vendredi 29 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Allons y pour la « poésie ». les mots à s’en arracher le cœur jusqu’au plus large de l’estuaire de l’aorte le sang qui coule en marge du malaise sans nom en essayant d’avancer. Du n’importe quoi en essayant de partir pour arriver, triste sans savoir pourquoi j’arriverai à recommencer et les mots malheureux encore une fois, écrire en pensant au géant qui paralyse dans le cercle vivant, s’écrire incapable soudain dans le faux en pensant à un ami. Se pendre virtuellement étouffé par les tentatives esthétiques, voyons bein voyons donc où tout ça mène survivre comme une vieille peau avant d’aller à l’abattoir… Je pourrais continuer longtemps comme ça c’est plus de l’écriture automatique que de la poésie. J’ai rêvé un peu cette nuit, les écrire c’est difficile. Allons y plus tendrement plus lentement en vous respectant dans cette tentative d’écriture. C’est la nuit et y’en a qui trainent et crient dehors la peur me colle au ventre. Que de bêtises cette nuit, hier j’ai regardé l’émission l’échappée belle, une région des vallées en reconstruction après le passage d’une tempête c’était beau à pleurer. Je suis niais je me dis souvent avec émotion que la France c’est aussi chez moi pourtant j’y connais personne mai j’irais bien y passé quelques mois. La matriarche a reçu mon livre elle semblait heureuse de l’avoir. J’en prépare un autre… J’ai mal au cœur, j’ai mal au corps on me dis que c’est de l’arthrose peut-être. Cette nuit je suis dans une impasse je pense m’être égaré à Lisbonne… Sur Facebook y’a une photo de Simca du même modèle qu’avait le patriarche encore des souvenirs. Y’a pas de musique dans mes mots c’est malheureux. J’ai toujours mes voyages en tête je sais pas où je ferai le prochain. Quelques mots encore dehors ils ont cessé de crier. J’arrive pas à écrire avec de la fioriture à mettre ça tout beau tout bon avec une bonne estime de moi. Je pense à l’auto-stigmatisation j’étudie ça, j’en parle mais j’arrive pas à m’en débarrassé c’est un travail de tout les instants. De la tendresse voilà de quoi le monde a besoin, écrire lentement tendrement faute d’amour. C’est toujours étonnant d’entendre les gens qui passent et parlent seul. Voilà! C’est la chute, la conclusion, l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

30/09/2023


jeudi 28 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Vendredi c’est très bien je me souviens que je mangeais un hamburger steak avec oignons à la brasserie c’étais mon deuxième chez nous. Ça s’est compliqué quand j’ai voulu arrêter, la quitter… Je travaillais plus, j’avais plus d’assurance chômage juste des boulots que je détestais, je faisais encore faire ma lessive par la matriarche. La job vous pouvez pas vous imaginer comment c’était pénible c’est loin tout ça ça me fait mal juste de me le rappeler. Comme si j’enlevais pas ma main et la cognais à coups de marteau, douloureux, autour de moi y’avait personne qui avait cette conscience là.  Heureusement je payais quand même mes cotisations c’étais saccadé entre les périodes de chômage et d’emploi. Ça allais jusqu’au moment où j’ai été attaqué par la schizophrénie les voyage chez le psychiatre étaient difficile è Terrebonne y’en avait pas je devais aller à Sainte-Thérèse où à Saint-Jérôme j’ai finalement été suivis à l’hôpital Maisonneuve Rosemont au début j’y allais à toute les semaines avec le désir de mourir. J’ai survécu je finissait toujours par me trouver des petits boulots des copains m’embauchaient. Je suis loin ce soir je me rétablis encore. La solitude me pesait je buvait pour la briser mais après je devenait encore plus seul… Quand vous êtes au centre-ville et que vous voyez un toxicomane itinérant dites vous que c’est moi. “ How does it feel to be on your own like a complete unknown “ Bob Dylan. J’ai pas fait mon smart longtemps j’étais seul et désemparé parfois dans des emplois minables c’étais difficile. Toujours à boire et à boire pour m’apaiser mais c’étais le contraire je me détruisais. Aujourd’hui je suis sobre et je me porte mieux vous êtes peut-être fatigué de me lire là-dessus mais c’est ce que j’ai vécu pendant des années. Ça va toujours prendre une grande place dans ma mémoire… J’ai finis par m’installer au centre-sud je suis là depuis trente ans, ça me va je ne courre plus au prestige. Le jour la ville est moins mauvaise qu’il n’y parait surtout que je me rétablis de toute mes mauvaises habitudes. Voilà! Je termine c’est la chute, la finale, la conclusion, l’épilogue. Je pense au psychiatre aux injections d’antipsychotique aux douleurs dans ma chair. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

29/09/2023


mercredi 27 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Victoire du Canadiens hier c’est bien. J’ai dormis je cherche un propos, la matriarche va pas bien, je lui ai posté mon livre j’espère que ça va lui donner un répit. La ville est toujours pareille. Ce matin je prend un café avec les voisins. Je sais pas si on peux passer directement de la rue à l’hôpital et y avoir des soins souvent c’est aussitôt rentré aussitôt sortis le manque fait des ravages. Bientôt vous aurez droit à un deuxième volume… La réviseure fait son travail j’attends tranquillement. Encore cette nuit je voudrais vous parler de mon sentis parfois je suis épuisé d’entendre tout ce babillage dans ma tête à l’époque je le faisait taire avec de l’alcool mais c’était pas aidant je faisait n’importe quoi. Les miroirs me tuent. Hier soir j’ai mangé un excellent pâté chinois c’étais l’anniversaire d’une voisine y’avait du gâteau au chocolat on étais neuf… J’ai démarré le climatiseur, mangé un chausson aux pommes toujours le souvenir de la cueillette des pommes à Frelishburgh, du petit garçon avec son fusil à plomb, au deuxième jours on m’a renvoyé je les ramasse plus leurs pommes toute les récoltes saisonnières c’est pas pour moi qu’ils s’arrangent… Ha les fraises et les framboises ! L’assurance chômage c’est toujours plus payant que les travaux agricoles. J’ai des douleurs au dos et aux jambes de la difficulté à marcher mais la nuit ça va mieux. Comme toujours je prend une douche et je me parfume. Je trouve pas, je trouve plus quoi vous raconter on est bien à l’automne le temps va se rafraichir. Comme ceux qui n’ont rien à dire je parle du temps qu’il fait ils annoncent beau pour le reste de la semaine… Pour ce qui est de travailler je connais le tabac, je reste à la retraite. Je pense aux ruelles et aux potagers de Villeray c’est surtout des italiens qui cultivent dans leurs cours arrière, bientôt le raisin vas arriver ils vont faire quelques litres de gros rouge. Un peu de sauce tomate aussi. Ces jours ci c’est un bon moment pour se rendre au marché Jean-Talon acheté des produits frais. Où regarder les étalages. Voilà! C’est la chute, la finale l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Quelques mots encore !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

28/09/2023

 


mardi 26 septembre 2023

 

            Bonsoir  ! Bonjour ! J’essais de me trouver une destination pour mon prochain voyage, Pays-bas?Norvège ? Mais c’est cher, j’ai le temps ça me mène dans deux ans. J’ai dormis un peu je me souviens pas à quoi j’ai rêvé. En ce moment je lis un roman qui se passe dans une communauté de jeunes dans les territoires du Nord-Ouest  c’est l’héroïne qui nous raconte c’est dur la plupart sont en début vingtaine. Je me souviens de la galère dans laquelle j’étais à cette âge là. Une fois entre autre dans un rang à Saint-Paul-de-la-Croix où on avais capoté en voiture, une Renault on étais tous sortis indemne… Dans le roman ce sont tous de jeunes toxicomanes alcooliques, des punks no-futures anarchistes, la vérité c’est que ce monde là est cruel et criminel, l’autrice semble pas en faire grands cas. Cette nuit les itinérants sont tranquilles hier y’a eu un meurtre dans la rue… Quand je couchais dehors je réalisais pas ça sur le trottoir on est très vulnérable sans parler des types qui t’agressent parce qu’ils veulent ta dope. Tôt le matin le trottoir est humide on deviens tout mouillé c’est difficile et c’est encore pire dans l’herbe. J’ai hâte de donner, de partager la formation sur la stigmatisation, j’ai révisé la documentation mais tout est en co-construction. Je pensais que j’avais deux pots de café en réserve semble que j’en ai qu’un comme si je l’avais jeté où qu’on me l’avais volé, distraction? C’est parfois ça la schizophrénie, je fouille dans les poubelles je trouve pas… Je sais plus trop quoi vous raconter les mouches sont disparues, la nuit avance il est trop tard pour les refuges ils vont devoir rester dehors… Hier j’ai vu que les amis d’Aylmer avaient des campements d’itinérants à Gatineau c’est pas drôle. Je vais vous dire j’aime bien mon petit logis, ce soir je bois pas et j’ai pas envie de mourir d’une overdose pour un alcoolique faut jamais touché à sa bouteille j’imagine que pour un toxicomane on touche pas à sa dope, des écorchés des écorchés vivant qui vivent dans le désespoir parfois ils croient être lucide, je sais pas… Tout ça fait beaucoup de blessures ça n’arrête pas. J’ai pas de recette pour arrêter moi c’est aujourd’hui que je consomme pas. Voilà c’est la chute l’épilogue la conclusion. Ça se termine comme ça. À la prochaine je l’espère !!!

                27/09/2023


lundi 25 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui je vous écris de la fin de l’après-midi. Il fait beau je suis un peu nostalgique, il vente le soleil se couche parfois je me sent comme si j’avais onze douze ans. Aux nouvelles à la télé encore un assassin taxé de schizophrénie comment vous dire qu’on nous met tous dans le même panier. Je connais des malades décents… Dans le parc en face ils jouent au volley-ball, je suis vide mais vide ! La télé est sur le réseau des sports, j’attend le football américain, j’aimerais beaucoup vous écrire avec sensibilité parfois je fait pas attention. Ouais ! Je me suis couché et j’ai dormis cette semaine à la télévision j’ai vu une aristocrate d’une famille amie de Proust c’est malheureux mais j’arrive pas à le lire. Au lancement du recueil d’un ami je racontais que la lecture m’avait sauvé la vie, à un moment la femme avec qui je vivait aimait pas que j’écrive quelle tristesse incapable de m’exprimer elle me rabaissait toujours. Y’avait pas d’amour je sais pas ce que je faisait là avec elle. J’aimerais bien vous écrire la lourdeur dans laquelle je vivait, la tristesse aussi j’étais pas à ma place dans ce concubinage ça été long avant que je le réalise. C’est loin tout ça j’ai dérivé longtemps avant de jeter l’ancre où j’habite maintenant. Mon histoire est pas très très originale, un affect déglingué je sortais sans trop savoir ce que je cherchais. J’arrosais ça de bière et tout le monde était très malheureux. Le voisin désagréable est revenus il sort sur la passerelle en pleine nuit et envoie chier les passants. Je pense qu’il entend des voix, il crie ta gueule mais on entend personne parfois je crois que c’est à moi qu’on crie ta gueule à cause de mes interventions dans les médias. J’ai pris une douche me suis parfumé ça me rassure. La nuit y’a surement des itinérants dans le parc en face je me souviens du concierge qui y jouait de l’harmonica. Je me tairai pas… De toute façon on sait pas que je suis debout que je ne dors pas, les rideaux sont tirés on peux pas me voir. C’est de l’angoisse tout ça… J’ai peur pourtant je suis chez moi c’est comme si on pouvait lire dans ma tête. Voilà ! C’est la chute,  l’épilogue , la conclusion. Je vous remercie !!!

26/09/2023


dimanche 24 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour !  Lundi je me suis jamais réveillé aussi tôt depuis que j’y suis plus obligé. Je me rappelle plus à quoi j’ai rêvé. Hier pour souper j’ai mangé deux œufs bacon avec deux toasts beurre. Je me suis rappelé du temps où j’avais pas le choix où le frigo était vide. Je pense toujours à l’Europe, au voyage j’aime tellement voyager en attendant je suis occupé à un autre projet… Fin de semaine de bonne humeur qui a bien débuté avec la victoire des Alouettes, ils ont consolidés leurs deuxième place au classement général dans l’est ça s’annonce bien pour les finales. J’ai pas une écriture très sensible cette nuit, y’a pas de douleur pas de psychose pas de paranoïa un bon esprit veille sur moi. Ça s’agite pas trop dans ma tête, je pense aux grands écrivains, je suis pas de ceux là. Je travaille plus à l’heure des boulanger pour avoir quelque chose de bon et chaud le matin. Je pétris, je pétris j’espère que la pâte va lever avant de l’enfourner… Mais oui ce seras là bien chaud vous aurez qu’à griller et à sortir le beurre pour le petit déjeuner lecture. Combien de fois j’ai été dans le pétrin, je compte plus je m’en suis sortis. Voilà c’est comme ça cette nuit, un moment dans le quartier y’a eu une boulangerie elle a fermée. Je pense  aux pastel de nata de Bèlem ils étaient délicieux. Je marchais sur le boulevard le long du Tage j’ai admiré le monument à la liberté. En ce moment j’écris que de la tête le sentis y est pas… À Montréal quand je suis descendus de l’avion on m’a pas salué je sais pas pourquoi. C’est assez pour que je change de compagnie de vol. J’ai payé pourquoi pas un minimum de politesse.  Je regarde toujours pour un prochain départ dans deux ans. À la fin du texte j’essaye toujours d’exprimer ma sensibilité parfois je suis au bord des larmes et je me dis je vais sortir et tomber en sanglot devant la première personne qui va me parler d’habitude heureusement c’est pas ça qui arrive les gens sont très gentils. Voilà! C’est la chute, la finale, l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! Je termine à la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!!

25/09/2023


samedi 23 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je rêvais que j’étais à Paris avec une amie, on cherchais des souvenirs dans un magasin de pacotilles couleurs bonbon, c’étais dans des rues étroites avec des cafés bistro à l’architecture baroque aux devantures de fer forgés en arabesque ça parlais anglais y’avait des vigiles avec des armes lourdes qui nous ont mis en joue. Je me suis réveillé j’étais plus certain que c’étais Paris. Je suis heureux les Alouettes ont gagnés leurs matchs hier… Comme souvent je vous écris de la nuit… Encore une fois je vais essayer d’y aller avec mon sentis. Je suis pas en peine on m’a conseillé de pensés aux gens qui m’aiment plutôt qu’à ceux qui m’aiment pas… J’ai toujours un souvenir vivace du Portugal de Porto et de Lisbonne. Les amis sont rares faut savoir les chérir, discuté avec le vieil ami de mon prochain départ je lui ai précisé que ce serait pas avant deux ans… Il m’a invité chez lui à Saint-Pacôme je vais attendre encore un peu. Malgré tout le climatiseur fonctionne c’est frais… Je devrais commencer une autre aventure théâtrale bientôt, on va encore explorer. J’ai toujours les itinérants en tête ceux qui n’ont pas de logement qu’on a évincé, hier à la radio ils disaient qu’il n’y avais plus de maison de chambres à Montréal… Je me souviens, je me souviens trop bien de ce que c’étais les sanitaires partagés. C’est comme si j’habitais avec tout les intoxiqués du monde. Ce matin je vais regarder TV5 à la télé c’est toujours intéressants. J’aime bien quand mon bro me téléphone hier il était chez la matriarche on a discuté, je lui ai fait part de mon désarroi il m’a encouragé a pensés aux gens que j’aime. Je pense beaucoup à vous qui me lisez… Je me relis je suis ému, cette écriture dans la machine permet de briser la solitude, j’ai une drôle de petite musique dans la tête. Dimanche c’est plus ce que c’étais à part peut-être pour les chrétiens orthodoxes. Aujourd’hui c’est officiellement l’automne, à la campagne dans la forêt ce seras le festival des couleurs avant que les arbres ne se dépouillent. La pluie, la neige, le verglas voilà où on s’en va c’est difficile. Cette nuit je termine comme ça, c’est la chute, l’épilogue, la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

24/09/2023


vendredi 22 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Souvenir des vendredis soir à la brasserie à essayer d’arrêter de boire mais déjà c’était impossible que de désespoir. J’étais déjà prêt pour une cure, une thérapie c’est venue des dizaines d’années plus tard. Un gars m’appelait le Led Zeppelin il avait détecté mon amour du heavy rock’n’roll. Et j’y allais à la brasserie un vendredi après l’autre pendant des années. Encore des histoires d’alcool, les gars avaient tous des motos moi j’étais en vélo quelques années plus tard je suis devenus officiellement fou. Me souviens d’avoir dis à l’infirmière d’avoir fait le tour du Québec sur le pouce pour me tester, j’avais tellement peur je faisais les choses dans le désespoir.. Un peu de cuisine ! Hier j’ai préparé un macaroni de mon crû, viande hachée, bacon, oignon, poivron, sauce soya j’ai tout fait cuire quelques minutes et assemblé le tout. C’est très bon… Viens de regarder une vidéo avec les grands bluesmen me souviens d’un copain virtuose avec qui j’aimais bien discuter du jeu d’un où de l’autre. Je parlais d’émotions de feelings. Le blues a longtemps été pour moi une muse, ils chantaient « Let the good time roll » les nuits de week-end je ne demandais que ça. La musique pour moi ça longtemps été le blues un proche parent du rock et d’où viens toute la musique pop. Aujourd’hui j’ai été ému d’entendre le président Ukrainien Zelensky un discours bien sentis. J’ai encore dormis me souviens pas à quoi j’ai rêvé. Je vais fouiller mon monde intérieur mais pour l’instant je pense au commis emballeur au supermarché qui avait oublié de mettre un article dans mon sac je sais pas si il l’a fait exprès je lui donne le bénéfice du doute, il est peut-être pas content de son travail avec la pénurie de main d’œuvre c’est certainement pas facile de rester sur le chômage. Je me rappelle y’a plusieurs années on avait qu’a attendre deux semaines pour recevoir des prestations pendant un bon moment c’était le bon temps. Même là on payait nos cotisations. C’est samedi, j’ai fait des courses hier. Je sais pas trop comment terminer la nuit est avancée, je suis trop vieux pour m’engager en Ukraine, je prie pour eux. Voilà ! C’est la chute la conclusion l’épilogue. J’espère que vous avez apprécié comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

23/09/2023

 


jeudi 21 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je suis finalement allé à mes deux consultations, ophtalmologistes et denturologues. J’ai dormis un peu c’est le vendredi de la femme de ménage.  Je suis pas très inspiré, je pars pas en fou bien que… À la radio Bronski beat comme dans les années quatre vingt, j’étais déjà dans la dérive, j’habitais chez les copains où je déprimais à l’écoute de Laurie Anderson.. Parfois quand j’étais au bar je téléphonais pour me faire dire si t’est là j’y vais pas, l’Approche, le Minuit, le Passeport ça se terminais souvent au Hazard et je buvais, je buvais c’étais sans fin. Beaucoup plus tard dans la sobriété je suis devenus roadie je transportais de salles en salles le matériel sonore d’un band que j’ai jamais entendus. Viens de regarder quand les Alouettes jouent c’est samedi à seize heures à la télé. Combien de détour de zig-zag pour pas vous raconter mon sentis, j’aime bien quand on place des couvertures des livres Martine pour enfant ça me rappelle ma sœur c’est avec ça que j’ai appris à lire, lu et relus. J’ai jamais trouvé la réponse à pourquoi je lis, curiosité? Façon d’occuper ma matière grise? J’ai toujours été fasciné par les écrivains, je vous écris ça et je me sens bien. Je sors de la douche ça sent bon. L’histoire c’est celle d’un type qui vie seul et qui s’est mis en tête d’écrire, il arrête pas, ça va peut être donner quelque chose… Ouais! J’ai pas de talent pour mettre en scène j’en ai plus. Je pense à la matriarche encore solide. Je me souviens je trouvais des titres de romans et j’écrivais jamais rien. L’alcool la maudite alcool qui me déprimais heureusement aujourd’hui je me rétablis, j’ai tué l’ennuis. J’aime bien les noms des groupes de rock c’est des histoires en soi. J’aime bien aussi vous écrire comme ça le soir ça me détend, le temps passe si vite. C’est une soirée musicale ça me réjouis, les années quatre vingt ça fait déjà plus de quarante ans, je sais pas si vous aimez la chanson Careless Whisper de Wham moi ça me rappelle plein de choses… Et y’a toujours des choses heureuses à vivre c’est pas toujours dans la douleur. Voilà pour ce soir, c’est la chute, la fin, l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère !!! Ciao !!!

22/09/2023

 

 


mercredi 20 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Encore ce soir je vais fouiller mon monde intérieur. Je pense au années qui sont passées à ces nuits qui sont presque toutes des agonies. À cette « recherche » littéraire encore faut il que ce sois de la littérature, on dis ça de l’écriture partagée. Je pense à nos poètes bums, rockeur, médecin, politicien on a un large pan de la société, des gens sérieux étaient à l’œuvre… Je parlais avec un poète qui m’avouait ne pas lire, je lui disait que c’était essentiel pourtant… Moi la lecture ça m’a permis de survivre, je suis entré dans d’autre lieux d’autre monde. Je cherche a nommer l’émotion, le sentiment y’en a pas tant. Ce soir la nuit ne me parle pas parfois je pense au désarroi des médecins, à l’époque y’avait que eux pour écrire tout ceux qui avaient des velléité d’écriture étaient de pauvres fous, on leurs préférais et encore aujourd’hui un bon col bleu, un gars de métier, l’écriture si je peux m’exprimer comme ça c’étais pour les efféminés. Pourtant ça demande de la force pour se colletailler avec la page blanche, la noircir comme on noircis son âme pécheresse, fautive et toujours, toujours chercher un sens. Épistolier, je suis un épistolier informatique, tout le monde s’est mis à l’écriture je sais pas pourquoi je pense au regretté Falardeau et à ses portraits, il avait du génie… Je dis ça je trouve quand même qu’on galvaude le mot génial si on écoutais y’aurais un génie à chaque porte. Aujourd’hui les psychiatres surtout conseillent à leurs patients d’écrire c’est une sorte d’exutoire du désespoir quand les soins ont échoué. Je comprend pourtant y’a toute la difficulté de l’écriture crûe quand on ne cherche plus le style quand c’est brut. On y arrive pas l’écriture se laisse pas faire comme ça, comment dire ça peut vous sembler farfelu, la chose littéraire passe toujours par les études, je reviens avec mon écriture du crû de celui qui n’a pas lu… On cherche le texte pas le sexe, vous cherchez peut-être à quoi je veux en venir ? C’est que de l’expression. Voilà !!! Je termine comme ça c’est la chute, l’épilogue, la conclusion, quelques mots encore c’est peut-être déjà trop recherché. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

21/09/2023


mardi 19 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je pense à l’émission radio « il resteras toujours la culture » et a comment je me la sent imposée cette culture. Parfois y’en a qui manquent l’occasion de se taire des afficionados de ce qui est beau et bon pour nous, une sorte de dictature je dirais. On peux pas parler de Radio-Canada ils ont la « vérité » sur tout. Je pense à Fillion de Québec qui avait jeté un pavé dans la mare avec sa gang du plateau. Vaux mieux pas en parler ils sont trop fort, ils peuvent pas vraiment m’excommunié j’existe même pas  enfin je vais me taire et rester humble quelques bonzes culturels méritent pas que j’use mon clavier. Je cherche une façon de sortir du pétrin dans lequel je me suis mis, je suis pas très fort dans les écrits vindicatifs quand même je trouve ça gênant cet intitulé culturel on dirais l’antichambre du conseil des arts. Je sais vraiment pas où je vais avec ça, Armand Vaillancourt disait que j’avais pas le courage d’être écrivain. Je ne suis qu’un pauvre fou je l’assume… Je sais la radio j’ai qu’a écouté autre chose si ça me plait pas. J’ essaye de pas m’auto-stigmatiser je fait mon affaire ils font la leur. https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/desautels-le-dimanche/segments/reportage/395661/integration-sociale-schizophrenie-alexis-gacon  Voilà ce que je fait à Radio-Canada. Je vous dirais faut pas confondre le côté intellectuel et la maladie force est de constater que c’est dans la tête que ça se passe et que c’est pas facile de raisonner la folie. C’est pire ce soir, j’ai écris que des niaiseries quand même ça m’aide de vous écrire. J’en rajoute un peu chaque soir, l’écriture est à ma façon et à mes frais… Bientôt j’aurai quelques chose pour vous si vous aimez lire… Je suis désolé j’ai mal démarré, j’écris dans la solitude solitaire, j’aimerais beaucoup avoir une certaine noblesse dans mes propos… J’ai envie de vous inviter à la formation sur la stigmatisation que je donne en octobre c’est au Centre d’apprentissage santé et rétablissement Accueil - Centre d'apprentissage Santé et Rétablissement - UQTR (uquebec.ca) Je sais pas si il reste des places Voilà pour cette nuit. J’espère que vous avez apprécié. C’est la chute !!! L’Épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

