dimanche 31 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui c’était un dimanche de Pâques ensoleillé. Rien n’empêche que j’ai pensés aux membres de notre famille qui sont disparus. Je vais essayer de pas être triste, Pâques c’est la résurrection, la renaissance, Y’a cette bonne femme chez qui j’étais allé avec ma blonde du temps, donc la bonne femme épouse du maître des lieux m’avait traité de tapette pour une travailleuse sociale c’est pas fort. J’étais pas resté là longtemps. Moi j’appelle ça le stigma et je suis certain qu’elle s’en défendrais bec et ongles, y’a pas pire aveugle que celui qui ne veux pas voir. Au fond je lui pardonne. J’ai souvenir de combats à grands coups de poings sur la gueule c’était pas très élégant mais ça avait le mérite d’être franc. Ce soir j’ai sommeil, je sais pas quoi vous raconter demain c’est congé, y’a des enfants qui sont content. Ma répétition théâtre a été déplacé vendredi… Un long dimanche de Pâques sans maman, je me rappelle d’un chez ma nièce on étais tous là je crois. J’en perd des bouts, je mange des biscuits feuilles d’érables. Je vais essayer la poésie de l’épuisement.

Les mots enchevêtrés

Dans un orgasme littéral

Écrit dans un spasme

D’une pause fatale

Tout ça un miasme

D’une fausseté natale

Voilà! C’est pas fort mais l’idée c’est le sentis, l’émotion, je vais vous parler de Facebook comment c’est devenus nul, j’ai presque envie d’abandonner mais je continuerai mon blog quand même. Pourtant y’a des amis plein de talents qui s’en servent, je crois que ce que j’écris c’est valable. J’ai ouvert la porte, j’aère la pièce, tout à l’heure y’avait un couple qui s’engueulait en attendant l’autobus, c’est typique du goulag Centre-Sud. Lentement l’air frais me réveille. Je crois que dans bien des familles c’est le souper du dimanche de Pâques. Je pense aux gens de Cantley je crois que les enfants auront du dessert ce soir. Je les embrasse. Souvenir aussi de la noce chez la nièce et d’une autre fête très agréable. Ouais ! Ce soir ça ressemble vraiment au printemps. Mais non j’ai pas acheté de jambon j’en aurais eu pour deux semaines. Je salut les gens de Laurentides-Lanaudière et ceux de l’Outaouais. Voilà ! Je termine, c’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! À la prochaine je l’espère !

01/04/2024  


samedi 30 mars 2024

 

Bonjour ! Bonsoir ! Vous lirez ça ce seras Pâques. Personne ne va plus chercher de l’eau de Pâques dans une source où un ruisseau, une eau qui avait des vertus curatives presque miraculeuses, ça soignait les maux que nous avait laissé l’hiver et faisait baisser la dernière fièvre. Mieux encore on pouvait la faire bénir c’était presque une garantie de guérison. Je sais pas si les bros se rappellent de la source sur le flanc du côteau, l’eau y était fraîche et bonne à boire il y manquait juste la Manon des sources de Pagnol on était pas dans le Midi. J’en connais qui doivent avoir hâte d’aller à la pêche, on va laisser le temps à la glace de caler. Hier à Montréal y’avait un grand chemin de Croix, de nos jours la foi c’est une chose personnelle mais je crois que ça a aidé beaucoup de monde. Je sais pas si on donne encore de vrai lapin, pensés à la patte de lapin qui portait chance. Quand on avait plus de chat maman nous ramenait un chaton tout en jeu j’aimais bien m’amuser. Dans cette banlieue y’avait une atmosphère de campagne qui restait encore que je le veuille où non j’avais ce côté campagnard. Pâques c’était toujours la promesse du beau temps, les vacances d’été qui approchaient on se demandait toujours si Pâques était tôt où tard ? Si je me souviens bien avec le chocolat on avait droit à quelques revues de bande dessinées où un Salut Les Copains. Et je lisait je lisait de mon secondaire trois pas finis je lisait les bouquins de secondaire cinq de ma sœur. J’étais égoïste je réalisait pas que j’étais un enfant, j’aimais bien trainer dans les rues à bicyclette avec les copains. On jouait aussi dans la swomp, le boisés derrière la maison on construisais des cabanes dans les arbres, je vous raconte ça, ça me touche je voyais pas les malheurs qui s’en venaient. La vie a défilé, longtemps je me suis ruiné. Des années de galères malheureuses où j’ai laissé ma santé mentale. Je vous laisse en vous souhaitant Joyeuses Pâques beaucoup de bonheur en ce temps de renouveau. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La Conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

01/04/2024


vendredi 29 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui y’a des moments où il fait très beau. Je vais vous avouer que j’ai hâte de repartir en voyage mais je tempère les choses, ça va être meilleur quand je partirai. On dis bonjour à mon lecteur retraité de la Rolls Royce présentement à Saint-Martin avec sa douce. C’est vendredi saint je regrette un peu qu’on sois passé de La Passion du Christ au Lapin blanc des chocolats. Dans mon enfance j’ai été élevé dans la tradition Chrétienne y’avait de bonnes valeurs là-dedans en fait on avait le meilleur des deux mondes la messe du vendredi saint et le chocolat et les bonbons du dimanche de Pâques cependant je dois avouer que j’aimais pas m’habiller chic le dimanche. Je me rappelle de ma confirmation qui avait eu lieu un dimanche de Pâques c’était particulier. Ma très chère marraine m’avait offert un beau missel à la tranche dorée. À mon souvenir la saison pascale était pas aussi intense que les fêtes de Noël et du jour de l’an. Souvent ça se passait dehors on jouais mais fallait pas se salir. Plus vieux à l’époque y’avait pas de vente d’alcool le vendredi saint, les bars et les tavernes étaient fermés on était trop nono pour en acheter la veille souvent on erraient dans la ville en attendant minuit pour aller prendre une bière. Souvent le vendredi vers trois heure ça devenait sombre et gris le Seigneur venait d’expier. Quand même la dernière fois que je suis allé à la messe j’avais essayé de parler au prêtre il m’avait pris un peu de haut dans toute sa « grandeur ». Y’avait aussi tout ces films à la télévision, la Passion, les Dix Commandements et ce que les français appellent des péplums, Ben-Hur et autre qui se passaient à l’époque romaine. Des films de gladiateurs parfois on y voyait un peu de peau c’était rafraichissant. L’hiver est long ça prend du temps avant que les gens se déshabillent. En tout cas y’a surement des dentistes qui doivent leurs fortunes à Pâques. Chocolat sucre et sirop d’érables tout pour les caries. Mais oui à minuit on allait à l’hôtel si on était chanceux y’avait un show. Voilà ! C’est la chute ! La finale ! La conclusion ! L’épilogue ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine !

30/03/2024


jeudi 28 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je pense à tout le mal qu’ils disent des réseaux sociaux. Eux ils ont la radio qu’ils font sans trop se poser de questions sur le média. Moi je dis qu’il faut avoir du discernement, y’a du bon et du mauvais partout. Je suis incapable d’élaborer sauf si je parle de mon expérience. Les réseaux sociaux pour moi c’est une plateforme dans mon cas pour l’écriture et là je sais pas pourquoi je pense aux massmedia qui nous vendent a peux près n’importe quoi. Y’a la distance critique aussi qu’il faut maintenir partout en fait je dirais qu’il faut pas se prendre pour un autre et regarder tout ça avec humilité, c’est un peu une mise en scène amateur de notre vie. One for the money ! Two for the show ! Three get ready and go ! Elvis était un précurseur et je parle pas des quinze minutes chacun d’Andy Wharhol ! Je sais c’est pas clair, pour l’écriture je me promène entre les cahiers, Word, et le blog. Si j’y arrive en prenant mon temps il devrait y avoir un autre livre… Pour moi écrire ce que vous lisez c’est plus souvent qu’autrement une joie. Aujourd’hui j’ai beaucoup marché demain je vais prendre une pause. Je crois que c’est congé pour plusieurs d’entre vous demain, de vieilles traditions religieuses qui ne s’oublient pas. Je ferai pas de cut-up à la Burroughs du copier-coller avant la lettre. Je vous dirai pas que je radote je veux pas me dénigrer, m’auto-stigmatisé ça avance à rien, j’écris je suis un écrivain qui travaille avec des moyens « moderne » je dis ça comme ça je veux pas parler d’avant-garde. Mais non je suis pas un robot avec ça je sais pas ce que vont devenir les cours de rhétorique si ça existe encore. Je crois qu’aujourd’hui tout ça passe par les cours de communication universitaire contingenté. Les médias c’est souvent beaucoup d’appelé peu d’élu avec ça moi je travaille seul dans mon coin toujours avec l’idée du brut, du crû, du modeste. Tout ça c’est dans ma tête j’essaye de pas bâtir de châteaux en Espagne, juste de m’exprimer, de dire, d’écrire. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

29/03/2024


mercredi 27 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui c’était l’inscription au colloque de l’Association Québécoise de Réadaptation Psychosociale. J’ai aussi réservé une chambre à l’hôtel. J’espère que tout seras O.K. Viens de souper avec les voisins l’intervenante a préparé du poulet Colombo une excellente recette guadeloupéenne. Le ciel s’est dégagé c’est bleu, le temps passe rapidement, ce matin j’ai marché au moins quinze minutes c’est le minimum. J’ai acheté tout ce qu’il me faut a manger, un menu d’excellent restaurant ça donne parfois dans la poésie parfois c’est mieux écris que ce qu’ils servent. Cette semaine dans le temps ils appelaient ça la semaine sainte ça culminais avec le dimanche de Pâques. Dans le goulag tout est fondu, plus de neige. Fin mai ce seras un petit voyage à Lévis. Ce matin en attendant l’autobus un gars est passé et m’a presque craché dessus. Je suis pas un militant professionnel ma cause c’est la stigmatisation en santé mentale, les gens qui supportent pas la différence, parfois je me prend à ce jeu là et c’est rien de bien édifiant. Faut se rapprocher des gens les écouter, souvent le stigma est associé à une sorte de ghetto, les différences, les différents on les concentre… Mon idée reste toujours celle d’une certaine littérature brute qu’on qualifie ainsi faute de mieux. Si j’étais vraiment crû je me soucierait pas de ce que devienne mes écrits pas plus que ce que sont devenus mes peintures mes collages mes accrochages. J’écris pour regarder en avant et aussi parce que j’aime ça. Demain je crois que les gens auront leurs montant mensuel de la sécurité du revenu, ce soir ils sont à bout n’ont plus de moyens et demain, demain… Le stigma il est là aussi on veux pas que les personnes vivent à leurs façons et ça prendrais pas grand-chose pour qu’on ramène les boubous-macoutes. Ce soir les nuages sont très beaux, c’est bon pour ma race de pelleteux de nuages. Encore ce soir je vous aurai amenés dans les mêmes eaux des défuntisés, des mal pris, des cassés. Ils ont pas eu le temps de se forger un univers, sont resté des assistés. Ce soir c’est pas fort et voilà c’est finis. C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

28/03/2024


mardi 26 mars 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui j’ai rendu visite au médecin. Je suis rassuré elle m’a dit que j’avais rien de grave, s’agis juste que je recommence a marcher graduellement quinze minutes pour commencer et j’augmente tranquillement. Y’a le souffle aussi on m’a dit que c’est ce qui revenais le plus rapidement. J’irai au supermarché demain une demie heure allé retour ensuite je saute une journée et m’y remet dans la suivante. Ça va demander de la discipline mais je pense que ça vaut la peine. Je sais que je suis capable je marche beaucoup en voyage. Les gens rentrent chez eux, la télé est sur MuseumTV. Regarder deux émissions sur l’architecture en me demandant si écrire c’est un art ? Parfois les mots cachent des choses… Sémiotique ? Sémantique ? J’écrirai pas comme ça j’y comprend rien et ça me paralyse. Pourtant parfois la grande poésie se nourris de ça. On y perd son latin. Ce que je vous écris là c’est pas un très bon prologue pour les poèmes, je ne nomme que les difficultés. Pourtant je vais essayer…

 Écrire un catalogue

Comme un prologue

Au psychologue

Y’a un bogue

Travelogue

Riches où suffisantes

C’est trop

Elles sont pas amusantes.

Voilà, on est pas chez Baudelaire ni Verlaine ni Rimbaud pas même chez Prévert ni Vian ni… Je peut en faire une liste vous les connaissez la langue française est toute de poésie et de grands poètes. Y’a un devoir que je fait mal avec mon blog, je coupe pas, j’élague pas ça se passe dans ma tête en espérant y donner une vertu brute, crû, modeste. Parfois je me dis que je veut pas me faire rare avant de mourir laisser deux mots sur une serviette de table. Là je réussis a être tout de travers, un travers c’est bien de ça qu’il s’agit. Je crois que j’ai pas la naïveté des bruts de Dubuffet, pourtant c’est ce qu’il y a de plus beau. Mais je vous laisse ça c’est pas à moi de juger. Tout ça c’est une question d’émotions qu’on éprouve à la lecture, rire où sanglots quand c’est heureux ça donne la chair de poule. Voilà! Pour aujourd’hui c’est ça. C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

27/03/2024

lundi 25 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir y’a un soleil resplendissant, je mange trop vite je me suis étouffé. Demain matin je vais chez la gériatre, j’espère qu’elle va me dire de laisser ma canne. Aujourd’hui on a beaucoup « travaillé » à la répétition. Ce soir je suis vanné… Ce que vous lisez c’est toujours mon journal intime, je peut pas dire que c’est d’avant-garde mais l’écriture pour moi ça reste le plus avancé et le plus difficile des arts. On cherche toujours une forme un style dans sa tête, le mot juste… Y’a tout le désir et j’allais écrire le délire poétique, donner une image du sentis. C’est simplet qui vous écris, il aime parce qu’il est incapable de trouver un synonyme d’amour. Et je m’y perd, je m’y perd… Je trouve pas souvent le mot amour dans la prière bien qu’on puisse aimer de façon religieuse… La foi dans l’amour toujours possible malgré tout. Je vous parle pas de la romance mais d’amour composé d’abnégation de résignation… Y’a toujours un moment où on n’y crois plus mais ça reviens l’amour de l’être humain, l’humanité son pire et son meilleurs, sa laideur comme sa beauté. C’est pas facile d’aimer plusieurs croient que c’est bon pour les romans les chansons. L’amour en chanson y’en a des saudites belles touchantes pour les âmes sensibles, l’amour c’est pas toujours dans les concepts affectifs qu’on le trouve. Et je vous parle pas de l’amour gnan gnan des peace and love. Le concept amoureux chacun crois le connaitre le comprendre mais il est très exigeant comme on dis c’est facile d’aimer l’aimable mais l’autre il mérite pas votre amour? Ce soir c’est de la philosophie facile quand même aimez aimez aimez. Malgré l’époque pas facile, guerrière y’auras jamais assez d’amour. L’être humain perfectible est pas capable d’amour infini. Rien n’empêche d’y tendre. J’aurai essayer d’aimer je crois pas avoir réussis pour moi c’est plus facile d’aimer la  terre entière qu’une unique personne. J’ai plus grand-chose à vous dire, je vous embrasse avec amour j’espère que vous êtes heureux heureuses que l’amour ne vous fait pas faux bond. Voilà! Je termine c’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Ça prend de l’amour pour lire ça, merci ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

26/03/2024


dimanche 24 mars 2024

 


Bonsoir ! Bonjour ! Encore un week-end qui se termine. Demain c’est la réunion du groupe Reprendre Pouvoir et en après midi une répétition théâtre. Parfois j’arrive à me détendre ça fait du bien, aujourd’hui le soleil est là… La neige fond, j’aimerais être plus introspectif jeté un regard plus profond sur mon âme trouver les mots pour nommer l’émotion, la sensation, j’ai pas une plume de médecin ni même d’étudiant en lettres. Parfois je cherche des mots tordus mais j’en connais pas, je suis une espèce de sauvage qui pratique l’art modeste. Mardi j’ai rendez vous avec la gériatre j’aimerais bien quelle me dise que j’ai rien de grave. Y’a un bro avec sa douce qui est partis dans les îles, ils vont faire bon voyage. Je pense aussi aux délicieuses photos d’automobiles vintage des snowbirds, le collectionneur aime ça j’en suis certain. Je me donne un peu plus de dix huit mois pour repartir en voyage d’ici là j’espère être en santé. Quand la journée se termine je vais mieux. Je pourrais bien commencer à m’auto-stigmatiser mais ça avance à rien c’est comme des poussées inutiles. J’aimerais aussi avoir une écriture plus franche plus brute moins fignolée bien que … J’ai le mot ornières en tête je suis dedans et j’arrive pas à m’en sortir. Je vire dessour, je sais pas comment on écris ça en français, je survire?  Combien de mots pour écrire la tristesse le sanglot c’est pas dans une station-service qu’on apprend à écrire mais au fond ça sert à quoi, la poésie a pas grand place ici bas. Je creuse, je creuse j’écoute pense à ce prof de cégep au passé difficile, il pouvait pas me sentir disait quand même que j’étais un surdoué. Je passe toujours beaucoup de temps le nez dans les livres. Tout ça c’est une question de désir, j’ai qu’un désir c’est de vous faire plaisir et écrire. Viens de manger un Mae West des familles, je pense à un copain je sais pas ce qu’il est devenus, il est partis j’en parle plus. Dans ma tête ça se bouscule des payolas à Joe Dassin. Voilà !!! C’est la chute !!! La conclusion !!! La finale !!! l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!! So long !!!

25/03/2024


samedi 23 mars 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Il neige c’est samedi j’ai lu que c’étais la bordée des corneilles. Avec mon bro on se rappelait les années soixante quand les automobiles puaient. Je me souviens ça puait tellement que j’avais de la difficulté a monter dans la Rambler du patriarche. J’avais des haut-le-cœur c’étais comme la cigarette aujourd’hui on s’aperçois vite que quelqu’un fume. Le fumeur en est pas conscient. Ça ressemble pas vraiment au printemps. J’ai terminé un roman intitulé le Silence de David Lehane. C’est sur le Boston des années soixante dix les troubles raciaux pendant qu’on essais d’installer ce qui s’appelle le busing. Amené des enfants noirs dans des écoles blanches et l’inverse aussi pour une mixité raciale et économique y’avait eu des émeutes à ce propos. Je peux pas vraiment vous parler des villes américaines, j’en ai vu que quelques une je me souviens du centre-ville de Boston, une belle ville. Je me rappelle pas avoir vu beaucoup de noir, j’étais pas dans leur quartier. Lentement le soleil se couche rose, il va faire beau demain. J’ai hâte que ça bourgeonne que ce sois vert et chaud, ça va venir. Le voisin écoute une émission musicale à la télé moi j’ai regardé une vidéo de je sais pas qui, une bonne chanteuse en quatuor. Je suis triste l’ami est malade, trop pour me parler, il manque d’oxygène, autour de moi les êtres chers s’en vont. La nuit est là, solitaire j’écris pour ne pas pâtir, pour ne pas partir. Quand même je connaitrais un grand succès ce sentiment de solitude resterais présent même avec un compagnon, une compagne le grand vide abyssal resterais là. Je parlais de la journaliste la semaine passée on se disait comment il faut aimer les gens pour faire ce métier là, c’est pas facile. Maman n’est plus là qu’elle veille sur moi, il fait froid, la rue est tranquille comme à mon habitude je pense aux itinérants comment c’est difficile. Quand j’étais plus jeune j’ai beaucoup lu sur le retour à la terre mais j’ai raté le mien. Je suis devenus essentiellement urbain a usé mes chaussures sur les trottoirs. Je savais qu’il y avait des communes urbaines mais celles que j’ai rencontré c’était tous des voleurs à la petite semaine. Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! À la prochaine je l’espère !

24/03/2024

vendredi 22 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Le monde est fou, comment fait on pour garder sa santé mentale ? On parle de prison à la radio je pense à Michel Foucault et son Panopticon, la folie et le pouvoir psychiatrique… Mais j’irai pas là c’est un discours trop compliqué, la prison vaux mieux s’en tenir loin, je sais pas ce qu’est devenus le poète Léo Lévesque. C’étais loin de la poésie de Saint-Denys-Garneau, je regardais un site de poésie sur les réseaux sociaux étonné de ne voir que des jeunes enfants comme si la poésie pouvait pas venir d’adultes majeurs et vaccinés. Depuis le lancement du film On achève bien les rockers on entend plus parler de Lucien Francoeur… Parfois la poésie peux nous bousculer, nous sortir du confort de la lecture patenté, nous choqué souvent ça provoque une réflexion, une recherche de vie maximale pour donner à voir à vivre. Quand on en sort tout à l’envers c’est bon signe parfois une amorce de réponse, un effet miroir pour une tentative de poésie bien à soi face à l’autre, face aux autres. La poésie ils y mettent leurs vies loin des châteaux en Espagne plus près de la taverne et des mauvaises salles où on s’endort pour se réveiller dans un hangover et chercher les mots de l’apocalypse. Pourtant plusieurs sont bien à l’abri dans leurs recherches universitaire rentrent le soir sacs en main en négligeant la vie optant pour de la littérature périmée. On ne me vois plus dans les cafés, j’ai tout donné, j’ai trop donné j’en suis à l’agonie scripté… Je les entend plus les poètes j’y vais avec un grand manque d’humilité et la peur de disparaitre du vivant, je ne reviendrai pas longtemps. Et on confond pornographie et poésie, pédérastie et littératie. Les enfants on les oublie pour pratiquer des jeux d’adultes tenaillés. Je lirai, j’écrirai seul jusqu’à ce que je meure c’est le prix a payer… J’arracherai encore des mots du levant au couchant avec pour enseigne la ville, la chambre des mourants. Ce soir c’est ce que je vous donne une sorte de désespoir à écrire le voisin qui se saoule et qui se cogne sur les murs. C’est le concret. Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine !

23/03/2024


jeudi 21 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir je suis face à moi-même à mes démons, l’angoisse, la peur, la paranoïa. On me laisse voyager faire le tour du monde mais au bout d’un moment ils sont bien là, quand je reviens chez moi, mais est-ce bien chez moi quand je suis envahis par je ne sais qui déplaçant mes babioles au quotidien, la torture c’est bien ça, les inconnus, l’effroi. Dites moi dites moi qu’ais-je fait je ne suis qu’un homme, je me suis battu mais j’ai tué personne c’étais moi qui étais presque mort. Je sais, je sais j’ai droit au soleil, au chauffage, au repas, parfois je prendrais le bord de la rue sans compter mes pas, je filerais, je filerais jusqu’au trépas pour chasser ce mal sournois. J’ai troqué le métro, boulot, dodo pour la folie endiablé, le mal incarné. Parfois je crois être déjà mort, je pleure un peu en retard, j’en ai parfois assez de ce je… Parfois ma vie c’est un cauchemar peuplé d’agents secret invisibles, de policiers en civil qui nourrissent ce que eux appellent schizophrénie et que moi je nomme rétablis. J’étais et je reste ignorant j’ai voulus me faire aimer en gobant toute sortes de substances voilà le résultat désemparé dans le désarroi. Pourtant parfois je suis presqu’heureux mais ça dure pas. Voilà que la technique se met de la partie le voyant lumineux de ma souris se met a clignoter pour moi c’est quelqu’un en ligne qui fait ça. Depuis ma visite de la prison à San Francisco, Alcatraz je crois, et mon court passage à Bordeaux je sais bien que je suis dans le confort, rien n’empêche que je me fait des scénarios de persécutés de victimes j’aime pas ça. J’ai toujours mon passeport je peux voyager de tout bord tout côté. Je reste chez moi, je respire par le nez et j’essais de méditer. Parfois dans le frigo y’a plus de bouffe que je pensais, un problème de riches j’ai assez manqué de nourriture pas d’argent et rien a manger c’est long longtemps et toute l’humiliation a aller chercher de la bouffe dans une banque alimentaire heureusement pour moi c’est plus comme ça. Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

22/03/2024


mercredi 20 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Lentement l’espèce de malaise que j’avais disparait. Je veux pas trop vous en parler au cas où je serais malchanceux. Ce soir je me suis fait un bon souper c’est bon signe, beaucoup de légumes.  Ça ressemble au printemps la neige a fondue. Je vois un camion de bières je pense à cet alcoolique maintenant décédé qui rêvait d’un camion de bières à sa porte, le genre de bonhomme qui aurais fait n’importe quoi pour boire. Moi je suis bien content de m’être débarrassé de cette addiction. Un jour à la fois, bientôt le mois d’avril comme on dis y’en a qui ont la langue longue. Je sais pas si les petites nièces et les petits neveux rêvent de Lapin en chocolat et de coco de Pâques? Encore une fois on a eu des enfances privilégiées on avait toujours du chocolat le dimanche de Pâques, rien pour garder des dents saines, je pense aux œufs en sucre et aux jujubes. L’ami viens de me téléphoner on a parlé du sud de la France, de Marseille où il a vécu quatre ans, c’est encore permis de rêver… Malgré les guerres faut vivre au quotidien. Le sentiment comment le vivre aujourd’hui, comment ne pas se sentir coupable parce que tout ce qu’on a c’est l’ordinaire du quotidien. Il faut vivre! Moi je sais pas, j’ai décidé de vivre et d’écrire. Je me rappelle on avait demandé au patriarche de nous écrire une autobiographie il l’a jamais fait… On aimait bien le chocolat « chunky » les lapins plus petits mais pleins. Parfois on avait de vrais poussins que la matriarche gardait pour en faire des poulets, on les mangeait, le poulet du dimanche c’était ça. Y’avait aussi tout ce cinéma Pascal, les Dix Commandements, La passion et biens d’autres. Je pense aussi au chocolat des levées de fond pour une bonne cause que les jeunes vendaient. Un chien des chats, des lapins, des poules une vraie ménagerie de banlieue isolée. Je vous ai beaucoup parlé du potager, du cabanon et des arbres sur le terrain, rarement les petits gars jouaient là on préférais, les champs, la rue, les parcs. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!!

21/03/2024

 

 

 


mardi 19 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai fait quelque chose de très intéressant aujourd’hui. J’ai essayé de donner mon avis sur un questionnaire de recherche pour les équipes de santé mentale. J’ai toujours quelque chose à faire, je m’ennuis pas. Le ciel veux s’éclaircir… Fin mai encore une fois si tout va bien je devrais assister au Colloque de l’Association Québécoise de Réhabilitation Psychosociale à Lévis on va faire une présentation sur le rétablissement. Bon je vais me diriger vers mon sentis comme toujours je cherche les bons mots, c’est pas simple, parfois je pense à mon enfance qui étais pas si malheureuse.  J’avais un défaut à part les bandes dessinées je partageais pas beaucoup avec mes frères. Je les amenais jamais avec moi parce que là où j’allais c’étais pas bon pour eux. Les années ont passées ils ont tous fait leurs vies différentes de la mienne je crois qu’ils sont heureux. La semaine passée pour un balado on m’a demandé si aujourd’hui j’étais heureux j’ai répondu oui, mes cheveux gris en sont la preuve. C’est long ce parcours pour un petit bonheur. J’essais toujours d’arrêter ce fouillis dans ma tête même si j’ai appris a vivre avec l’idée c’est de l’orienter vers le positif. C’est toujours mon journal que vous lisez, physiquement je suis pas tellement en forme ce matin j’ai été incapable de marcher, je suis revenus me suis couché et j’ai dormis. Je sais pas si c’est possible, la matriarche me dirais ça, je crois avoir entendus un vol d’outardes, c’est un peu trop de bonne heure. Mon retraité de la Rolls Royce saurait aussi me dire. Je pense encore au voyage de bons souvenir, j’ai bien aimé boulevard Raspail et Montparnasse à Paris, les bistros célèbres du début du vingtième siècles et leurs clientèles de génies. Si j’ai toujours la santé je vais y retourner. L’ami viens de téléphoner on a eu une bonne conversation terminée en parlant des sherpas. Lentement la journée se termine je pense à mon bro collectionneur de voitures, je sais pas si il va faire une autre acquisition. Y’a aussi le chauffeur d’autobus de la couronne nord et les snowbirds. Je sais pas si ils me lisent mais je les remercie tous au cas où. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! À la prochaine !

