samedi 28 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour encore une fois dans la nuit.Comment vous décrire ma douleur mon angoisse quand je suis avec d'autre personnes à l'institut. Mon surmoi qui me dénigre, mon ego qui déraille. Je suis pas dans ma zone de confort. J'arrive à me sentir mieux quand je suis seul chez moi.Faut que je me mette en tête que ce sont des collègues c'est tout. Personne ne vie avec moi.Une part de la réunion d'hier a été consacré à mes différentes activités culturelles à l'institut. Je crois que c'est bien que je fait de mon mieux. Parfois ma schizophrénie fait surface c'est douloureux. Toujours l'impression d'être le niais sujet de dénigrement. Viens d'apprendre que Foglia est à la retraite, je mentionne ça, ça me dérange pas mais c'étais, c'est? Un maudit bon chroniqueur. Je l'avais abandonné dans la presse papier pour plus tard le retrouver dans LaPresse+ de ma tablette électronique. J'essairai pas de faire comme lui, ça se saurait si j'avais son talent. Voilà! Vous l'avez la phrase laide qu'aucun chroniqueur d'expérience utiliserais. Cette nuit je me met de la pression comme si les gens voulaient absolument me lire. Je vous écris à vous qui attendez devant votre écran. Écrire! Écrire c'est bien beau mais ça mène où? Mon histoire de goulag ça tiens pas la route, le faubourg à mélasse, c'est le premier nom du quartier, c'est pas la misère du vrai goulag, n'empêche j'ai du m'exiler de la banlieue nord pour vivre dans cet urbain goulag occidental. Je suis pas inspiré à tout coup, un mot me viens au peu d'esprit que j'ai, désenchantement, on regarde tout ça, ça assassine en Russie, la guerre en Ukraine, les jeunes qui s'en vont au djihad. Dites moi qui réenchanteras le monde, qui ramèneras la joie si jamais il y eut de la joie dans ce nouveau siècle. Voilà ce sont pas mes voix qui feront ça, j'entend pauvre cave, épais et j'en inventerai pas c'est suffisant comme ça ... On m'a dis que je devais parfois me féliciter mais de quoi, tout est difficile, voilà après quelques lignes je reviens à la douleur du départ à ma culpabilité comme si je méritais de me dénigrer. Mon souhait c'est de pas rajouter de conneries assassines dans la machine. Je veux juste que vous m'emportiez dans votre journée tout ça fait très adolescent à la recherche de soi. Je devrais m'en faire j'ai cinquante huit ans presque un vieillard, un bonhomme comme on disait quand j'avais vingt ans. Je termine en saluant tout le monde et en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 27 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les actualités.Je crois qu'on a jamais autant écris sur les musulman. Pas moyen de passés à côté. Faut que je fasse attention à ce que j'écris si je veux pas être taxé d'islamophobie. N'empêche elles m'énervent avec leurs foulard, des femmes se sont battues pour avoir le droit de vivre à visage découvert. Je pense aux nonnes dans leurs uniformes du début du siècle dernier. Changeons de sujet, aujourd'hui j'ai une réunion du comité culturel de l'institut je crois qu'il n'y auras plus beaucoup de sous pour la culture avec la réforme en santé et services sociaux. Je ne sais comment écrire l'importance des arts pour la personne malade. Juste participer à une pièce de théâtre et réussir a jouer, voilà une chose qui remonte l'estime pour des personnes qui n'en avaient plus beaucoup dans la maladie. J'admet que les temps sont dur qu'il y a priorité a soigner les plus souffrants mais que leurs restent ils après une longue hospitalisation éloigné de tout un chacun, la pièce de théâtre peut être un moyen de renouer le contact avec ceux que la maladie avait éloigné, un prétexte. Je pense que les activitées artistiques vont écoper.J'espère pouvoir continuer a rédiger mes humeurs culturelles. Je reviens au goulag... J'ai mangé mon petit déjeuner. Je sais pas pourquoi je pense à ces grands appartements du plateau désertés par les familles,ça doit être plate vivre seul dans un sept et demi,on se trouve des co-locs. Je crois que je vais retourner me coucher. La nuit... C'est assez terrible de rédiger dans le vide comme ça...Me relève, j'ai dormis,de la nuit je passe au jour. C'est un matin ensoleillé quand je vais avoir finis cette rédaction je vais prendre une douche. Vendredi c'est tranquille dehors y'a pas trop de circulation. La voisine viens de partir, ce midi j'ai une réunion à l'Institut. Je crois que je vais écouter j'ai pas grand chose a dire. Je crois que l'édimestre de l'institut est en vacance. J'ai des textes qui attendent. Encore cet hiver le goulag occidental est au prise avec les nids de poules. J'écris, j'écris, j'écris je sais pas pourquoi j'ai rien d'essentiel a exprimer. J'entend les voitures ronronner les gens s'en vont au travail. Je reçois des courriels publicitaire. J'attend toujours les courriels de vous qui me lisez bonnes ou mauvaises japprécie toujours vos critiques. J'en ai assez écris pour ce matin  c'est des niaiseries. Je termine là dessus j'esprère que ça vous a plus. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 25 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir tout le monde! Aujourd'hui je suis à boutte, l'énervement de partir encore en voyage je crois. Je vous en dirai plus quand j'aurai le billet et la réservation d'hôtel. J'ai quand même hate, un autre voyage en avion c'est pas rien. Aujourd'hui dans le goulag occidental, je continus a nommer mon quartier de ce nom là même si ça déplait à certains, il neige. Si seulement on pouvait parler d'une forme de goulag moins dure avec quand même l'hiver et l'exil. Je vais vous dire qui a peint la toile qui apparait su mon post précédent, c'est Éric Forget un ami que j'apprécis. J'écris très mal cet après midi. Je suis écartelé entre les cahiers, la préparation de mon intervention en voyage et le blog. Je mange des bâtonnets aux sésames et je m'auto-dénigre. J'ai pas besoin de personne pour me rabaisser pourtant je crois qu'on apprécie ce que je suis. Dans mon dénigrement je prie, je sais ça vous fait rire mais moi ça m'apaise. Hier j'ai bien vu que j'avais des limites, je comprend absolument pas la réforme de la santé et des services sociaux. J'en viens a dire que je peux pas être ni contre, ni pour quelque chose que je comprend pas. Vous avez affaire ici à un type qui a pas son secondaire trois. La gestion... Y'avait un vieux dicton qui disait qu'il fallait rester loin des hôpitaux si on voulais pas tomber malade. Je crois que je vous l'ais écrit y'a pas longtemps. Je crois faire tout ce qu'il faut pour rester loin de l'hospitalisation. Je vais dehors, je m'implique dans la cause de la pleine citoyenneté. Je crois que ça me réussis. Y'a longtemps, et je m'en souviendrai toujours je passait beaucoup de temps a entrer et a sortir de HMR. Je crois que le psy a fait une bonne job avec moi, je suis pas guéris, je me traite et je me rétablis. Dans les bonnes journées je trouve les gens gentils mais je dois prendre conscience que j'ai pas de pouvoir sur les autres. J'en ai que sur moi m'a vision des choses comment j'appréhende l'autre. Ce que je vous écris là ça ressemble à de la psychologie cent un c'est pas très poétique. J'aimerais être un poète, nommer les choses précisément, sans fautes. Mettre un nom à ce que je ressent, le poète disait tel est ma quête. Nommé ce malaise intérieur qui me prend je ne sais pourquoi ni comment mais qui fait mal, une douleur toute psychique. Ce qui me viens en tête comme ça c'est dolorosa. Finalement il neige beaucoup on vois rien devant. Je suis à l'abri heureusement. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 24 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Encore debout au beau milieu de la nuit. Je me questionne sur ce fallacieux amalgame entre le goulag occidental et le centre-sud. Un cousin m'y a fait réfléchir. Je crois quand même que plusieur vivent en exil au centre-sud, au goulag occidental, on les a poussés ici parce que les ressources d'aide sont omniprésentes. Ce matin je me trouve con, ça m'arrive de temps en temps mais pas tout le temps. Je pense au petit-fils de ma lectrice retraité de l'Outaouais. La bande dessinée qui serait bien pour lui ce sont les volumes reliés du magazine Spirou c'est intéressant et pas trop cher. J'ai regardé les actualités rien d'intéressant... J'ai réussis a replacer la sonnerie de ma tablette électronique, je suis content. Comme souvent, ce matin ça tourne à vide, ils ont trouvé un tunnel à Toronto, on se demande à quoi il peux servir, une cache pour terroristes? Je me sent de moins en moins en sécurité. Quelle connerie la guerre! Quand j'écris l'institut et Émile me reviennent souvent en pensées. Je bloque ce matin y'a des choses que je veux pas vous révéler. Il est quatre heure du matin tout le monde dors dans le goulag occidental. Je pense à ce cousin que j'étais heureux de rencontré en fin de semaine. J'ai ouvert la radio, ils parlent de mon ancien quartier la Petite Bourgogne,ils font un historique... J'ai mis de la musique baroque, ça fait longtemps que j'ai écouté la radio... Je pitonne, je change de chaîne, pense à Flaubert qui espérais écrire sur rien, je suis épais, cette nuit c'est pas l'estime de moi qui est très forte. Ouais! Ce que je nomme pensé c'est pas nécessairement de l'ordre de la philosophie, c'est plus une conscience des êtres chers, des événements potentiellement dangereux. Mais oui! On a joué au bowling c'étais drôle quoi que j'en ai trouvé certains enragé mais c'étais juste pour le plaisir. Moi j'ai pas fait une grande performance plusieurs dallot... Ça me fait du bien d'écouter de la musique, c'est léger et ça me calme les choses sont moins graves. J'ai pris mon petit déjeuner, parfois je me fait mal j'oublie que la musique existe, que c'est agréable. Ce matin y'a pas d'animation à la radio, juste de la musique c'est bien. Ils appellent ça une nuit cent pour cent musique, on se sent moins seul quoi que la solitude me permet de vous écrire. Je dérange personne chez moi je suis seul et le plancher ne craque pas. C'étais ça pour cette nuit. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 22 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Il a neigé et je suis comme paralysé d'écriture. Y'a une activité de bowling familial cet après-midi. Donc je sors du minuscule goulag occidental. J'ai dormis me suis rasé et douché. Au bowling je crois qu'on va rigoler.Toute la famille va être là. J'ai regardé les actualités, rien retenus sauf le sordide des premières comparution en cours. La justice faut se tenir loin de ça, faire de notre mieux chaque jour en espérant que tout iras bien. C'est dimanche un jour de recueillement. Je pense aux amis français de France. Dehors tout est blanc, en France y'a eu de la neige dans la région Rhones-Alpes, au retour des vacances la circulation étais paralysé, ils devaient installé des chaînes aux roues de leurs voitures. Chambéry, Annecy, j'y suis déjà allé c'est une très belle région. Je me souviens très bien de la fontaine des éléphants à Chambéry, j'ai aussi pris le transport en commun avec les écoliers. Je suis aussi allé à Albertville à l'époque ils se préparaient pour les jeux olympiques c'étais sympathique. Je crois qu'aujourd'hui le temps est plus doux. Je regarde France Vingt quatre c'est une vision différente de l'actualité. Je sais, je sais vous êtes très critique pour les journals télévisés. Avec les horreurs qui se passent faut bien choisir nos informations.La France on l'a toute en image sur le net mais rien ne vaux le vrai, le vrai Paris ou le vrai terroir. Je pense aussi aux canaux de Annecy... Sur un autre plan j'aimerais pas retomber dans le plus intense de la maladie, je crois faire ce qu'il faut, vous allez me trouver fatigant mais je prie beaucoup et j'écris ça me soutiens. Je suis francophile, j'aime la France, c'est tout de même ma langue maternelle. Remarquez quand je regarde les actualités et qu'ils montrent des mares de sang c'est difficile. À la télé de l'agro-écologie en Périgord sur de la musique manouche. Le dimanche c'est le jour du seigneur, le jour de l'agriculteur là-bas comme ici. Je vous écrirai pas sur l'agriculture française ni sur le vin. J'y connais rien je suis un urbain quand au vin j'en bois plus. On dirais que le soleil veux percé, au travers des nuages on vois un peu de ciel bleu Je sais pas trop comme toujours comment vous terminer ça, la machine me demande des mots, des phrases je lui en donne et les partage avec vous. Je sais bien qu'on écris bien que sur son pays, le Québec m'a refoulé dans le goulag occidental, on y crève pas de faim c'est plutôt un goulag moral, mais a bien y pensé c'est pas si mal, j'ai choisi mon exil. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

samedi 21 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Semble que les bébés meurrent de froid partout, on barre pas les portes la nuit? On les gardes pas dans un environnement sécuritaire? Je crois que mes nièces mères de famille et puéricultrice en auraient long a dire là-dessus. Hier je suis allé dans le quartier latin j'ai vu quatre jeunes filles ensemble qui portent le voile. Je crois qu'elles savent très bien ce qu'elles font, c'est de la provocation, ça viens pas de très loin la révolte adolescente des filles qui se cherchent, le voile et les téléphones cellulaire. Je dirais que c'est antinomique laissont leurs cette liberté quand elles en auront assez et qu'elles se seront trouvées accueillont les. Elles semblent pas savoir les luttes qu'on a mené au Québec pour être laïque, il y'a pas si longtemps le Québec étais sous l'emprise des religieux et elles viennent nous imposés leurs voiles. Bein voèyons!!!  C'est pas qu'elles sont pas jolies elles le sont trop même et c'est pas moi qui vas règler ça ici  mais... Pour une religion sans images je crois que l'islam projette drôlement. Tout ça c'est de l'ordre de la polémique et cest ce qu'elles veulent nous diviser pour que leurs frères puissent nous imposer des aberrations comme la charia mais non ici on ne lapide pas les femmes on discutes avec elles, on écoute ce qu'elles ont a dire et on les marrie pas à douze ans.Ça me révolte de voir ça elles semblent pas respecter le combat que les femmes ont menées. Des cours d'histoire mon Dieu! Vite des cours d'histoire! En sachant qu'il n'y a pas de pire sourd que celui qui ne veux pas entendre. J'ai peur d'écrire là dessus, les musulmans sont pas reconnus pour leurs ouvertures d'esprit. Tu vole on te coupe le bras et je pense à ces journalistes emprisonnés en égypte pour avoir parlé trop fort.Ils ne veulent de loi que celle du Coran et moi j'en veux pas, d'accord pour la mosquée, les lieux de prière mais ne m'imposez rien je suis laïc et veux continuer a l'être. La photo ce matin c'est celle de la mosquée du quartier installé entre une pizzeria et une pharmacie dans un des quartiers les plus pauvres du Québec. J'espère qu'on y fait pas trop de prosélytisme. Et là je me rend compte que j'en fait à l'envers je veux qu'on adhère a ma vision laïque du monde. La religion ça provoque de grand bouleversement chez moi, je vais essayer de respecter leurs foi comme ils disent il n'y a de Dieu que Dieu. Je crois, je ne sais pas trop en quoi je crois mais j'essais d'avoir la foi. Je veux pas l'imposer a personne c'est une foi personnelle, un Dieu tel que je le conçois. Je termine là dessus avec la peur du terrorisme. Mais je publie quand même. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 20 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! De retour sur le shift de nuit. J'aime bien les photos de la lectrice de Lachenaie présentement aux Indes. Ça donne des idées de voyage. La neige a cessé, y'a des photos de vieux avions nord-coréen dans LaPresse plus. Je suis calme et reposé.J'ai bien dormis.On a eu droit a un souvenir "littéraire" sur Facebook la page couverture d'un album de Martin Le Malin, on en raffolait tous un concurrent de Tintin. Les albums de Martin étaient de moins bonnes facture, le dessin moins lèché, c'est pas tout le monde qui connait la ligne claire mais les histoires et aventures tout aussi intéressante,Y'avait aussi les albums de Quicke et Flupke chez Casterman par Hergé le même auteur que Tintin. Les cousins Côté en avaient un album qu'on dévorait dans le temps des fêtes. La gaffe qu'on a fait comme des enfants incultes c'est de se mettre a découpé les albums pour faire des collages, un méchant manque de respect, Une bande dessinée c'étais toujours le bonheur, j'aimais le magazine Tintin pour les sept à soixante dix sept ans, et ses histoires à suivre... Le Pilote aussi et ses magnifiques Pilotorama en pages centrales c'étais très éducatif. Plus tard y'a eu le Pif gadget ou on a su que très tard que c'étais supporté par le parti communiste français, très intéressant aussi. Je me souviens de Nasdine Hodja, je crois que ça été mon premier contact avec une autre culture. Sporadiquement on avait aussi le journal de Spirou. On a souvent dis que la bande dessinée ça rendait bête, c'est faux, c'était une ouverture sur le monde. J'en avais jamais assez de lire encore aujourd'hui la lecture est très importante. Je cherche comment vous dire... Les B.D. pour moi c'est de la vrai littérature disont que je lis des choses plus achevées. Hé oui! Même enfant on trouvais le temps de lire tout ça, la lecture cette rage m'a accompagnée toute ma vie, les caractères,la typographie ce sont mis a m'intéresser plus tard, Madame Bovary de Flaubert, le Rouge et le Noir de Stendhal ont aussi fait mon éducation.Y'a eu aussi, bien que certain ais vu ça comme un drame, le miracle du livre de poche, l'espèce de snob français interviewé à la télé disait qu'il fallait pas mettre ça entre toutes les mains, il préférait les incultes de basse classe. J'ai oublié de mentionner Astérix c'étais bien mais j'étais pas un grand fan des jeux de mots, là je pense à l'antédiluvien Vaillant l'ancêtre de toutes ces publications. Je vous laisse là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 19 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je suis debout il est quatre heure sept. J'entend reculer un camion. Il neige, ce matin je vais faire prendre ma pression au C.L.S.C. J'ai dormis malgré la paranoïa.Je pense aux retraités de l'Outaouais dimanche on se rencontre au tournoi de bowling. Un gentil cousin va m'y amener. Je sais pas quelle direction prendre dans cet écris. J'ai regardé la série policière 19-2 c.est violent et difficile.  J'ai perdus ma belle assurance, je doute, je doute et demande à ma force supérieure de m'aider. Je vous écris ça et je dors debout.  Hier j'ai eu la visite du praticien ressource et d'une stagiaire, ils ont vu dans quoi je vivais, du papier et des livres.Ils étaient sympathique. Lentement, lentement j'écris, la nuit c'est pas le temps de l'ennuis. J'ai souvenir de choses que je voulais faire à cinquante sept ans j'en ai cinquante huit et j'ai rien fait comme acheter cette maison de ferme à Mascouche. Les faits sont que je suis pauvre, le goulag occidental m'a accueillis et je suis jamais partis. Je baîlle c'est la nuit.Je pense aux piles qui sont vides dans le magnétophone.Dans ma tête ça dis "gros chien" je paye pour toutes les fois ou j'ai dénigré les gens. Dopé je me croyais très intelligent, jouais au garde du corps du gars qui payait la dope. C'était idiot j'aurais pu me faire tuer cent fois. De nature je suis pas un dur j'ai peur du sang enfin tout ça c'étais il y a longtemps. Je sais je devrais cacher ça, ne pas l'écrire mais comme je ne suis plus sur le marché du travail ça change rien. Ma paranoïa me dis que les gens veulent que je crève je ne sais pour qu'elles raisons, y'a vingt ans que je suis tranquille. Me suis pris une menthe, j'ai une personnalité addictive c'est pas une ni deux c'est tout ce qu'il y a dans le sac. Je sais pas si je vous ai déjà écris mes longues attentes à l'hôpital, les policiers qui appelaient l'ambulance c'était un cas d'urgence pourtant l'attente était longue et on me prescrivais de revenir à l'urgence psychiatrique le lendemain matin. Une vrai vie de fou. J'aime beaucoup regarder les petits caractères dans l'écran, encore plus quand j'essais de leur faire dire quelque chose.Vous écrire ceci lentement ça me calme, parfois dans ma débauche j'allais voir le lever de soleil sur la montagne pour ensuite aller déjeûner sur la Dame. C'est de l'histoire ancienne je sort plus la nuit. J'ai de la difficulté a dormir, j'en profite pour vous écrire voilà! Je devrais terminer là dessus. Je suis content. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 18 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! J'avais décidé de ne pas vous écrire aujourd'hui, mais j'ai changé d'idée. Comme toujours je suis seul chez moi et je pense à mon rétablissement. Pendant la maladie j'avais pas de bonnes valeurs et vous en faites pas maintenant ce sont pas celle des conservateurs. Je pense au travail à tout le temps que ça m'a pris pour comprendre qu'il fallait travailler pour payer le loyer. J'aimais l'argent mais j'en avais jamais assez, je dépensais tout sans respecter mes obligations. Bon! C'est assez pour les confessions. J'écrirai pas sur les unions bein voèyons! Lentement je vieillis en trouvant que le temps passe vite, c'est pas que je m'ennuis mais j'attend la suite. Aujourd'hui il fait soleil dans le goulag occidental, je cherche pas l'exil je suis à mon domicile.Je vous parle des actualités ça semble pas se calmer en Ukraine. Me suis préparé un café, je reste fragile, je serai jamais guéris mais je fais avec... Semble qu'en France ils ont passés la loi Macron sous une espèce de numéro baillon bien à eux, les choses changent pas beaucoup ça prend du temps et encore on vois pas comment. Je pense aux Beatles à Abbey Road, ça fait longtemps que j'ai  écouté. Avez vous une idée de comment un bonhomme de cinquante huit ans pourrais réinventer sa vie. C'est à ça que je pense la nuit. J'ai pris ma douche me suis parfumé j'adore ça. Quand je souffrais beaucoup j'avais toujours l'impression de puer même si je me douchais trois ou quatre fois par jour. L'après-midi y'a beaucoup de circulation.Une chose que je me dis y'a autant de malades que de maladies. C'est pas fort mon texte cet après-midi. Quand on vieillis on perd beaucoup de poésie, on vie, on vie, tout ce qu'on fait c'est petit, on l'oublie, on l'oublie et on pense à Paris la nuit de son logement déconfit, déconstruit, et on plie sous le bruit, sous la scie des mercis des folies, ça se taris, ça s'enfouis... Je suis déjà enterré et demande pas pitié... C'est ridicule écrire comme ça, avez vous déjà vu ça?  Je regarde dehors, les camions de gravier passent. Les gens sont à leurs affaires, ils ont rien a dire des désirs d'un pseudo écrivain, entre le métro, le boulot, le dodo, y'a pas grand temps pour lire surtout quand ils ont des enfants. J'écris pareils même si c'est pour les aveugles, vous leurs lirez. J'essaye de terminer ça en beauté avec une pensée pour vous tous qui me lisez. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 17 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Je pense à la réforme du système de santé, à comment le privé se frotte les mains. Est-ce qu'on devras payer pour soigner une blessure, une maladie, un accouchement me semble que mon père, tout nos pères et mères avaient règlé ça avec l'assurance maladie. Avec la réforme Barette y'auras moins de personnel ce qui selon moi veux dire plus d'attente et à l'extrème consultation et soins dans le privé. Je sais pas ce qu'ils vont faire de ceux qui comme moi souffrent d'une maladie mentale, y'a une grosse régression dans le nom d'hôpital à institut pour finir installation. Je trouve que ça fait très concentrationnaire. Je pense aussi à la méthode de gestion Lean qui viens de chez Toyota et qui est mise en place dans le réseau de la santé et des services sociaux, bein voèyon! On est pas des autos, la santé c'est pas de la mécanique. C'est vrai que je suis un ignare mais je trouve que c'est pas les bons qui payent. Y'a des sociétés privées qui devraient être plus taxé ce que je trouve étrange c'est qu'on les subventionne à coups de millions, comment dire on déshabille Jacques pour habiller Jean et encore Jacques c'est un tout nu comme moi, il perd ses culottes. Je pense aux petites madames qui ont voté pour Couillard parce que c'est un médecin et comme elles disent il parait bien, bien rasé bien peigné tout propre le monsieur sans parler de ses acolytes Bolduc et Barette médecins aussi de la a pensé que le gouvernement c'est une clinique qui nous soigne avec la politique... Je crois que c'est toujours les plus pauvres qui payent, ils payent de leurs santés quand ils attendent des heures et des heures pour voir un médecin et ça se transforme en jours, plusieurs jours quand ils doivent consulter un spécialiste. Quand je réfléchis ça me fait pensé à un vieux monsieur de ma connaissance qui disait faut se tenir loin de ça les höpitaux ça rend malade. J'aimerais bien que les médecins fassent des visites à domicile, ils le font bien en France pourquoi pas ici? Je vous souhaite pas d'avoir une maladie mentale vous risquez de devenir itinérant avec personne pour vous soigner et vous serez convaincu de n'être pas malade que c'est la société qui vous a amené là et vous n'aurez pas tout à fait tort. Enfin! C'est juste ce que je pense ça vaux ce que ça vaux y'a pas de solutions simples mais je me demande ce qu'ils vont faire de tout ces gens qui vont perdre leurs emplois, une perte d'emploi c'est malheureusement souvent une porte d'entrée dans la maladie mentale. Je vous remercis d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 16 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les actualités, pas grand chose de neuf et surtout rien a dire. La semaine passé certaines personnes remettaient en question l'utilisation de la première personne du singulier... Mais comment voulez vous que je vous écrive et là je cherche un moyen de revenir à la deuxième personne. Tu en a assez de mon blog tu a qu'a pas le lire. Vous voyez ce que ça donne. Je m'enfargerai pas dans les fleurs du tapis après tout c'est moi qui écris et parfois c'est près de l'autofiction. Ce matin mon corps crie.C'est le matin tôt y'a pas de traffic automobile à quatre heure quarante trois tout est arrêté c'est le meilleur temps pour faire des mauvais coups sans jamais oublier que le goulag occidental est sous surveillance caméra vingt quatre heures sur vingt quatre. J'ai pas envie de faire un mauvais coup, j'ai la respiration bruyante. Je pense au cuir de cochon sans savoir si ça existe... Dimanche prochain y'a un tournoi de bowling, après des années a trouver ça ridicule voilà qu'on s'y met, c'est bien, c'est distrayant, ça permet de rencontrer du monde. Je sais pas ou ils en sont en Ukraine ce matin, j'espère qu'ils respectent le cessez le feu. Non! Non! Non! Je suis pas Victor Hugo ni VLB, j'essais de me reprendre pour l'époque ou j'écrivais pas. Si je regarde ça c'est un moment plutôt cour dans ma vie. J'arrive pas a vous faire rire, je suis pas un humoriste. Je préfèrerais que vous soyez ému, vous en faites pas je suis pas un échappé de l'asile dans le goulag occidental on nous laisse en liberté on peux se les geler ou et comme on veux. Ouais! C'est lundi matin,on rentre à l'ouvrage, je détestais ce moment là prendre le premier métro pour commencer a travailler très tôt maintenant je me lève de bonne heure parce que je suis libre de le faire, du moins je le crois, et je vous écris. Tout à l'heure je vais sortir pour une réunion de mon groupe d'entraide ça devrais être des moments enrichissants. La journée qui commence c'est toujours tranquille. Je me souviens de ces nuits passées a bambôcher, en me rendant au travail je dormais dans les voitures du métro. Je croyais jamais que je me sortirais de ça maintenant les journées sont trop courtes les trajets sont moins longs. Vous voyez j'écris presque toujours dans le même format le défi c'est de durer dans le temps. Y'a pas vraiment de critique qui commente ma prose qui m'aiderais a advenir, comme disait le poète, au monde. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

