Bonjour! Bonsoir! Viens de lire les actualités, pas
grand chose de neuf et surtout rien a dire. La semaine passé certaines personnes
remettaient en question l'utilisation de la première personne du singulier...
Mais comment voulez vous que je vous écrive et là je cherche un moyen de revenir
à la deuxième personne. Tu en a assez de mon blog tu a qu'a pas le lire. Vous
voyez ce que ça donne. Je m'enfargerai pas dans les fleurs du tapis après tout
c'est moi qui écris et parfois c'est près de l'autofiction. Ce matin mon corps
crie.C'est le matin tôt y'a pas de traffic automobile à quatre heure quarante
trois tout est arrêté c'est le meilleur temps pour faire des mauvais coups sans
jamais oublier que le goulag occidental est sous surveillance caméra vingt
quatre heures sur vingt quatre. J'ai pas envie de faire un mauvais coup, j'ai la
respiration bruyante. Je pense au cuir de cochon sans savoir si ça existe...
Dimanche prochain y'a un tournoi de bowling, après des années a trouver ça
ridicule voilà qu'on s'y met, c'est bien, c'est distrayant, ça permet de
rencontrer du monde. Je sais pas ou ils en sont en Ukraine ce matin, j'espère
qu'ils respectent le cessez le feu. Non! Non! Non! Je suis pas Victor Hugo ni
VLB, j'essais de me reprendre pour l'époque ou j'écrivais pas. Si je regarde ça
c'est un moment plutôt cour dans ma vie. J'arrive pas a vous faire rire, je suis
pas un humoriste. Je préfèrerais que vous soyez ému, vous en faites pas je suis
pas un échappé de l'asile dans le goulag occidental on nous laisse en liberté on
peux se les geler ou et comme on veux. Ouais! C'est lundi matin,on rentre à
l'ouvrage, je détestais ce moment là prendre le premier métro pour commencer a
travailler très tôt maintenant je me lève de bonne heure parce que je suis libre
de le faire, du moins je le crois, et je vous écris. Tout à l'heure je vais
sortir pour une réunion de mon groupe d'entraide ça devrais être des moments
enrichissants. La journée qui commence c'est toujours tranquille. Je me souviens
de ces nuits passées a bambôcher, en me rendant au travail je dormais dans les
voitures du métro. Je croyais jamais que je me sortirais de ça maintenant les
journées sont trop courtes les trajets sont moins longs. Vous voyez j'écris
presque toujours dans le même format le défi c'est de durer dans le temps. Y'a
pas vraiment de critique qui commente ma prose qui m'aiderais a advenir, comme
disait le poète, au monde. Je termine en vous remerciant d'avoir lu jusqu'ici!!!
À la prochaine j'espère!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire