veux pas y plonger dans cette anxiété matinale étrangement j’ai
des émotions parisiennes des souvenirs de café dans un bistro. Je me souviens
dans ce bistro de la rue Beaubien on se la jouait française c’était ridicule.
Je reviens là-dessus je sais pas pourquoi ça fait des années… Je m’invente des
urgences d’écriture. J’en veux pas à personne, j’en veux plus. Je raconte
toujours la même histoire surtout le matin Légères je dirais de mes angoisses
qu’elles sont légères, ça se raisonne dirais le psy… Y’a des gens qui sont plus
discret que moi dans la fréquentation de la psychiatrie. Moi à l’époque j’étais
saoul avec le parkinson et je disais à tout le monde que j’étais schizophrène
ce qu’il ne faut pas faire, je pense à cette femme qui me méprisait avec raison
elle était travailleuse sociale. J’ai tellement eu d’injections dans la fesse j’en
ai encore mal… Mais c’est finis tout ça je reste tranquille me dévoile pas où
il faut pas, ici ça va. Je sais pas trop ce que je vais faire aujourd’hui,
souvenir de samedi à la taverne c’étais pas le meilleur endroit pour se faire
une copine, y’avait un immense urinoir contre le mur et on pouvait jouer à la
roulette. Voilà! C’est tout pour ce matin. Je vous remercie d’avoir lu
jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
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