20/09/2023


lundi 18 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je cherche un angle pour aborder l’itinérance. J’avais un voisin en rétablissement qui je sais pas pourquoi est retourné à la rue avant sa rechute il quêtais, rien pour remonter l’estime de soi. Il avait de la misère a arriver en fin de mois. Je crois que le gars s’est dis tant qu’à vivre pauvre comme ça aussi bien y retourner. Je me souviens de la maison Labre de la foule de gars qui mangeait là c’était impressionnant pas tous des itinérants mais des gars sans moyen après qu’ils avaient payé leurs chambres. L’alcool aussi. Je vois un échec du système de santé à soigner tout ce monde. C’est certain qu’aller attendre des heures à l’urgence de l’hôpital pour se faire soigner c’est difficile. On parle souvent de la plaie avant l’alcoolisme la toxicomanie si je vous dis la vérité quoi que ça a pu être j’ai pardonné. Je me suis longtemps cherché perdus et retrouvé… Cette nuit y’a des gars dehors plusieurs se croient rétablis et abandonnent tout leurs soins médicaments et thérapie souvent ils veulent en finir appellent au neuf un un pour que la police mettent fin à leurs jours c’est le désespoir. Pourtant on a besoin d’être aimé, la vie est si dure parfois, je pense à certains bistros où on stigmatise refuse de vous servir. En octobre je participe à une formation sur la stigmatisation, selon moi c’est une des causes de la rechute on vous fait sentir si différent victime de jugement tout ça quand vous avez pas un énorme budget, quand vous devenez client parfois ça se replace c’est dire les mauvaises valeurs. Je n’y crois pas je n’y crois plus c’est pourquoi je parcoure les rues… Quand même dormir sur le béton c’est difficile, toute la difficulté d’avoir un parcours de soin, de rétablissement un refuge pour se faire aider. Y’a un moment où il faut se taire et écouter rendus si bas c’est pas parce qu’on a réussis… Aux nouvelles assez de fentanyl pour tuer toute la population du Canada, aujourd’hui on va essayer de rester sobre… Voilà pour cette nuit !!! Je commence un autre vingt quatre heures. C’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Je veux terminer trop rapidement !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

19/09/2023

 

 


dimanche 17 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Dimanche se termine journée du weekend importante pour la « culture » télé radio réseaux sociaux ça occupe. Je sais pas trop comment vous dire ça vous avez probablement tous vos dada culturel. Je me questionne sur la pertinence de mes écrits si il ne vaudrait pas mieux que j’arrête, vous inquiétez pas je continue… Avec mon blog je suis pas dans la court des grands. Je l’ai déjà écris je crois le défi c’est dans la durée… J’aime bien vous écrire comme ça dans la soirée… Je pense à un prochain voyage Bueno Aires peut-être y’a le magnifique Botero qui viens de décédé, une grande et extraordinaire œuvre… Plus près y’a le père des boules du village , Cormier, qui a disparus une autre œuvre marquante qui donnait de la vie à tout un quartier… Samedi je suis passé à la place Gamelin toujours étrange avec ses gens à genoux devant un musicien ça fait de l’animation mais je crois pas que ça touche les bonnes personnes, bien sur la musique c’est pour tout le monde mais plusieurs ont besoin d’un abri. Faut mettre les choses à la bonne place dans la bonne perspective. Je sais quand on consomme tout passe par là, de la bière et de la dope toujours plus plus souvent en augmentant et on en a jamais assez l’état de manque c’est très difficile. Je reviens souvent à ça parce que dans mon quartier où qu’on jette notre regard c’est présent.

Sainte Catherine brûle

L’asphalte est léthale

La mort s’étale

Impudique dans le mal

Avale avale qu’elle dis

Froidure de métal

Y’a les balles

Et le bal

Des nuits pentothal

La mort le pal

Les chiens sales

Voilà un peu de poésie avec une pensée pour l’ami c’est toujours la nuit. J’espère que l’hiver feras pas trop de mort que personne ne va coucher dehors, souvent la dope ça se dégrade en problème neurologique… Voilà! J’ai presque terminé, la nuit dans les bars on peux pas distinguer qui est intoxiqué qui l’est pas, pas question d’entré là et de ne boire que de l’eau, le videur va vous éjecter. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! Je souhaite que votre lundi sois pas trop difficile !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao

18/09/2023

 

 


samedi 16 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai commencé la nuit en cassant de la vaisselle en brisant une assiette. Dans vingt minutes ce seras dimanche ennuyeux comme toujours. J’essais de me rappeler les gens que j’ai rencontré en voyage vous me le demanderiez je partirais demain. Samedi après midi y’avait beaucoup de littérature dans LaPresse+ j’ai lu toute les chroniques, toute les recensions de livres c’est intéressant. Je suis sortis en acheter un qui me paraissait plus intéressant que les autres à la coopérative de l’UQAM. J’ai aussi acheter mon eau de toilette à la pharmacie…. J’ai toujours des souvenirs quand je me parfume, je me crois en voyage. J’ai aussi acheté du sirop Buckley c’est toujours utile, pour ce qui est de marcher ça va mieux, suis passé dans le village pas trop étonné de voir des itinérants des multipoqués comme on dis en langage populaire, toxicomane santé mentale pour les aider je dois continuer à fréquenter ce quartier. Je dois pas les ostraciser ni les stigmatiser. La rue Sainte-Catherine est toujours piétonnière, lentement les commerces reprennent vie, on vois des toxicomanes biens accompagnés heureusement ils ne sont pas seul, faut quand même être prudent. La maladie dans la rue ça semble assez terrible, la façon dont on est dépouillé, la recherche d’un où d’une partenaire pour se protéger pour consommer, les façons de trouver de la dope… Je me prépare un café, je dois avouer que quand je vais dehors j’ai un peu peur. Je sais pas pourquoi y’a des chauffeurs d’autobus qui me font sentir coupable. Ouais! Le froid heureusement est pas encore là quand même il est jamais trop tôt pour chercher un abri… Chambreur c’est quand même difficile j’ai été de ceux là y’a un bon moment. C’est la nuit et ses oiseaux, loubard criminel ils n’étanchent jamais leurs soifs prennent un coup en attendant le prochain parfois l’alcool rend violent certains y prennent plaisir… La dope ça rend plus fou, un moment tu peux te soigner avec l’alcool et ça mais très vite tu va brûler dans le pire des enfers. Cette nuit la ville est peuplée de ces gens, je sais pas pourquoi quand on consomme on vie mieux la nuit. Allez dormir y’a quelqu’un qui veille. C’est la chute la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

17/09/2023


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir on a perdus encore une fois le match. Je regarde ça et je me tape les publicités de camions. Ces temps ci on parle beaucoup d’itinérance et de sans logis. Nos dirigeants promettent de construire du logement moi je veux bien mais si c’est pour bâtir des maisons de chambres à rabais avec des plomberies défectueuses et des murs pas insonorisés je crois que plusieurs vont faire le choix de rester à la rue. J’ai attendu patiemment l’arrivée de meilleures circonstances de meilleurs jeux, on les a presque eux. Le sport est cruel ce qui compte c’est la victoire en fait ce match nous a montré qu’avec un peu plus de ténacité on pouvait gagner. C’est difficile de perdre surtout comme ça à la dernière minute. J’écoute ce que mon cœur dis dans la nuit peut-être que je rajoute à l’édifice de la niaiserie. Dans la bouche j’ai une saveur de gros cornichons vinaigrés, j’arrive pas à me souvenir à quoi j’ai rêvé. J’ai hâte d’avoir des nouvelles de ma dernière édition… Parfois j’oublie que c’est la nuit que les gens dorment qu’ils ne travaillent pas sept jours sur sept vingt quatre heure sur vingt quatre. Ils doivent avoir du plaisir à faire ce qu’ils font. J’ai hâte de vous montrer le résultat je suis superstitieux je crois que si je vous en parle ça se réaliseras pas. Ça fait plusieurs nuits que je rédige ce blog parfois c’est difficile s’agit pas juste d’exprimer mais aussi de mettre les bons mots de vous faire vibrer à ma prose. C’est pas simple, le frisson est pas automatique, Samedi dans le journal ce sont les chroniques voyages que je regarde pour un prochain départ, à la télé y’a les publicités d’Emirates c’est très luxueux. Je suis bien réveillé, je crois pas voyager l’an prochain trop de monde ce sont les jeux olympiques en France. Je crois que l’automne va s’installer rapidement. Dehors c’est tranquille on ne circule pas dans les rues en travaux. Quelques mots encore, je sais pas pourquoi je pense à un moine bouddhiste, j’écris pas n’importe quoi c’est l’expression du célibataire solitaire. Faut trouver un sens à tout ça et si y’en avait pas ? Juste l’expression. Voilà !!! Je termine c’est la chute l’épilogue la conclusion, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

16/09/2023

 

 

 

 

 


jeudi 14 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Pour ceux qui s’inquiètent du boycott de Facebook vous pourrez quand même lire sans eux.. J’ai un peu dormis, ai mis de la musique des années quatre vingt. Mes services de communication sont payés. J’utiliserai pas Facebook mon âme est agitée, j’ai hâte d’avoir des nouvelles à propos de l’édition d’un autre livre ça devrait être bientôt. Je ne traine plus dehors la nuit, j’ai toujours les pensées qui comme un poignard me percent la cage thoracique. Non! Non! Je veux pas mettre fin à mes jours curieusement cette pensée est comme un réflexe thérapeutique tant que j’en parle ici ça va. Souvent on parle de la puissance des mots de leurs côtés tranchant dans l’esprit, j’ai démarré le climatiseur je cherche le frais… Encore dans l’insignifiance cette nuit semble que le quartier à la mode ces jours ci c’est la Petite Patrie tout près du parc Molson rue Beaubien coin Iberville… Rien n’y fait je pense à Frisco à toute la littérature de la côte ouest américaine, Ferlinghetti la librairie beat et tout les grands qui sont passés par là. J’écoute des séries télévisées et essaye de voir d’entendre la façon dont s’est écris. Souvenir j’arrivais au bar y’avait pas de musique je commençais à boire et criait victoire quand la musique démarrais. Ce furent des nuits tristes et noire, y’a quarante ans de ça… Allez j’y vais j’extirpe les mots fous de ce qui me reste de tête, malheureux a essayer a tenter une forme de poésie, une sorte de cut-up word à la Burrough. Ça intéresse plus personne de réinventer l’écriture on ne cherche que le lecteur, une « belle » façon de dire. Les émotions c’est trop peu trop tard… Je gueulais et sacrais tellement ont me vidait avec les motards qui eux ne se gênaient pas pour me bousculer c’étais ça aussi la folie. Combien de nuit avant la fin, avant le mortel silence, à un moment on les trouve plus tellement jolie les enseignes au néon, la ville nous a bouffé et tout ce qui vas avec on s’étend et attend sur le trottoir. J’aurai écris on diras ça, manquait que le talent, le doute bien installé. Voilà !!! C’est la chute, l’épilogue, la conclusion pour cette nuit. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

15/09/2023


mercredi 13 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Hier j’ai lu le recueil de poèmes de l’ami Nordman Chaman Rivard à la lecture de ses vers sur le moment on trouve ça ordinaire mais quelques minutes plus tard ça nous touche nous déstabilise ses rimes viennent nous chercher ses vers sont un refuge une expression  contre l’itinérance qu’il a connus. L’ effet est là après quelques instant la simplicité assumée nous touche on se sent tout drôle. L’homme ne cherche plus il est poète et l’inscrit dans son livre. Je dirais la poésie au risque de paraitre un peu niais mais des poèmes en partage qui le soulage.. Ses vers sont pas grandiloquents j’y vois les rimes comme une forme d’humilité l’homme impose son « style » sans s’excuser, une écriture salvatrice au relent de la fin des années soixante dix rock’n’roll et contre-culture bien vivante. Je dirais aussi chaman oblige une écriture guérisseuse, des mots et des gens qui ont imprégnés toute une génération, curative des addictions. Je le boudais Nordman mais j’en suis devenus fan, un rockeur dans la tradition des sanctifiés je dirais même martyr de l’itinérance avec l’espérance que sa poésie l’ancre chez lui à combattre la solitude et ses démons. On le lis et on sent les rimes dans sa tête et toute la souffrance qui l’a mené à ça c’est touchant on ne demande pas mieux pour l’homme qu’on souhaite inspiré encore. On ne parle pas ici de poésie brûlante mais plutôt du ton d’une opérette rock. On ne réveilleras pas Jim Morrisson ni ne ressusciteras Charles Baudelaire mais Rivard rajoute une pierre à l’édifice de la poésie je dirais « Like a Rolling Stone » on sent une démarche et espère qu’elle dure dans le temps en souhaitant que le poète nous donne d’autre vers émouvant de ceux qui coutent cher dans le temps.  Le chaman je sais pas si il s’inspire aux champignons mais on le verrais quand même dans une sweat lodge, dans la grande maison autochtone près d’un totem. Pour finir je parlerais d’écriture du rétablissement de la pleine conscience qu’il faut s’occuper de soi. Merci Nordman j’ai beaucoup aimé te lire. Voilà c’est la chute l’épilogue la conclusion. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt Chaman !!! Obrigado !!! Mon amitié la plus sincère !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bravo !!!

14/09/2023


mardi 12 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonsoir ! Hier soir j’ai rencontré quelques personnes au lancement du recueil de poésie d’un ami c’étais sympathique. Ça se passait dans un quartier, coin Iberville et Beaubien, que j’ai longtemps fréquenté, le poète m’a avoué qu’il ne lisait pas beaucoup pourtant selon moi c’est essentiel. J’ai fait la promotion de ma prochaine parution. J’ai sentis chez certain une profonde dépression qu’ils soignent avec de la bière, Ils disent qu’ils vont bien mais n’arrivent pas à se convaincre. J’ai bien aimé rencontrer tout ces gens, je crois que l’ami a vendu plusieurs recueil. On pourrais appeler notre gang l’école du Théâtre du Nouveau monde. Je veux pas faire de compétition littéraire mes écrits ont droit eu aussi à une édition papier. Un ami a dis que le poète et moi on ressemblait à Charles Bukowski et Hunter S. Thompson je lui ai dis merci et j’ai précisé que je buvait plus autant que Bukowski dans ces réunions là je suis plutôt asocial. Souvenir de la terrasse du Détour tout à côté, j’y brûlais la chandelle par les deux bouts, l’intersection est maintenant populaire. Un coin de la Petite Patrie méconnus je n’y vais plus. J’ai hâte que mon livre sois édité. Je me souvenais plus qu’il y a une caisse populaire et un guichet automatique tout à côté… Le Détour c’était y’a un moment plus de quarante ans, je m’ennuis pas de cet endroit. Bon! Je vais essayer de remonter dans mon monde intérieur. J’ai une chanson dans la tête je crois qu’elle s’intitule tu te souviendras de moi. Les aspirants auteurs ont tous la postérité dans la mire ils veulent faire l’histoire de la littérature quand même j’ai bien aimé le sourire des jeunes filles. Je devais pas vous parler de mon prochain roman c’est pour bientôt. J’essais de me creuser l’âme de dire avec sensibilité mon état sans parler de mon âge, dire toujours dire sans s’approprier les mots de l’autre, hier une amie a signalé à ses copains que je suis un grand lecteur ça m’a permis de rester vivant. Pour aujourd’hui j’en ai finis avec l’alcool, je disait que ça m’avais fait trop mal que je voulais pas y retourner. Voilà!!! C’est la chute, l’épilogue, la conclusion, hier j’étais le premier arrivé et le premier partis. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

13/09/2023

 


lundi 11 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai pas dormis j’ai de la difficulté a rester éveillé hier j’ai rencontré mon collègue pour préparer  la formation. J’entends le train, le voisin écoute des valses de Strauss. Je me suis recouché j’ai rêvé j’arrive pas à me souvenir c’était agité  J’arrive pas a m’inventer un monde onirique, je trouve pas je trouve rien à part peut être une mêlé des corps un peu comme au rugby. Le temps s’est rafraichis j’ai fermé le climatiseur. Guerre, feu, tremblement de terre voilà ce qu’on vois à la télé c’est triste… J’ai suivis une sorte d’atelier sur les problèmes concomitant et santé mentale semble que c’est long avant que les gens réalisent qu’ils sont toxicomane/alcoolique le psy qui donnais la formation disait qu’il aimait bien quand les gens s’engageait à rester sobre ne serait-ce que cinq minutes. Encore aujourd’hui je vais essayer de rester sobre, j’aime pas beaucoup l’idée de réduction des méfaits quand je bois je me démolis et je sais pas quand ça va s’arrêter? La mort? Il disait qu’il fallait garder quelque chose de wild si j’ai bien compris, je crois que pour moi c’est l’écriture. Les tatoos aussi peuvent servir à se rappeler. J’ai eu mal si mal aujourd’hui je crois pas y retourner. On dis aussi que les gens préfèrent se faire soigner au CHUM centre ville les pushers sont pas loin. Je sais on crois que je pars en voyage pour me péter la face à l’étranger mais non j’en reviendrais jamais où tellement amoché… Quelqu’un crie dehors, un de ceux là découragé qui n’y arrive pas et vie dans la rue, je pense à toute ces overdoses à comment il ne faut jamais consommer seul et garder un kit de naloxone. J’aime bien raconter mon histoire je crois que ça peut aider. La santé mentale et les troubles concomitants c’est reliés presque tout ceux qui souffrent ont un problème de consommation. Je reviens souvent là-dessus mais ça fait si mal c’est si marquant faut pas l’oublier et je crois pas que ça vas arriver aujourd’hui. Je suis heureux bien que ce monde de consommation reste pas loin, souvenir du film Clean and Sober, mes premiers pas dans la sobriété. Voilà c’est la chute, la conclusion, l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

12/09/2023


dimanche 10 septembre 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Ça part mal ce soir le désir d’écrire est pas là. J’ai fait le couch potatoes toute la journée, deux émissions littéraire trois matchs de football ,méchant légume. Ce matin je vais à l’institut pour la rencontre des personnes ressources en concomitance ensuite dans l’après-midi une rencontre virtuelle avec le collègue sur la formation c’est une rencontre informelle on va certainement parler voyage lui aussi est allé au Portugal. Lentement je me réveille. J’ai démarré en vous parlant du désir à mon âge c’est plus ce que c’étais y’a plus d’amour passionnel torride et c’est tant mieux. Le seul qui arrive pas a croire c’est moi, je fait toujours de mon mieux semble que ce sois pas assez, la nuit avance je suis tout à mon urbanité montréalaise. Je pense au jeune et mythique Émile qui a stérilisé l’image du poète avec la folie institutionnalisé et je compte pas Gauvreau des années plus tard avec sa charge de l’orignal épormyable, il s’est tout simplement défenestré le type t’a beau avoir écris une grande œuvre si tu reste pas vivant à quoi bon, le Québec a sa côte part d’écrivain mort. J’ai peut-être pas leurs talent mais je suis vivant. Que de destin pathétique j’arrive pas à mettre un peu d’humour là dedans, les lettres québécoises sont souvent des lettres mortes a graver sur votre pierre tombale. Pendant que la terre meurt j’écris c’est ce que j’ai trouvé de plus salvateur. Je sais à mon âge il est un peu tard pour faire le poète mais c’est pour rester en vie et libre. J’abandonnerai pas l’œuvre reste encore a écrire, les désespérés ont besoin de se geler de s’intoxiquer ils ne croient plus en rien, à la dope peut être mais ils se tuent lentement. Ce que j’ai compris contre le suicide c’est qu’il faut en parler mais je sais toujours pas ce qu’on promet aux grands désespérés pour qu’ils ne s’enlèvent pas la vie, je pense à Dédé Fortin partis bien vite notre univers artistique… C’est pas quelques séjours en soin psychiatrique qui va redonner foi dans la vie et je parle même pas de schizophrénie. J’ai pas de leçon pas de recette autre qu’essayer de vivre aujourd’hui. Voilà! C’est la chute l’épilogue la conclusion, comme toujours je termine en vous remerciant d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

11/09/2023


samedi 9 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je vous fais une confidence c’est ma saison de télé préférée des matchs de football mur à mur le week-end, canadiens américains le choix est là. Je viens de manger un cornet de crème glacée ça fait du bien. Je me cherche une thématique pour le blog de cette nuit.  Tiens je vous mentionne que l’équipe locale les Alouettes a perdue. Je veux pas déplaire à ces dames je sais qu’elle n’aiment pas beaucoup les écritures sur le sport. Je me souviens d’un match où j’étais allé avec le patriarche et la matriarche j’étais déjà très malade les copains sportifs étaient tous là plus haut dans les gradins, j’étais heureux de les voir mais je suis resté assis avec mes parents j’avais peur j’étais tout mêlé. Des souvenirs le dimanche après-midi je regardais les Steelers de Pittsburgh avec entre autre Terry Bradshaw et Lynn Swann de grands joueurs dans des matchs décris par le regretté Raymond Lebrun c’était à Radio-Canada on avait pas le câble et la télé était en noir et blanc. J’aimais bien essayer de deviner les jeux qu’ils allaient jouer par la passe où au sol ça occupait les longs dimanches après-midi d’automne. Les receveurs de passe m’ont toujours impressionné. Je sais pas si je vous ai déjà raconté ma rencontre dans la salle d’attente de L’urgence hospitalière avec un joueur, il étais blessé mais très comique ça détendais l’atmosphère, c’est peut-être pour ça qu’inconsciemment j’ai souvent demandé du secours à l’hôpital pendant les psychoses. J’étais à l’urgence de l’hôpital Sacré-Cœur j’attendais qu’on me recouse le visage… J’aime bien ce sport, aujourd’hui le commentateur a parlé du rugby un sport sans équipement mais à un autre niveau, je l’ai jamais compris ces jours ci c’est la coupe du monde avec les fameux All Blacks Australiens impressionnant. Comme ça vous voyez ce que je vais faire aujourd’hui à la télé y’a au moins trois matchs de football américain commenté en français… Ce qui est aussi impressionnant ce sont les foules de spectateurs les stades sont toujours à guichet fermés. Je vous parlerai pas de la publicité ce n’est que ça, la bière, la bière, la bière … Voilà! C’est la chute, la conclusion, l’épilogue je termine là-dessus en vous remerciant comme toujours d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!! Obrigado !!!

10/09/2023



 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir j’ai regardé un reportage sur le grand nord québécois, c’étais très touchant j’ai pleuré, y’avait la magnifique Elisapie. Ça me touche quand ils parlent des problèmes d’alcoolisme et de toxicomanie des premières nations, je me reconnais un peu là. Ailleurs à Gatineau, y’a des femmes itinérantes qui accouchent dans un boisé, je crois qu’elles ont peur de l’hôpital. J’aimerais bien être capable de vous décrire comment elles se sentent dans un studio entouré de psy, d’intervenantes et de travailleurs sociaux c’est assez pour faire peur et souvent ce sont des personnes qui aiment pas être contrôlé c’est toujours difficile de garder un logement quand tu a le sentiment qu’il est envahis. Dans la rue tu traine le minimum quand même y’en a qui voient des signes dans les choses qui sont dans la rue. Ils les ramassent pour accumuler des preuves et étayer leurs discours paranoïaques. Je me lève pas de rêve significatif, je reviens à l’itinérance ils boivent pour oublier ils oublient pour boire, j’ai pas envie d’embarquer dans ce train là on sait pas si on vas être capable de sauter, de jumper une fois en marche, faut voir tout le trouble qu’on se donne pour boire comment on se fait haïr. La vie de hobo est jamais aussi belle que dans les romans ça dors très mal sur le trottoir encore que cette nuit on peux dormir dans une tente l’humidité vous rentre quand même dans les os. J’en connais pas qui se lèvent un matin avec l’ambition d’aller vivre dans la rue, la difficulté elle est là plusieurs pensent qu’ils sont assez fort pour s’en sortir seul c’est impossible. Les « amis » que tu te fait dans la rue ils veulent ton cash c’est tout, au début du mois c’est bien mais après la première semaine faut trouver une combine. Mais oui ça prend des logements pour tout ce beau monde mais quand ils vont avoir le choix entre payer le loyer et boire que vont-ils faire ? Je vous raconte ça en connaissance de cause j’étais là… Voilà! Je reviens toujours à ça je tiens pas à savoir si les bars ferment toujours à trois heures. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Encore une fois j’y suis arrivé !!! À la prochaine j’espère !!!