dimanche 15 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Ce matin dans LaPresse+ on annonce la disparition du blog!!! Je sais pas quoi dire, peut être que c'est comme la T.V. et les livres ils sont pas disparus depuis l'apparition d'internet... Ce matin c'est grand soleil. Je veux juste vous dire comment je me sent. J'espère qu'en Ukraine le cessez le feu est en vigueur. J'ai mal de voir tout ce sang de civils. Fait froid en Ukraine... Terrorisme à Copenhague, ça coupe les désirs de voyage même ici à Halifax on a contré des meurtriers. Je devrais revenir sur ce que je sent, ce que je ressent, la peur oui! Semble qu'écrire un blog c'est une valeur diminué. Dites le moi si vous trouvez que ça vaux rien. J'ai mal je suis jamais à ma place, les journalistes ont toujours le dernier mot, ils m'interdisent d'écrire. Y'a qu'eux qui peuvent s'exprimer évidemment qu'ils diront pas qu'ils se gavent de Mae West pendant la rédaction de leur papier. O.K. d'accord je suis pas un vrai écrivain mais à part écrire je sais pas faire grand chose. L'entretien ménager je l'ai déjà fait ça m'ennuyait, j'ai abandonné. Je l'abandonne pas le blog qu'on en pense ce qu'on veux. Je sais tout ça va avoir une fin mais comment? Ça circule dans les escaliers de l'édifice, ce matin je m'ennuis pas trop. Je regarde les autobus passés, je me rappelle du bonhomme à la maison de chambre qui déplorais qu'il n'y ais pas plus de circulation devant, un chauffeur de taxi qui aimais regarder les voitures passées. J'écris très mal, dehors dans le goulag occidental des enfants parlent. Je remplis mon mal intérieur en mangeant, mais non j'irai pas chez les outre-mangeurs. Je brûle mes calories. Je vous vois à l'autre bout devant votre écran vous lisez ceci et vous croyez que j'en fait une maladie. Peut être, je suis un écrivain du dimanche et ne suis pas "à la recherche du temps perdus" que j'ai jamais lu parce que justement je voulais pas perdre mon temps a lire la bible gay. C'est ici que ça me fait mal j'écris ce que je pense et je suis pas un Imam djihadiste. Ça m'étonne toujours comment il faut accueillir l'autre avec ses différences et qu'à la moindre des miennes on me disqualifie dans la sphère publique. Je sais pas trop ce que je dis. J'ai l'impression d"être à part mais je suis pas seul. J'ai pas beaucoup de lecteurs, trices. Ce que j'écris je le tiens pas d'autorité, j'ai jamais étudié. Je suis juste allé a l'université de la vie mon diplôme ès Art je l'ai pas. C'est juste les commentaires d'un ti-jos connaissant qui répète et répète, qui crie sur tout les toîts. Je cesse de crier, j'arrête en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 13 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Bonne Saint-Valentin! Moi j'ai pas de Valentine j'écris donc à toutes celles que j'aime et à tout ceux aussi. L'amour quoi dire de l'amour, sans ça on est rien. Je crois que J-C. disait c'est facile d'aimer ceux qui sont aimables mais la difficulté c'est d'aimer ceux qui le sont pas.J'en connais pas qui le sont pas. Je pense à vous tous quand j'écris. Aux jeunes couples comme au vieux que je félicite d'avoir duré malgré les malgrés. J'oublie pas qu'il faut commencer par s'aimer un peu avant d'aimer les autres. Moi j'ai beaucoup d'amour maternel, fraternel et aussi de ma soeur, toute la famille je les aime tous. Je vous aime tous aussi ceux qui lisent ceci comme on dis c'est de l'amour debout. Comme j'ai pas de valentine je me suis fait un cadeau de Saint-Valentin, du rôti de porc ça va être bon pour mon coeur. J'espère que parmis vous y'a pas trop de végan... Moi les végan je les trouve drôle ils mangent pas de viande et de produit laitier mais ils fument du pot à s'en rendre fou, sans parler des autres drogues. J'aime bien qu'on bichonne la viande, du boeuf et du porc dans de beaux grands pacages, le poulet aussi comme celui de la famille dans la publicité.Ma chronique de Saint-Valentin fait boucher aujourd'hui, on vous parleras pas du massacre de la Saint-Valentin un classique policier. C'est difficile d'écrire sur l'amour que l'on porte à ses proches en général, ses beaux-frères comme ses belles-soeurs mettre des mots sur l'amour c'est tout un contrat, les sourires, les voix c'est déjà un cadeau. Juste la présence savoir qu'ils sont là pas trop loin et heureux. Aujourd'hui c'est une belle journée froide et ensoleillé d'hiver.J'arrive pas a le dire en personne quand je vous vois, je vous aime! C'est un peu répétitif mais on se le fait jamais assez dire. Faut pas nécessairement souffrir pour aimer, dans les années soixante dix j'aimais bien le "peace and love" on étais les enfants de l'amour et je crois que nous le somme toujours. Je sais pas si l'accord de Minsk va être respecté la paix pour un peuple et ses enfants qui en ont bien besoin."All you need is love" Lennon-McCartney, l'amour c'est beau mais souvent on sait pas comment donner ça. Juste écouter je crois que c'est bien, si jamais vous voulez parler mon oreille est là tout ouïe. Je réussis pas a rendre ça personnel, je pense à mon beauf retraité de l'Outaouais que j'aime beaucoup. Je m'excuse pour les autres que j'embrasse et termine là dessus en vous donnant un gros bec et vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 12 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Jeudi matin et le monde va toujours aussi mal Il est huit heure vingt je viens de me lever, de sortir du lit. J'ai lu les actualités rien d'encourageant. Il a neigé sur le goulag occidental. J'essais de me mettre à l'écoute de mon sentis. Je suis encore endormis. Février c'est vraiment l'hiver. Hier j'ai vu une publicité de Chanel avec comme musique l'interprétation de All along de watchtower par Jimi Hendrix, ça viens de loin mais c'est génial. Il neige encore, j'attend un colis dans la poste. Lentement je me réveille ça me fait plaisir de vous écrire. Je pense à ce test passé il y a longtemps au centre d'emploi on me voyait facteur d'orgue. Je croyait que Casavant allait fermer, ils ont jamais été si actif.Y'a mes amis de l'institut qui avec la réforme vont peut-être perdre leurs emplois j'espère que non. Ça prend beaucoup de monde pour s'occuper de santé mentale sinon on va retrouver beaucoup de malades à la rue. La pleine citoyenneté c'est bien, l'institut qui va vers le patient aussi mais encore faut il qu'il en fasse la demande. Au présent je sais pas ce que cette réforme va faire dans ma vie. Y'a longtemps que j'ai été hospitalisé, je me rétablis, pas de psychoses mais parfois des voix. Je pense à mes collègues hospitalisé d'avoir trop consommé. Je sais pas si ce que j'écris on peut appeler ça de la littérature c'est probablement comme dans le temps avec la bande-dessinée de la para-littérature. Hier soir j'ai regardé la série dix neuf deux. J'ai trouvé ça dur ça m'a fait mal et on dis bien que la réalité dépasse la fiction, je reste paranoïaque... "Cette voix que j'ai, cette voix je vous la donne"-Gilbert Langevin le regretté poète de LaDorée au Lac-Saint-Jean. Pour moi la voix est tranquille le matin je donne tout ce qui se passe dans ma tête comme une prière à Dieu. Le monde peux continuer sans moi, je suis pas indispensable. J'ai qu'a respirer par le nez. Comme souvent je sais pas ou je m'en vais. Ce matin la photo que je vais placer c'est Jeanne D'Arc qui entend des voix qui lui disent de boutter? Botter? les anglais hors de France. Ça nous prendrais une Jeanne D'Arc dans un parti provincial ça aiderais a faire l'indépendance. Je crois pas que PKP entend des voix... J'y crois plus beaucoup à la cause quelle place on va faire aux assistés dans ce nouveaux pays? Après des années de malheur je pense juste a rester tranquille pays ou pas, j'aimerais pas que le Québec devienne une Ukraine. Je termine là dessus en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mercredi 11 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Mercredi matin, j'essais de vous écrire quelque chose qui a du sens. J'attend l'émission littéraire avec Jean Barbe et compagnie... La lecture toujours, l'écriture toujours, rien n'empêche que je me sent lourd. Me prépare un café pendant qu'un barbu a bicyclette passe devant chez moi, il ressemble à un itinérant sur deux roues faut dire qu'ici y'en a beaucoup. Je vieillis, je déprime et le temps passe. J'ai commandé une clé usb ma connection est pas assez rapide pour déposer sur le nuage. Dehors le parc est tout blanc,je sais pas. je sais pas, je sais pas pourquoi je suis si fatigué. Vidé j'ai essayé de vous faire mon blog avec ma tablette j'ai abandonné, tout à coup j'entend des corneilles. Je suis toujours pressé de vous écrire pourtant y'a rien d'urgent. J'ai mal ça vous intéresse pas de savoir ça. Les corneilles croassent pour annoncer je ne sais quoi. Viens de voir un camion au sigle de Powermatic, une shop ou j'ai travaillé dans le temps. Je croyais que ça n'existais plus. À l'époque de mon début vingtaine j'étais heureux je sentais pas la douleur. Un jour tout s'est mis a débouler, la peur m'a emporté, je ne pensais qu'a me cacher. Je suis devenu fou et angoissé y'avait que la bière pour me calmer et encore ça a pas duré. Je préférais être en mauvaise compagnie que seul, niaiser au bistro c'étais mon lot. Y'a un événement sur la toile c'est de la poésie sale, je me demande pourquoi à un certain age la poésie se dois d'être sale, la poésie c'est pas un train ni un pipe-line de pétrole quoi que parfois ça pollue ce qu'on a entre les deux oreilles, quand on a quelque chose. Moi j'ai brûlé plusieures neurones sans parler des synapses, trop sniffé de savon. C'est utile ce que j'écris là? Écrire malgré et envers tout, écrire même si ça semble inutile, si ça mène à rien. Juste se faire un chemin dans la grisaille des désoeuvrés, faire acte de présence envers vous qui me suivez. Paranoïa quand il est question de se faire suivre pourtant je ne sais pas ou je vais. Et encore j'ai mal je veux un amour unanime, sans bon sens mais je connais la haine. Mon écriture en est une de Ti-Jos Connaissant m'a dire comme l'autre t'a pas voulus aller à l'école endure maintenant, y'a quand même des drames chez les gens scolarisés. C'est étrange j'ai eu toute la difficulté du monde a vous écrire ceci mais je me sent mieux. C'est pas vraiment réussis mais comme toujours j'attend vos commentaires, Ils se font rare. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 10 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je vous écris de ma nuit ou on ramasse la neige tombée sur le goulag occidental. J'ai pas de nègre il faut donc que j'écrive tout moi même. Le brouha-ha de la machinerie a cessé.Je croyais qu'il étais deux heure du matin il n'est que vingt trois heure trente. J'ai de la misère a décollé je trouve pas les mots. Si je m'envole pas c'est pas grave y'a que moi aux manettes. Je pense encore partir je ne sais vers quelle destination. Hier on a eux une discussion sur l'authenticité comment il faut se garder un quand-à-soi ne pas toujours étaler ses tripes sur la table mais s'exprimer quand même de façon assertive. C'est pour ça que je m'exprime à la première personne du singulier. Je vous laisse ce qui vous appartiens bien que j'ais pas de réaction immédiate avec le blog. Je pense a ma regretté soeur qui croyais être authentique et qui disait tout ce qui lui passait par la tête sans égards pour les autres, elles était malade faut bien comprendre. Me suis fait un café, mangé une barre tendre. Je pense à Foglia tout ce temps sans le lire, son vélo et ses chats, ces personnages avec qui   souvent il s'entretiens des artisans du terroir. Moi je suis dans l'univers des fous, tout est trop sensés y'a rien a dire. Étrangement j'ai une toune des Jackson five dans la tête, "I want you back" pourtant à l'époque ou ça jouait j'étais plus Beatles et la british invasion. Minuit quinze j'ai mangé... Suis retourné au lit, je me lève il est huit heure douze dehors y'a beaucoup de circulation les gens s'en vont au boulot. Hier j'avais envie de cesser tout ça cette écriture pour faire quoi ? Je sais pas,m'engager dans la légion étrangère? J'attend une livraison, un cable pour le Ipad par Fédéral Express. J'arrive pas a vous écrire sur mon sentis. Je me sent mal parce quelqu'un m'a envoyé son profil sur Linkdl. Ça fait plusieurs fois je sais pas quoi pensés ni quoi répondre. Une chose est certaine je suis pas à la recherche d'un emploi. C'est pour ça que je suis pas pleinement citoyen quoi que je prend mon temps pour la cause de la santé mentale qui me tiens à coeur. Je viens de comprendre que si on a a me dire quelque chose on vas y aller directement pas par réseaux sociaux interposés du moins je l'espère. Lentement je termine ce blog. Je vais lire les actualités. Je suis bien réveillé mais pas rasé. Je vais faire mon lit comment on dit? Tel on fait son lit tel on se couche?  J'arrête tout ça là en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici! À la prochaine j'espère!!!

Bernard

dimanche 8 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui il tombe une bonne bordée de neige. Je pense à tout ceux qui veulent pas être retraçé, assurez vous qu'il n'y a pas d'ordinateur près de vous, pas de téléphone cellulaire, pas de tablettes électronique et ne répondez pas au téléphone. Cou donc on est en deux milles quinze, n'utilisez pas vos cartes de débit et de crédit. Promenez vous avec une cagoule par ces temps froids c'est pas un inconfort.Ouais! Ça part mal après midi. Le goulag occidental est couvert de neige. C'est étrange j'ai toujours sommeil même en plein après-midi. J'hésite a employé le mot charrue souvent c'est péjoratif pour celle qui ne poussent pas la neige. Les charrues passent dans la rue et forment des congères. C'est pas bon ce que je vous écris, ça m'ennuie je voudrais être inspiré à tout les jours.Un tracteur recule... Je suis toujours étonné de voir qu'avec toutes cette machinerie et cette circulation dans les rues, il y en ais pas plus qui se font écrasé. C'est un peu pour ça que je reste à la maison a lire le dernier Dantec de la science-fiction pornographique. Je l'attendais mais après je me demande ce qu'il va écrire ça va ressembler à des contes pour enfants. Dimanche, demain c'est le retour au boulot quoi que j'ai des retraités parmis mes lecteurs... Entre compter les flocons de neige et vous écrire je préfère le deuxième. Ça tombe ça tombe ce soir y'a encore du hockey à la télé. Je passe par des moments de grand vide, rien de déstabilisant à part une petite maladie du fondement mais ça c'est mon intimité. J'espère que ça vous fait rigoler. La neige change d'intensité un moment on vois rien en avant après ça cesse de rafaler et on vois plus loin. Je sais pas si je vous ai raconté quand j'étais petit gars on disaient des bonhommes qui lisaient qu'ils étaient des maniaques, on étais pas loin de la vérité moi je lis toujours j'ai toujours une lecture a faire, j'allais dire en train mais y'a longtemps que j'ai pris le train... Je regarde dehors je vois plus rien. Lire et écrire voilà ce qui me tiens. J'ai pas encore compris ce qu'on apprenais a lire, une vision d'un autre univers? D'un autre monde? L'universalité des sentiments? Le talent des grands auteurs qui restent actuel même après des centaines d'années, je pense à Molière à tout les classiques. C'est ça ma folie lire et quelque fois relire pour être certain d'avoir compris d'avoir saisis les images que l'auteur a exprimé. Je crois que la lecture c'est une valeur qui nous permet de vivre le bien en opposition au mal. Sur ces hautes pensées de philosophie niveau B je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 
 

Bernard

samedi 7 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Je reviens sur le shift de nuit.Il a neigé sur le goulag occidental.Je suis plus très très inspiré. J'ai rêvé à la taverne et à son waiter.On a parlé des rénovations qu'ils ont fait, essentiellement des grands panneaux de fer blanc,des tuiles de métal pressé. Des pièces de fer blanc moulées à la presse avec un moule positif et négatif. Tout ça d'un jaune boucane comme à la belle époque des cigarettes.Ils nous montraient ça en nous servant une bière curieusement j'étais pas effrayé après tout le mal que j'ai vécu avec l'alcool mais je me suis quand même réveillé. Je sais pas si ça sent encore les oeufs pourris à la taverne dans mes rêves j'ai pas le parfum. C'est toujours la nuit, la taverne a le permis pour rester ouvert après minuit. Je pense aux recherchistes télévisuel qui à une certaine époque tournaient leurs émissions culturelles dans les tavernes ringardes comme chez Roger rue Beaubien. Aujourd'hui à Montréal on en est aux micro-brasserie chaque taverne a sa bière et comme je ne les fréquente plus je sais pas laquelle est la plus branché. Comme souvent quand je parle de bière je me souviens de ce gars au café Campus qui m'avait dis de consulter c'est le meilleur conseil que j'ai jamais eu. On me servait jamais assez vite mon bock était toujours vide. J'ai toujours bu en alcoolique. J'étais pas dans le jet set mais plus dans le shoe set, comme dans la chanson de Plume Latraverse "Errez de taverne en taverne pour se donner l'impression de bouger" c'est la balade de la caisse de vingt quatre. Dehors cette nuit y'a quelqu'un qui parle c'est difficile de trouver un abri à cinq heure du matin. Il marche, il marche malgré son mal aux pieds veux pas mourrir gelé, cherche une entrée pour se réchauffer. Un endroit ou il peux trainer quelques heures avant la journée. Parfois il pense à l'hôpital pour éloigner le mal enlevé ses vieux bas sale en attendant dans la salle faire comme si il avait reçu de la malle pour lui dire dans quelle talle on le classait enfant de la balle, pourtant il calle il calle s'enfonce et s'étale dans la salle de l'hôpital. Ha! Ce qu'on est bien chez soi a inventer de petites histoires pas trop dramatique pas tout à fait alcoolique en écoutant la sirène des voitures de flics. Lentement la nuit passe vivement le jour que je l'enlasse avec ma mauvaise poésie qui se tasse, non! Non! Je ne peux pas boire c'est juste une passe. Les muses sont revenues ça brasse, c'est très mauvais mais quoi je suis pas un as!!! Je vous laisse en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

vendredi 6 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Un ami m'a dis que le travail intellectuel est exigeant. Je sais pas pour moi mais j'arrive à peine a sortir du lit le matin. J'ai peur de faire une dépression. C'est la difficultée de faire face au vide quotidien. Le temps est long. C'est un peu pour meubler ça que je vous écris. On gèle dans le goulag occidental. J'ai invité quelqu'un a prendre un café et a aller patiner. J'ai pas eu de réponse. Si vous me lisez je m'excuse si je vous ai dérangé. Dehors c'est blanc on attend encore un peu de neige.Je force trop pour vous écrire chers lecteurs/trices. Je réalise que c'est important d"être à l'abri l'hiver mais pas de mourrir étouffé dans une yourte.Le bus viens de passé il est plein c'est vendredi matin. Je pense aux gens qui font des semaines de quatre jours qui travaillent pas le vendredi. Je crois que ma lectrice secrétaire retraité de l'Outaouais avait cet horaire là. Je me souviens d'avoir travailler dans une usine ou on avais cet horaire là quatre jours semaine dix heures par jour et le vendredi on nous demandait toujours de faire du surtemps. Je disait non. Je préférait niaiser la nuit. Ça fait longtemps, ça fait longtemps aussi que je punche plus. Je peux dire qu'à cinquante huit ans je suis retraité. Ça me fait plaisir de vous écrire, je me sent bien pendant que je le fait et je me sent mieux après. C'est pas des très belles phrases on est pas de l'autre côté des choses comme l'écrivais Jacques Ferron l'immense écrivain. Je suis pas notable, j'ai pris l'initiative d'écrire. J'ai eu une réponse pour le patin pendant que je vous écrivais on a décliné mon offre, une réponse c'est mieux que rien. Je prend un café " Je suis même pas sortis une fois aujourd'hui, il faisait bien beau plein de soleil que Michel m'a dis"-André Paiement le regretté du groupe CANO. Je m'ennuis pas de ces journées passées à la taverne, a écluser de la broue. Je souhaite un bon voyage en Inde à une lectrice de Lachenaie. Je vous raconte pas tout je veux pas blesser personne. L'amour elle est ou l'amour, je serai aimé quand je me respecterai et j'en aurai jamais finis d'aider, d'écouter tout ça ça manque d'humilité pourtant je suis pas grand chose. "Play me a rock'n'roll song or play me no song at all"  -Valdy J'ai une pensée pour une amie que je ne vois plus. J'espère qu'elle a une belle vie. Dans le parc en face un gars promène ses chiens. Je termine là dessus comme je vous ai dis je me sent mieux de vous avoir écris. Je retourne au cahier. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