20/03/2024


lundi 18 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Répétition aujourd’hui, j’avais perdus la voix, j’y étais quand même. Je vous raconte pas tout je vous garde des surprises si vous venez nous voir fin mai. On est encore privilégié on va se produire au Théâtre du Nouveau Monde si les choses vont bien on va jouer un de mes textes. Ce soir je suis arrivé chez moi en pensant encore avoir un message de la regretté matriarche, mais non y’en avait pas. Ça me manque… Pluie, temps gris, j’ai pris deux paires de lunettes pour regarder l’éclipse. Le temps passe trop vite, je voudrais reculer, revenir en arrière l’évidence même c’est impossible. Ce matin dans le courrier un de mes livres, défectueux que j’avais envoyé par mégarde aux archives nationale. Je l’avais remplacé par un autre, tout est o.k. de ce côté-là. Ce soir j’ai vue une très jolie femme dans le métro, juste un regard comme y’en a pas souvent, je regrette de ne pas lui avoir parlé mais les choses vont si vite. Une rencontre qui n’a pas eu lieu. Comme souvent je suis à bout des mots. Maman ne lisait pas pourtant quelques semaines avant de partir elle m’avait demandé un livre que je lui ai posté. Vous voyez ma vie autour de la littérature, du jeu théâtral, des formations santé mentale, je n’aurai laissé que ça. Je pense à toutes mes mauvaises habitudes que je ne veux pas retrouver. Toutes ces années gâchées et encore ma rengaine d’homme seul, de célibataire sans compagnie… La nuit est tombée, j’aurai tant cherché à remplir ce vide, ce malaise j’y suis jamais arrivé y’a que la douleur et ces jours ci le deuil, cette écriture que je voudrais intense n’arrive qu’a se rapprocher de la démence dans ce gouffre immense. Souvenir de la gare d’autobus à Porto y’avait beaucoup de monde, des motards qui se ravitaillaient, des touristes de toutes les langues et de tous les âges j’ai hâte de repartir… Je sais pas où mais je partirai encore. Tout à coup ça sent la réglisse où le Pernod comme sur une terrasse du Midi de la France, je crois que c’est là que j’irai. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère ! Bye ! Ciao !

19/03/2024


dimanche 17 mars 2024


 

Bonjour ! Bonsoir ! Averses en cette fin d’après-midi de dimanche. Rêve , sur un bateau à quai avec deux camarades j’avais peur de tomber à l’eau, les deux amis y étaient avec du cordage tout à coup j’essayais de planter un clou sur la rampe d’une clôture du quai, le clou est tombé dans la neige je voulais pas sauter je me suis réveillé. Je me souviens de mes rêves mais je suis incapable de les analyser, je connais pas assez les symboles c’est certain que l’eau ça représente la sexualité mais au-delà de ça ? Quand je rêve comme ça je vie beaucoup d’angoisse, je suis toujours content de me réveiller. Le ciel est bleu et ensoleillé demain déjà lundi ça passe tellement vite malgré tout. Ce matin j’ai marché trois quart d’heure ça m’a fait beaucoup de bien. Aujourd’hui c’est la Saint-Patrick le temps de manger du Irish stew et de boire de la bière verte comme le trèfle à quatre feuilles qui porte chance. Oui! Tout est vert c’est l’espoir comment on appelle les lutins ? Des leprechauns ! Surveillez les arc-en-ciel il pourrait vous rendre riche de pièces d’or. Je pense aux chiens de race tout à coup les Irish Setter qui sont tellement magnifiques. Dans mon séjour à la petite Bourgogne j’ai rencontré des Irlandais qui étaient pas piqué des vers si on peux dire, des caractères, des personnages. Y’a aussi les renommés Fighting Irish l’équipe de football du collège Notre-Dame en Indiana aux États-Unis- d’Amérique. Comme vous voyez la culture nord-américaine évoque souvent l’Irlande à  Montréal y’a la basilique Saint-Patrick une paroisse anglophone. Je pense que je vous baigne dans le vert je sais pas si y’en a qui vont mettre du colorant vert dans leurs bains. Je me souviens de l’ancien bar salon de la gare centrale et du bar dans le train qui servaient des verres de bière colorée verte. On parleras pas de la parade, je peux dire que la chanson Me and Bobby McGee est irish, je pense que les Irlandais quand ils sont arrivés au pays ont été mis en quarantaine à la Grosse île ils fuyaient la grande famine et se sont vite intégré car ils étaient catholique. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir ! À bientôt ! À la prochaine !

18/03/2024

samedi 16 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Aujourd’hui je suis heureux j’ai recommencé à marcher. Je crois que ça va aller un peu plus chaque jour et ça devrais faire. Le temps est doux, j’ai fait une razzia chez Dollarama, y’a pas beaucoup de poésie dans le pays de Confucius et de Mao Ze Dong.  J’écoute ce que dis mon âme. Souvenir d’avoir acheté le petit livre rouge de Mao en français au pavillon de la Chine à Terre Des Hommes. J’étais un habitant qui débarque en ville. Je me souviens pas si Warhol avait commencé ses sérigraphies du grand timonier.  Tiens, un poème…

Acharné mal achevé

Les blés les blés

De l’autre

Échoué

Dans les mots

D’une triste dérive

Sonné au tocsin

Du tocson

Ami brûlons

 Ça donne ça aujourd’hui samedi, je rêve encore de partir, j’attend. La poésie c’est pas un filon d’or ça ressemble plus à de l’étain qui soude. J’ai souper frites et croquettes de poulet. À la télé on nous montre l’architecture de l’immeuble du parti Communiste Français par Niemeyer. Les courbes, les courbes d’un édifice comme celles d’une femme ça en dis un peu plus sur les constructivistes. Lentement la journée passe, le ciel est couvert. Bientôt ce seras le vrai printemps. Mon lecteur retraité de la Rolls Royce pourrait peut-être nous faire un commentaire sur les moteurs des Boeings qui sont de Pratt & Whitney je crois. Je commence a avoir peur de prendre l’avion la prochaine fois je m’informerai. Si jamais vous avez un projet de voyage et que vous cherchez de la compagnie écrivez moi je pourrais partir avec vous. J’ai toujours la romance du vieux Montmartre dans la tête maintenant… J’aime bien les photos de la piscine au camping des snowbirds. Je trouve ça étrange de voir des jeunes filles filiformes faire du jogging. Semble que j’ai un point commun avec le peintre Maurice Utrillo il était alcoolique comme moi à une exception près je ne bois plus. Ça vaux bien des médailles. Mais oui encore aujourd’hui j’ai pas bu. Ce soir dehors c’est d’un aspect gris et triste. Je crois que j’en ai assez dis pour ce soir, gênez vous pas pour faire vos commentaires. Voilà! C’est la chute ! La conclusion ! L’épilogue ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère ! Ciao ! Bye !

