Bonjour!
Bonsoir! Fête du travail, jamais autant travaillé depuis que je suis chômeur.
Je dirais plutôt à la retraite. Je vais essayer d’avoir un peu de sens et de
pas vous mettre des chansons pas rapport quoi que c’est une bonne façon de vous
faire réagir. Ça me tente pas d’être le vieux mon’onk saoul qui téléphone à
tout bout de champ et qui écris sur internet. Ce matin j’ai lu un très bon
poème affiché sur un poteau, on se disait que ce serait pas mal si la ville de
Montréal affichait des poèmes un peu comme à Trois-Rivières. C’est pour bientôt
je crois le festival International de poésie de Trois-Rivières http://www.fiptr.com/ fin septembre vraiment dans l’automne. Moi je
me considère pas vraiment comme un bon poète je m’y suis mis trop tard, les
meilleurs poèmes je crois sont des œuvres de jeunesse encore je suis qui moi
pour écrire sur la poésie, aujourd’hui la poésie c’est l’affaire des docteur ès
lettres… Une ambulance passe, la vie aussi peut y passé. Quand je pense poésie,
je pense à tout ces regrettés poètes qui ont parfois illuminés ma vie avec
intelligence. J’aimais les lire j’aime toujours lire mais parfois je me dis qu’aujourd’hui
la poésie a plus de place. Je réinventerai pas le genre mon écriture est
toujours une apocalypse verbeuse sans finesse qui se croit tout permis. Faut
savoir les mots, les vivres aussi même si on en meurt un petit peu plus chaque
jour. Vous voyez bien, vous lisez bien je suis pourris pourtant j’aime la vie
avec cette prose prétentieuse. Je m’y essaye à la poésie, je suis pas sérieux,
j’aligne les mots sans être maudit et puisqu’on y est parlons en de la
malédiction des idiots qui s’enferment dans l’alcool et les toxiques, le trait
de génie il est pas souvent là-dedans, le down alcoolique puisqu’il faut en
revenir et regarder à jeun ce qu’il faut faire. Mais vous, vous êtes poètes
quand dans la routine de vos vies vous amusez les enfants les cajolez les
adorez. Je ne désespère pas du monde viendras un nouveau Bach un Saint-François
et l’amour pour toujours on le donnera en partage. On en sortira de la nuit des
barbares en pardonnant, non pas de loi du Talion juste le pardon pour qu’eux
ils connaissent la miséricorde de ceux qui ont la vrai foi et encore je suis
qui moi pour parler de vrai foi? Un gueux, un gueux moyen-âgeux un peu
scrupuleux. Non! Non! C’est pas l’homélie c’est juste quelques mots ramassés
ici et là une espèce de puzzle de délire savant et je devrais dire ignorant. Je
cherche à plaire vous savez… Le poète est malmené quand il essais la vérité, c’est
difficile et avoué, j’irai un jour face a ma destinée rencontré la bête qui m’a
malmené et je fredonnerai, je fredonnerai une chanson de mal-aimé. Je vous
laisse donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!! À la prochaine
j’espère!!! Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!
Bernard
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