jeudi 5 février 2015

Au présent

Bonsoir! Bonjour! Suis revenus à la rédaction nocturne en espérant le retour des muses.Il ne neige plus dans le goulag occidental.J'ai pas regardé les actualités. La chute de l'avion m'effraye mais ne m'empêche pas de pensés à un autre voyage. Ce matin j'ai rendez vous avec le médecin, un contrôle de routine. Il est deux heure du matin, je pense à Gottlib l'auteur de bandes dessinées. Je crois que vous avez déjà lu ça quelque part. Je mange des barres tendres.Vous souvenez vous de la Partridge family? une famille de musicien avec un show télé avec le célèbre et adulé des jeunes filles David Cassidy et sa chanson I think I love you. Y'avait aussi le Sugar Sugar des Archies sans parler des Monkeys et de leurs I am a believer, trois groupes propres pour les adolescentes, des groupes qui s'opposaient aux sales Rollings Stones et au sexy Mick Jagger ainsi qu'a tout ces bands de la vague anglaise. Je pense aussi au American Bandstand du samedi matin avec son palmarès ses danseurs aussi et ses éclairages psychédélique si un groupe voulait percer fallait qu'il passe là. L'animateur c'était Dick Clark. Cette semaine une voisine pendant qu'on écoutais Led Zeppelin m'avouait avoir fantasmé sur les boucles de cheveux de Robert Plant le chanteur du groupe. Je ne sais trop pourquoi les jeunes garçons trippaient aussi sur ces bands. Je crois qu'on voulait les imiter pour attirer les jeunes filles, on s'étais tous laissé pousser des tignasses de cheveux. Au Québec on avait Jeunesse d'aujourd'hui pas très très rock mais on y voyait les Lutins je crois que le chanteur c'étais Simon, les Sultans et l'adulé Bruce Huard, les Chanceliers et les débuts de Michel Pagliaro ces trois là ils ont survécu dans ma mémoire. Je trouvais ça drôle de les voir faire du lipsync avec de fausses guitares. Plus tard y'a eu le show des années soixante dix qu'animait Donald Lautrec,on l'a vu récemment à la télé il tente un retour mais je crois qu'il est un peu vieux. Tout ça pour vous dire qu'on y croyait au peace and love. Les adultes savaient bien que c'étais du show-bissnezz qu'après tout il fallait gagner sa crôute tout ça c'étais la mode. Je vous ai pas parlé du passage des Beatles au Ed Sullivan show, j'étais trop jeunes mais je sais que c'est là qu'à commencé l'invasion british. Dimanche passé on a vu Sir Paul McCartney spectateur au superbowl. Les fausses guitares c'était peut-être parce que certains groupes rock détruisait les vrais pour et pendant le show. Je termine là dessus je vais lancer mon ordi sur le mur. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

mardi 3 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Viens de trouver sur la table un papier que je croyais avoir perdus. Pour moi c'est comme si quelqu'un était entré chez moi, en mon abscence et l'avait déposé là. C'est ma folie, ma maladie... Je suis sortis une demie heure, acheter un cahier et des crayons, des razoirs aussi. Je recommence les cahiers, pour l'instant je vous écris sur le blog... J'ai le ménage du local communautaire a faire. Je crois que ce seras pas aujourd'hui. Le papier que j'ai retrouvé c'est comme si quelqu'un ramassait derrière moi et déposait sur la table. Dehors il fait beau c'est pas trop froid pourtant ça me fait mal ce que je vous raconte là. Je suis perdus. Je sais bien que c'est interdit d'entrer chez moi quand je suis pas là. Soleil, soleil, il fait jour... Quand je veux parler à quelqu'un y'a personne c'est un peu pour ça que je vous écris de ma folie. Ce serait pire dans une chambre d'hôtel avec femme de ménage, j'espère que vous comprenez, j'essais de me ramasser mais j'y arrive jamais. J'ai mis mes souliers, dehors ça klaxonne, un camion avec une nacelle passe en clignotant.Les pompiers répondent à une alerte. Je me sent pas victime mais persécuté, j'ai jamais trouvé la source de mon mal, dans le temps on faisait appel à Saint-Antoine le patron des causes perdues, des choses perdues aussi. C'est ça aussi la paranoïa la peur des inconnus, des voisins qu'on croise mais à qui on a jamais parlé. Je ne peux fuïr, ça fait des années que je vie avec ça a me prend toujours par surprise pourtant ça serais beaucoup plus simple si je l'avais carrément perdus le papier. Cet après-midi j'ai envie de parler de choses sérieuses, c'est la semaine de prévention du suïcide, non je suis pas suïcidaire cette époque là est passé. J'essais juste de vivre avec mes carences, mon mal. Les objets qui se déplacent ça reviens d'une fois à l'autre pas souvent. Cette semaine j'ai rendez vous avec le médecin je vais lui en parler. Y'a de la culpabilité dans ça je sais pas pourquoi Je me ramène, je me ramène, j'ai parlé avec mon lecteur chauffeur d'autobus de Mascouche, on a tout les deux apprécié le superbowl. "Avec le temps, avec le temps va tout s'en va"-Léo Ferré. Ma folie s'en va pas mais elle me prend toujours par surprise et j'essais toujours de reprendre mon équilibre. La photo aujourd'hui c'est un hommage aux prédécesseurs à ceux qui auraient aimé vivre comme je vie avec la maladie dans le goulag occidental, le centre sud, la rue Sainte-Catherine et ses nids de poule entre le viaduc et le boulevard Pie-IX. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard

lundi 2 février 2015

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Aujourd'hui c'est le vrai hiver de février. J'aime beaucoup ça y'a de la neige et je suis seul chez moi sans obligation de sortie. C'est mon cinquante huitième hivers au Québec. J'ai jamais connus autre chose. Ça fait vingt et un ans que j'habite le goulag occidental ou si vous préférez le centre-sud de Montréal.Je pense toujours au mal que j'ai fait avant. Je pense à vous tout ceux que j'ai cotoyé dans ma maladie ma folie toxique. Dehors il neige. Je sais ce que vous pensez c'est simple d'écrire je peux faire pareil, mais allez y!!! Ne vous gênez pas!!! C'est pas une compétition c'est juste un gars qui écris, enfin tout ça... Ce que je trouve domage c'est que je fait plus de sports, je marche par la force des choses j'ai pas de voiture. C'est tout blanc, le poète écrivait "la neige a neigée" et le chansonnier "Y fait pas chaud même si l'hiver est beau" Plume Latraverse. J'ai plus de longs délire hivernal, j'aime le silence sourd des chutes de neige. Le bonhomme se demandait toujours ce que faisait ces gens qui roulaient en voitures, ils ne travaillent pas? C'est drôle. Je sais pas si ce que j'écris ça tiens dans la durée, y'a ça aussi toujours revenir à écrire. Y'a une belle chanson de Richard Séguin là dessus. J'écris pour me débarasser de cette folie, pour dire aussi ce qui m'ennuis ce que j'envie. Y'a longtemps déjà j'essayais de vivre dans une maison de chambre c'étais l'enfer... Je crois avoir déjà écris là dessus, on ne se réinvente pas. Il neige toujours de la poudreuse, pense à ces gens ensevelis en montagne, y'a des risques hors pistes en ville on peux se faire frapper par une voiture qui glisse. La voisine asiatique écoute de la jolie musique de son pays, c'est oriental. Je regarde dehors les voitures qui passent, pense à Londres pense à cet arc pas très loin de Hyde Park. C'est l'après midi, je suis tranquille, je suis serein. La douleur du coeur est pas là. Je partirai pas pour Acapulco je reste dans la neige. Les amis me téléphonent, le bus passe. J'aimerais bien être inspiré faire de ma prose une poésie a lire en sortant de la nuit. Pourtant je ne suis pas gris ni des yeux ni des cheveux, poivre et sel et niaiseux. Je sais pas pourquoi je pense à ma nièce puéricultrice de Cantley dans l'Outaouais. Trois enfants une grosse famille, je crois qu'elle est heureuse. Toujours la neige, j'écris en après midi aujourd'hui. C'est blanc immaculée, bientôt je devrai y aller. Je sais pas comme toujours comment terminer. J'arrête j'ai finis de niaiser. Merci d'avoir lu jusqu'ici!!! À la prochaine j'espère!!!
 

Bernard