17/03/2024


vendredi 15 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Il fait un temps superbe, ce matin je suis allé au supermarché. J’ai marché plus longtemps qu’à l’habitude. Ce soir les muses dorment, seul sans elles c’est difficile. J’ai quand même passé une belle journée, de bons moments. Je pense toujours partir mais encore dans un an. C’est le week-end qui commence, faut dire que la journée a bien commencé avec un court échange d’un monsieur au marché, il était sympathique. Parfois y’a des moments de bonheur comme ça, c’est de l’humanité agréable. Je remercie mes snowbirds de prendre le temps de communiquer avec moi, y’a rien d’urgent, j’ai bien aimé le messenger de mon bôf ce matin. En vieillissant je fatigue plus vite pourtant… Y’a plus de neige, les cyclistes sont heureux quand je parle de vélo je pense à l’ancien chroniqueur de La Presse, Pierre Foglia il nous écrivait souvent sur ses balades à Frelishburgh, un village où j’ai travaillé, pas longtemps, dans un verger, je sais pas ce qui est le plus difficile monté une échelle pour cueillir où monté une pente des Cantons de l’Est  à vélo. L’ami praticien à la retraite pourrait répondre à ça. Je crois qu’il a rangé ses skis et sortie son vélo pour les temps printanier, son mulet. C’est encourageant on dirais qu’on s’en va du bon bord des choses pour citer l’écrivain. Comme toujours quand il fait beau je pense aux bistros et aux terrasses de Paris, toujours agréable de se faire chauffer les os au soleil. Dans le goulag centre-sud y’a pas de terrasse et le quartier latin est plus très fréquentable si il l’a jamais été. Je pense qu’il y a déjà des bars qui restent ouvert jusqu’à huit heure du matin en vrai fou je pense que c’est une façon de régler les problèmes de ceux qui ont pas d’endroit où loger. Le paradis des alcooliques actifs. Je pense à David Goudreault, je sais pas si son dernier show a été un succès ? Je viens de tomber dans une rage de sucre, j’ai mangé une pointe de tarte au sucre et au sirop d’érable. C’est un vendredi soir que j’osais pas imaginer, tranquille chez moi. Voilà! Je termine ! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

16/03/2024


jeudi 14 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Quand je regarde ça une fois rentré chez moi je suis entouré de gens extraordinaire qui font face avec  ténacité à des défis de santé mentale. Que ce soit des pairs aidants des patients partenaires, ils relèvent avec bonheur les maux et se rétablissent sans oublier cette dame de la radio qui produit un balado sur la santé mentale, une grande dame qui a su nous faire communiquer avec des mots simples ce qu’est le rétablissement. Du beau monde je vous dis qui se soucie de ses semblables. J’ai eu beaucoup de plaisir a participer à cette activités. Moi j’ai raconté quelques anecdotes à ma mesure, ils ont bien ri  mais y’en a tant a dire sur la santé mentale, la gang aurait pu parler deux jours. Je vous raconte pas leurs histoires ce serait pas délicat les expériences sont passablement similaire mais vécu autrement parfois un manque de communication avec les soignants. J’ai pas tout compris j’ai jamais été très cartésien avec la psychose la maladie. Mes psychoses me plongeait dans le désespoir et je voulait en finir, aujourd’hui j’étais accompagné du courage de mes semblable, j’ai rechargé mes batteries et je suis prêt à encore avancer dans ce monde perfectible de la santé mentale. Parfois je doute pourtant la folie est toujours là, en ce moment j’ai de la difficulté a marcher j’espère que ça va guérir. Je sais c’est pas mental mais ça joue sur mon moral. De loin vue comme ça ce sont des êtres à part d’une grande sensibilité. Je crois que ce seras une bonne émission, souvenir des longues attentes à l’urgence psychiatrique, j’avais mal très mal je m’auto-stigmatisais me sabotais. Je sens le voyage de ma vie qui se termine, il est un peu tôt… Enfin c’est pas pour ce soir. Au début du vingtième siècles on parlais d’hystérie aussi pour les hommes. Ce soir j’ai la sensibilité à fleur de peau, j’ai vraiment peur d’être très malade, j’ai de plus en plus de difficulté à marcher, chez moi ça va mais dehors c’est l’enfer. À la télé Montmartre et ses peintres du début du siècle vais-je pouvoir y retourner. Voilà ! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère ! Ciao ! Bye !

15/03/2024

 


mercredi 13 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je suis nerveux j’ai une grosse journée qui s’annonce demain. Je crois que ça va être intéressant. La neige est fondue, le soleil se couche, je crois que les nuages arrivent, ce que j’écris là ça ressemble à une nature morte. Je viens d’écrire quelque chose avec deux fois aime dans la même phrase ça fait un peu trop d’amour je crois. Je suis un pauvre fou qui s’imagine, oui je m’imagine parce que j’ai de la difficulté avec la réalité je suis imaginatif comme ils étaient impressionnistes. Je suis pas beat le rythme syncopée j’arrive plus à le retrouver. Je me laisse imprégner par les réseaux sociaux, on est à l’époque des vidéos j’en suis encore au clavier et au stylo. Pourtant ne serais je que ça, un type qui imagine, les choses laides comme la persécution et les belles choses comme la création, s’agit de mettre en œuvre. La beauté c’est toujours plus difficiles à écrire que la laideur, si vous trouvez ça laid ce que j’écris vous allez passer votre chemin sans plus si je suis chanceux y’auras une controverse et ça prendras des proportions, sinon laid tout simplement laid sans plus. Je pense aux Illusions perdues de Balzac. Je vais essayer avec ma pauvre « culture » de vous décrire la beauté d’une œuvre de l’Ami Édouard Lachapelle, un triptyque qui montre sa maitrise des couleurs dans une sorte de brouillard aux rochers de bord de mer. La forme du triptyque fait pensée, évoque je dirais les retables, la première fois que j’ai vu l’œuvre j’y ai vu une forme de cubisme l’ami ne m’a pas contredis. Y’a une douceur dans cet espèce de clair obscur. Vous pourrez voir l’artiste et d’autre œuvres de sa main, demain dans un vernissage à la Galerie L’ONYX au 6400 boul. Monk à compter de dix sept heures. Édouard tes tableaux sont si beaux ils n’ont pas besoin de ma plume j’espère que tu me pardonneras. Sur une autre note plus surréaliste aujourd’hui on commémorais la mort de Jean-Paul Riopelle, je vous fait à tous mes excuses parfois mon clavier ne sait pas se taire. Voilà !!! C’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Je termine !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!  Bye !!! Ciao !!!

14/03/2024


mardi 12 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! J’ai pas toujours été paranoïaque parfois j’avais raison d’avoir peur. Ce soir je me sens un peu comme ça c’est peut être le stigma je sais pas. Je me suis préparé un bon souper, jeudi toute la journée on travaille sur le balado. En fait c’est un enregistrement. Je vais raconter mes combats et mes défaites avec la maladie mentale. Tout ce temps pour comprendre qu’il y a des milieux qui étaient pas pour moi. Sur Facebook y’a des photos de joueurs des Expos, le baseball, ça me rappelle le charmant stade Jarry c’était presque une famille dans le champ gauche. Le patriarche aurait bien aimé que je joue mais j’étais très malhabile. Je vous écris ça et ça me fait mal je pense aux copains. Quand je souffre mentalement c’est douloureux, difficile aussi, j’accroche sur le malheur. Parfois le chemin est plus long et d’autre fois c’est une impasse a se cogner la tête sur les murs. J’étais et je suis encore celui qui cherche le coup de circuit mais qu’on retire sur trois prises. Encore ce soir le soleil est magnifique, dans le parc la neige a fondue. Je sais plus trop ce que ça veux dire être à gauche, je suis vieux et pauvre. À la télé le peintre italien Vasari de la renaissance je crois, mêlez vous pas c’est ses peintures. J’ai de la peine, les gens attendent l’autobus je crois qu’ils sont là pour me surveiller. Je trouve pas, je trouve plus dans ma tête c’est plus calme. J’ai toujours hâte à la prochaine fois où je prendrai l’avion. Ce soir j’avais peur de deux vieilles personnes qui ont de la difficulté a marcher le soleil se couche dans des teintes de rose d’orange et de bleu c’est beau. La nuit approche, les lampadaires s’allument c’est la vie dans une ville du nord à l’heure avancée. Parfois je commente sur Facebook mais je manque de délicatesse, je m’arrache au vent schizzzzz , mon malheur. J’y suis presque. Presque à la fin, je vous aurai raconté encore ce soir malgré que mon nom ce soit pas Fred Pellerin il est unique et moi j’aime pas beaucoup faire comme les autres. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine je l’espère !