09/09/2023

jeudi 7 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! C’est la soirée j’ai dormis un peu. J’ai envoyé une copie du tapuscrit à la dame qui vas écrire la préface. Je crois que j’avais fait une erreur, j’ai envoyé une autre copie j’espère que c’est O.K. dans ces moments là je deviens paranoïaque comme si quelqu’un voulait pas que je transfère le fichier. On viens de me relancer on me dis qu’une personne vraiment saine d’esprit à moins de consommer de la drogue ne manifesteras jamais de paranoïa. C’est faux la schizophrénie se manifeste chez 1% de la population. J’aime pas les gens qui affirment des choses sans savoir surtout quand elles parlent de totalement saine c’est de la stigmatisation. J’ai mal j’ai mal je trouve qu’il y a des personnes dures. J’ai rêvé à des femmes que j’ai connus y’a longtemps j’ai eu peur… Je vais lâcher prise si les choses ont à se faire elles vont se faire sinon tant pis. Parfois j’ai le sentiment de tout faire mal, ça me donne envie de pleurer. La télé est sur le football américain, je suis content j’ai eu des nouvelles de la dame pour la préface. Je suis un acharné déchainé, j’abandonnerai pas… Bon! J’y vais comme souvent en cherchant l’émotion… Le match est terminé et moi j’écoute ce que mon cœur dis , j’ai mis de la musique… C’est la nuit je trouve pas c’est comme si je vous avais tout raconté. Vendredi et après c’est le week-end j’écris des choses bien inoffensives en ces temps de guerre. Je dirais que c’estU2 une période de grands bouleversements, y’a de grands artistes qui nous quittent… Toujours le souvenir des nuits du jeudi où je commençais à faire la « fête » minuit j’étais toujours assis au bar et j’attendais que la salle se remplisse. Je sais pas pourquoi je préférais quand il y avait beaucoup de monde parfois avant j’arrêtais au bistro et je m’accrochais les pieds. J’ai trop vécu la nuit j’y ai rien trouvé de bon ça été long avant que j’arrête je suis passé près de la mort. Voilà! Je vous écris pendant que U2 joue. Where the streets has no name. C’était là que j’étais perdus  dans les rues sans noms, quelques mots encore je termine, c’est la chute, la conclusion l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine j’espère.

08/09/2023


mercredi 6 septembre 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! C’est une canicule, le climatiseur est bien utile… Je pense au village à comment les médias disent que c’est dangereux, je vie encore en espérant le mieux. Y’a toute l’idée du « normal » qu’est-ce que c’est ? Accepter bien que plusieurs n’aiment pas ça… Je vous écris et je réalise que je suis perfectible que je peux m’améliorer… Pour en prendre conscience j’ai besoin de recul et de solitude. C’est assez fou comment parfois ça ressemble à de la croissance personnelle. Je tiens pas vraiment à écrire comme ça je trouve qu’il y en a beaucoup sur le marché. J’ai dormis un peu, le climatiseur tiens le logement frais. Je sais pas pourquoi j’écris, c’est plus fort que moi je cherche à dire à raconter, à l’époque c’était les médecins qui écrivaient souvent correspondait ces machines là existaient pas c’était le papier le stylo une enveloppe et un timbre ça donnait de belles relations épistolaires. Disons qu’il y avait le curé le médecin et le vicaire une sorte de sainte-trinité qui gardait ses ouailles dans les bonnes mœurs. J’écris ça et je pense au Docteur Ferron sur la rive sud c’était un grand lettré qui pratiquais parfois gratuitement. Faut lire Le ciel de Québec qui fait le portrait du Québec profond d’avant la révolution tranquille. La plume pour les médecins de l’époque c’était une affaire de notes et de dossiers plus tard quelques un d’entre eux faisaient semblant d’enregistrer leurs patients avec un magnétophone miniature, y’avait beaucoup trop de patients patientes ils les enregistrais pas tous. Je crois que je vais relire les roses sauvages. Quand je suis comme ça la nuit seul à mon bureau devant l’ordinateur je suis un écrivain. Je pense au psychiatre qui m’écoutais pleurer aux canicules difficiles où je portais quand même un pull-over. Je connais pas la rive-sud de Montréal, j’y ai bu quelques bières à la brasserie. Je crois que monsieur Michel Chartrand avait une imprimerie pas loin. C’est toujours et encore la même chose les gens de la banlieue qui traversent les ponts pour se rendre au boulot. Aujourd’hui le monde parallèle du bas de la ville est plus tellement créatif, on y meurt de faim et d’overdose et on ose plus le fréquenter. Voilà ! C’est tout pour cette nuit comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

07/09/2023


mardi 5 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai peur que la personne à qui j’ai demandé de préfacer un texte refuse, C’est mercredi matin, je pense à un rond point dont je me rappelle plus le nom à Lisbonne y’a beaucoup de circulation. Ma nièce est revenue je crois qu’elle a comme moi beaucoup aimé le Portugal. Le défi c’est toujours de nommer l’émotion, trouver comment dire. Parfois je ne crois plus à ce mot écrivain, hier je me disais que si j’avais vraiment voulus écrire j’aurais étudié en lettres à l’université mais non ! J’ai fait qu’à ma tête j’ai lu et relus différents livres participé à quelques ateliers et me voilà qui ose. Le climatiseur fonctionne c’est bien, c’est frais… Les nuits de la semaine je pense moins au suicide, la dernière fois que j’ai appelé à la ligne d’aide on m’a reviré de bord, j’ai raccroché et je me suis dis que j’appellerais plus jamais là. Je veux pas mourir il me reste peu de temps à vivre, je voudrais faire un autre voyage. Comment vous dire ce bourdon sourd à l’estomac, j’ai pas d’autres mots. Ça passe vite j’aurai pas réussis à me faire une vie… Y’avait pas grand-chose a espérer de ma vie de bum, j’étais pas vraiment respectable. Maintenant je veux juste être un honnête homme, je me présenterais pas à la direction du Parti Libéral du Québec. Je trouve qu’ils parlent pas souvent de santé mentale des problèmes complexes de l’itinérance, dehors de chez vous et encore plus dehors de dehors. Je sais qu’ils y en a qui boivent pour descendre de leurs high où pour calmer leurs trop souffrantes anxiété. C’est compliqué tout ça trouver de l’argent pour acheter une bouteille où un sachet de dope parfois on réussis a se le faire avancer en promettant de le payer à la fin du mois souvent c’est pas ça qui arrive. Je pense à tout ceux qui ont des solutions facile, la rue ça pardonne pas, tout le monde cherche de l’argent pour consommer et consomment pour trouver de l’argent on appelle ça un cercle vicieux je crois… Dans la rue on va te trahir, te dépouiller de ce qu’ils te reste le seul désir c’est de taire cette agitation. Voilà !!! C’est tout pour cette nuit, c’est la chute la finale l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine j’espère !!!

06/09/2023


lundi 4 septembre 2023

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je commence par vous dire qu’il se passe quelque chose d’irritant sur facebook, je reçois des publicités d’armes de poings c’est vraiment désagréable ça m’angoisse. Je vais essayer de vous écrire en en faisant abstraction. Je vous écris de la soirée j’ai dormis un peu, tiens une niaiserie j’ai réussis à tuer les trois mouches qui volaient chez moi dans mon cas on peux pas dire il ferais pas de mal à une mouche j’ai quand même pas besoin d’arme pour ça. Souvenir de tante Jeanne à la ferme et de ses papiers collants pour les mouches son tue-mouche aussi. Hier soir au souper j’ai mangé trop vite je me suis étouffé, j’ai eu peur j’étais seul j’ai réussis à régurgiter. J’ai un autre point de vue j’ai toujours eu peur que nos parents nous abandonnent je sais pas si ça a un rapport avec le moment où  est venue le temps de quitter la maison. J’avais si peur mais si peur. Je regarde facebook toujours étonné de voir ces fabuleux guitaristes… Cette nuit je suis moins malade j’ai quand même envie de pleurer… Je sais pas si ma nièce est revenue de voyage. J’hésite à vous en parler si tout va bien bientôt je vais avoir quelque chose à vous offrir, j’y reviendrai… Ce soir je suis pas trop mal j’ai pas envie de pleurer toute les larmes de mon corps, soixante sept ans comme l’expo soixante sept, Terre des Hommes depuis ce moment là j’aurai vraiment voyagé. Je pense aux avertissements du gouvernement pour les voyages aux États-Unis j’y suis allé y’a un moment et j’ai pas eu de problèmes. Je me rappelle avec plaisir les gentilles personnes que j’ai rencontré à mon dernier voyage, ça me fait du bien. Je vais essayer de vous transporter dans mon monde intérieur, la douleur solitaire. Le mal être contrairement au savoir être ce besoin de sollicitude… Cette nuit j’aime bien mon parfum ça peux paraitre égocentrique mais l’odeur c’est important. Et je continue cette folie, ces écritures, j’ai beaucoup de souvenirs mais ils valent pas tous la peine d’être mentionné, la nostalgie parfois… Dehors un gars attend l’autobus, je fait des scénarios. Voilà! C’est la chute, la finale l’épilogue, je suis toujours heureux de voir que vous avez lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

05/09/2023


 

Bonjour ! Bonsoir ! Ça me prend quelque chose pour démarrer, je me souviens plus à quoi j’ai rêvé. C’est le lundi de la fête du travail au Canada l’occasion pour faire un dernier voyage de pêche avant l’hiver, de la petite truite mouchetée aux Escoumins sur la Côte Nord. On va attendre le poisson dans une chaloupe et avant de partir on lancera sa ligne debout sur le quai. D’habitude ça mord. Je viens de me relever j’ai dormis er fait un cauchemar je me tapotais le visage essayant de calmer la brûlure je me suis réveillé ça avais cessé. C’est la nuit Je pense aux arts modestes j’aimerais bien être de ceux là… Je vous ai déjà écris je crois que je suis un alcoolique en rétablissement, j’ai pas beaucoup de mérite c’étais ça où là mort. J’en suis encore à ma thématique… Je pense à un copain avec qui je suis plus en contact il m’invitais souvent à manger des burgers qu’il cuisinait. Je sais pas si c’est réaliste ce que j’écris mais ça au moins le mérite d’être vrai, ici aussi j’essaye d’être authentique. Je regarde les séries télévisées en essayant de comprendre comment c’est écris. Y’a des gens près de moi qui croient que j’écris des sermons, une autre bible, mais non ! Je pense à Shakespeare après lui ont peu plus écrire grand-chose d’inédit. Y’a aussi une difficulté que j’ai c’est de rester naïf pensés aux cadeaux de Noël en septembre. Quand j’écris j’arrive pas à rester simple je manque d’humilité. Les écrivains compliqués écrivent des choses simples, les écrivains simples écrivent des choses compliqués. J’ai toujours l’espoir de créer un précédent c’est bien inutile, ça débute toujours sur la machine sur les réseaux je dois persévérer pour arriver à quelque chose. Encore une autre page de ce journal ordinaire ordiné. Je pense au guitariste virtuose de rock Jimmy Page il est treize ans plus vieux que moi j’achetais justement les microsillons de Led Zeppelin dont il étais le guitariste j’avais treize ans. C’étais de bons moments mais ça a pas duré j’étais émotionnellement gravement blessés. Voilà! Led Zeppelin les précurseurs du rock métal y’avait quelque chose de génial. Tout les adolescents du monde tripais sur cette musique. Voilà! Je termine là-dessus c’est la chute la conclusion l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!!

04/09/2023

 

 

 

 


dimanche 3 septembre 2023

 

Bonjour ! Bonsoir! Aujourd’hui je vous écris du matin. J’avais besoin de dormir. Je crois être malade je sais pas ce que j’ai mais quand je sors j’ai de la difficulté à marcher. Ce matin c’est mieux, dimanche ! J’ y arrive pas mon discours est taris pour pas dire taré. J’arrive pas à me défaire de cette auto-stigmatisation. Parfois j’aimerais être capable de faire deux où trois choses à la fois. J’ai rangé le recyclage, encore une fois la voix d’un grand écrivain s’élève contre les réseaux sociaux, les écrivains ont tous le monopole de l’édition, ce que vous lisez présentement c’est pas de la littérature selon eux, dans le temps on disait la même chose de la bande dessinée mais elle s’est imposée. La radio est sur l’émission du week-end… Je l’ai fermé, tout ce bla-bla. J’ai envie de vous dire… Mais non je garde ça pour moi. J’aime bien les photos de ma nièce au Portugal elle fait pas le même voyage que moi ça se passait dans deux villes… Je reviens ici le village se criminalise, les gens n’y vont plus de peur d’être attaqué, entre Papineau et Berri ça pas de bon sens, si on trouvait des logements à ces gens là ça aiderait peut-être. C’est le déclin du quartier. Écrivain! Voilà ce que j’essais d’être je sais pas si j’y arrive. Je trouve pas le propos, je vais peut être me rendre à la librairie pour acheter de la lecture. Y’a aussi cette série que je regarde je vais terminer. J’ai hâte que l’émission télé La grande librairie reprenne. Ce matin c’est pas la douleur c’est la faiblesse, je mange un croissant me prépare un café, souvenir d’une copine avec qui je vivais c’étais difficile, je préfère être seul ça fait moins mal.  Ça sent bon le café, la maladie je me dis que c’est l’âge que ça va passé. J’y serai quand même arrivé ce matin. Je pense aux photos de Porto, quand je me rappelle le voyage je me sens mieux, je pense aux sympathiques chauffeurs. Je vais attendre au moins deux ans pour repartir je sais pas où? Quelques mots encore, je vous aime lectrices, lecteurs voilà! Je termine c’est la chute, la conclusion l’épilogue. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

03/09/2023


vendredi 1 septembre 2023

 

Bonsoir! Bonjour ! Cette nuit j’ai un gros blanc rien a arracher à mon cœur. Je ferai pas la grève comme à Hollywood de toute façon mes écrits sont noyés dans les réseaux sociaux. Je pense à ce New-Yorkais qui aimait sa ville qui ne dors jamais il sortais la nuit… Moi je suis à Montréal et je ne fréquente plus ses quartiers chauds la ville dors quand même. Avant y’avais des nuits que je traversais en marchant je rencontrais des gens étranges. Ici le loyer est payé c’est bien je suis chez moi. Quand j’ai trop les bleus j’ai qu’à me souvenir de mes années de galère ça me ramène. Aujourd’hui je préfère la lumière du jour le chant des oiseaux. Je sais qu’il y a des gangs qui se font un orgueil de ne pas travailler de ne pas dormir en passant la nuit à boire et à se geler, souvent ils sont très malhonnêtes… Parfois je partais la nuit sans dire où j’allais je me souciais pas du danger de toute façon on semblait s’en foutre. Maintenant même en voyage je suis prudent je sors pas la nuit, je préfère l’architecture les monuments les statues le jour. Cette nuit je suis vraiment désarmé j’ai plus de mots, je me souviens que c’est un long week-end lundi c’est la fête du travail. Il est passé minuit je cherche mes mots, je partirais encore pour vous écrire de nouveaux lieus de nouvelles contrées, parfois j’ai un mot en tête et c’est une chanson qui apparait… Je pense à tout ces poètes disparus ça y est ont les a passés aux oubliettes on en parle plus. Il reste quelques poèmes mémorables, je pense aux Ils ne demandaient qu’à brûler du regretté Gérald Godin… Les cantouques aussi, je vous écris solitaire de ma nuit et j’espère j’espère tuer l’ennuis. On se demande où serais le monde sans poésie, rien qu’à penser au détenu dans sa cellule qui se laisse emporter par des vers. Ça sert à rien mais c’est bon pour tout. Parfois j’écris des torchons ça prend du front. Voilà ! J’essaye toujours de trouver les mots, au début comme à la fin, disont qu’on est pas poète par dépit ni par désoeuvrement faut l’avoir dans le sang. C’est la chute, l’épilogue, la conclusion comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À la prochaine j’espère !!!

02/09/2023