13/03/2024


lundi 11 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Pour me changer les idées j’écoute Radio France Internationale. Cet après-midi le soleil est là…  Je vois des publicités de la Mini-Cooper heureusement j’ai pas besoin de voitures. Je suis aussi un peu tanné d’entendre Guy A. Lepage traité les gens de Taouins. Portrait des travailleurs du Bengla Desh  de très dures conditions de travail. Ils défont nos bateaux. Je vous ferai pas le reportage en différé.  Je pense que pour être plus écologique je vais jeter l’argent de l’achat du papier cul directement dans les toilettes, quand je tombe dans la scatologie ça va pas bien. Je suis brisé, raté, miné j’ai fermé la radio, cet après-midi j’ai eu une réunion de production pour un balado. J’ai pas trouvé autre chose a me dire que, je vais faire de mon mieux, plus que ça je suis incapable. Aujourd’hui c’est difficile d’écrire j’y met toute mon âme ça semble pas suffisant… C’est toujours cet espèce de journal j’essais d’écrire avec le moins de ressentiment possible. Le bruit c’est de la vie mais ça peux aussi être la psychose, se sentir comme une saleté la folie pieds et poings liés. J’écris et je pense à mes années de dérive au bistro, eux je crois qu’ils en ont rien à foutre de moi. Ce serait plutôt à moi de m’excuser, de faire amende honorable. Je vous l’avoue dans le rétablissement y’a des journées qui sont pas faciles même après des années. Je persévère quand même que Dieu me garde… Je sent que j’étire la sauce c’est pas un bouillon, j’en suis quand même revenus de la bière faudrait pas y retourner. Ce que je vous écris c’est sans queue ni tête ça a pas de bon sens si bon sens il y a . Le soleil resplendit, je suis un gars de l’est du goulag. Concert de klaxon on rentre chez soi ça presse ! Le mieux c’est de rester sobre ça va m’éviter une débâcle sois au poste de police sois à l’hôpital où peut être même les deux. Avant j’adoptais un endroit pour boire maintenant ça m’intéresse plus je n’y vais plus. Une barmaid honnête m’a déjà dit que c’étais pas un endroit pour jaser. Je suis partis et j’ai pas bu. Voilà! C’est la chute ! L’épilogue ! La finale ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir! À la prochaine j’espère !

12/03/2024


dimanche 10 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! De la neige aujourd’hui, je sais plus quoi vous raconter mes propos fondent comme la neige. Je sais pas si les grandes affiches de cinéma sont encore à la mode j’en avais une de l’excellent film Taxi driver, je l’aimais bien ça décorais un corridor que j’avais à l’époque. Je lis toujours beaucoup mais dans mes lectures y’avait rien de marquant, rien de touchant comme si les livres s’étaient désincarnés aussitôt la dernière page tournée. Pourtant faut se laisser toucher et même bouleversée. Mes lectures me font toujours remettre en question ce que j’écris… Je cherche l’émotion. La façon, la forme, le style j’y arrive pas juste faire un trait sur tout ça. Y’a un bon parfum chez moi , il est un peu tard pour faire œuvre utile. Cet après midi j’ai parlé à mon bro qui s’est occupé des enfants pendant la semaine de relâche. Maintenant quand j’écris ma phase tripes sur la table est finie. N’en reste pas moins que je suis triste, que le temps est triste oublions l’ivresse ça servirait qu’à me détruire… Le goulag centre-sud sous la neige du printemps c’est pas très réjouissant. Encore ce matin au guichet bancaire y’avait tout l’attirail du parfait toxicomane… Je cherche ce que ce journal pourrait vous raconter, y’a toujours un vrai écrivain, publié, édité pour nous la faire sur le narcissisme des réseaux sociaux sans parler des mises en garde pourtant la machine existe comme j’écris souvent faudrait pas s’en servir. Je compare ça aux automobiles y’a des accidents faudrait interdire la conduite automobile ?  C’est pas un miroir que j’ai devant moi n’y apparait que ce que je veux. Je fait chauffer mon souper c’est pas de la grande littérature c’est même ridicule mais je peux pas être plus près de moi. Ouais! Je suis à bout, les mots se referment sur moi me laissent muet, peux dire ? L’autre parle toujours plus, un interlocuteur pour raconter mon vide c’est bien inutile. C’est que de la copie pour gratte papier.  Les voix se calment mais j’articule pas de discours, voilà j’ai souper. J’ai hâte à demain pour le briefing, la préproduction. Quelques mots encore je termine, merci d’être encore là. Voilà! C’est la chute !!! La finale !!! L’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

11/03/2024

 


samedi 9 mars 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir il pleut, la télé est sur un atelier de dessin. Ce soir on passe à l’heure avancée, parfois on me rappelle les créditistes de Réal Caouette… Une voiture klaxonne je sais pas trop pourquoi. Finalement ce matin j’ai regardé The Deer Hunter, Voyage au bout de l’enfer j’avais pas besoin de la traduction c’est tellement un film d’atmosphère, une époque douloureuse et triste. Je réfléchis à ce que ça donne transposé aujourd’hui je pense à Donald Trump et à son Makes America Great Again. J’y crois pas y’a encore trop de vétérans mutilés de guerre. Souvenirs d’un passage aux U.S.A. une dame avec un enfant parce qu’elle m’avait vus sur les réseaux sociaux voulait m’envoyer combattre à l’époque je crois que c’était en Afghanistan.  Les États-Unis ne seront jamais pareils à ce qu’ils étaient surtout pas avec Trump. Ils sont fort avec leur pour Dieu et le pays et je parle pas des fusillades à répétition partout. La National Rifles Association est selon moi responsable de tant de morts. Je souhaite que mes snowbirds ais pas de problèmes de cette sorte. Maintenant y’a un regard critique sur ce pays mais déjà c’est trop simple ça redeviendras jamais ce que c’était avant, le temps a fait son œuvre. Je vais pas plus loin dans ce sens là le monde est différent. Je suis pas américain et je les comprends pas. Ce soir je cherche la paix en vous écrivant, le calme aussi… Ils va s’en trouver pour me traiter de jaune. Je suis quand même heureux d’être de leurs voisins et libre ça me permet d’écrire d’être un « artiste ». Comprendre là est le défi, réussir a s’exprimer sobrement et clairement. Quand même le doute est et seras toujours là. Je suis plus avec les sociaux-constructivistes. Comment vous dire les tabous américains, les banlieues dévastées, la violence et l’armée dans le métro de New-York. Je suis chez moi et j’envois ça c’était contemporain c’est devenu de l’artisanat. L’outil est le message pour paraphraser Warhol, je tricote pas pourtant et comme heureusement y’a plus de faiseuses d’anges, on se reproduit en mots. Je me suis laissé aller, voilà !!! C’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Bye !!!

10/03/2024

vendredi 8 mars 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Semble que l’activité vas avoir lieu, on a une rencontre préparatoire lundi. Aujourd’hui je me suis régalé de télévision, je suis un peu plus détendu je serai superficiel comme on dis.  Cette nuit il va pleuvoir et peut-être un peu de neige pour dimanche. Je sais pas si mon lecteur secret est toujours là, si oui je le salut… Aujourd’hui la femme de ménage est passée ça fait toujours du bien ça sent le propre. Je remarque que la télé sur demande est très populaire je crois, que si on peut dire, ça requinque le cinéma. Ça fait longtemps que je suis pas allé dans une vrai salle. Quand je regarde une série j’essais d’avoir en tête que ç’est écris. Je trouve ça intéressant l’art des dialogues. Je pense au regretté patriarche qui regardais pas beaucoup la télévision et allait pas souvent au cinéma, il préférais la pêche et le plein air. Demain je vais regarder La Grande Librairie pour me trouver de prochaines lectures. Quoi que j’en ai noté quelques une. Hier j’ai essayé de trouver une version de The Deer Hunter en français, y’en a une en anglais mais il faut payer. Je voulais revoir la magistrale scène de noce comme on en fait plus… Au début chez les mineurs polonais. Le constat du film c’est que la guerre c’est pas la chasse, ça fait des dégâts psychologiques jusqu’à jouer sa tête à la roulette russe. Malgré des scènes d’une grande dureté je me souviens d’une certaine sensibilité entre vétérans du Vietnam. C’est un grand film à propos de ce conflit. Je sais pas si y’a des cinéastes qui vont s’intéresser à l’Ukraine, la guerre en Europe on aurais pas cru ça et l’autre dans la Bande de Gaza quand vont-ils mettre fin à tout ça? La semaine prochaine je vais travailler avec de nouvelles personnes, au fond ce que je fait c’est un peu du travail à la pige. Tout à coup je pense à ces années de cinéma de répertoire pour quatre vingt dix neuf cents on pouvais voir trois long métrage à l’Autre Cinéma en matinée. C’était l’idéal pour des pauvres jeunes hommes perdus comme moi. Voilà ça se termine comme ça !!! C’est la chute !!! La finale !!! l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine !!!

09/03/2024

jeudi 7 mars 2024


 

Bonjour ! Bonsoir ! Je vais essayer de me raplomber, il fait un temps superbe, moi l’hiver et la neige me manquent pas. On m’a programmé une activité pour la semaine prochaine je crois que ça va être intéressant. Je vous en dirai plus d’ici là. J’aime bien le bleu du ciel pas de nuages. J’en connais qui vont partir à la recherche d’une terrasse où se faire chauffer la face. Prochaine répétition lundi prochain, c’est de l’ouvrage Cet après midi j’ai préparé des pâtes des rotinis j’ai fait une sauce de mon crû un oignons tranché fin, une gousse d’ail, une demie livre de viande hachées, une grosse boîte de tomates en cube, une boîte de pâte tomate, du jus de légumes au goût, des herbes de Provences. On grille la viande avec l’oignon et l’ail on mélange le tout avec la sauce les tomates et le jus on rajoute les pâtes et quand on est prêt a manger on soupoudre de parmesan. C’est pas de la grande cuisine mais ça se laisse manger. Je pense que je vous avais parlé de ma douleur dans le dos c’est disparu, tant mieux ! Comme dessert je suis de saison je mange des biscuits feuilles d’érables. Je pense à mon neveu Tiger Nain qui est un pro de la restauration  à la Confrérie le restaurant à Terrebonne, ils font de la maudite bonne cuisine. Malgré tout les journées passent vite… Les gens rentrent à la maison, quand on vie dans le goulag centre-sud on a pas a faire ça, les embouteillages de voitures. J’avais un ami qui quand ça allait pas disait avoir un coup de barre, en ce moment c’est ce qui m’arrive je constate que les jours passent et je vieillis c’est affolant pour pas dire épeurant. J’ai comme un passage a vide. Ce soir les taverniers vont faire bombance de la bière avant de rentrer finalement ça dure une éternité et tu dépense ta paye sans avoir rien acheter a manger, toujours la même maudite vieille histoire. Maintenant je préfère rester chez moi, tranquille, je ne bois pas… De toute façon la bière j’aime pas ça. Je sais pas comment terminer ce soir, quelques mots encore. C’est tout, voilà !!! C’est la chute, la conclusion, l’épilogue !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine j’espère !!!

08/03/2024

mercredi 6 mars 2024

 

 Ce soir je suis fatigué de tout ce babillage et j’en rajoute avec ces mots. Y’a rien a faire je m’ennuis de ma mère, j’ai mal à l’âme c’est pas la question de vous le dire y’en a trop de mots j’en retiens qu’un seul c’est douleur. Je me perd dans l’insondable malaise. Je me pèterais la tête dans le mur de briques. La mort est grise ce n’est que ça. Comment entendre ma bêtise, perdu et sot… dans la ville sale avec son troupeau.

 

La mort l’a gardé et moi je suis resté sans avoir le courage de pleurer ni de délirer. Dans mon humble meublé je regarde les passants sans réalisé que le temps m’est compté. Au bout des années je retournerai pas à ma jeunesse oublié. Quel malheur ces soucis cet ennuis je devrais dire merci je suis encore en vie, et puis vous allez dire la mort a pas d’oublie. J’écris j’écris faute de dire… Dehors c’est la pluie.

 

Pas que triste mais déglingué c’est qu’un passage avant de la retrouver.  J’irai au néant et elle n’y seras pas. Pourtant je ne reviendrai pas. Le tue monde seras passé par là. Passage mais passage obligé pour tout les tristes sires. On en reviens pas marchant courbé sous ce poids mortifère et la voix me dis tu iras toi aussi dans les ténèbres de l’oublie.  Pourtant je ne marche plus suis perdu partout.

 

L’épitaphe ne dis pas tout, je l’aurai écris dans ma cage en allant jusqu’au bout, peux de larme mais pas saoul. La fin sans charme d’un perdus pour tout. Sans alarme sans dégoût un épigramme de voyou. La rejoindre je ne sais où dans un autre univers autant dire partout. Je vous trahirai et vous cracherai sur ma tombe près de la sienne. Je n’aurai plus de peine. Pourtant la mère elle était pas vilaine.

 

Le cœur en panne je cherche pas de chicane sans foi sans loi je pense à elle à toi. Tout ça c’est l’agonie des jours vides. Je ne t’attend plus, je partirai au sort j’irai tout près du port des âmes décédées.  Laissez laissé la flamme s’allumer avec les cendres vous me ressusciterez et je la rejoindrai dans ce monde inconnus qui est maintenant le sien. Et si terminer fait que je ne vous blesse pas voilà !!! Voilà !!! Je dis advienne que pourras !!!

07/03/2024

 


mardi 5 mars 2024


 

Bonjour ! Bonsoir ! Aujourd’hui je suis triste, je sais pas trop quoi vous raconter.  À la fin du mois je rencontre l’Interniste Gériatre, j’ai peur d’être malade et de mourir pourtant j’ai pas mal j’ai plus mal. Souhaitons que ce sois pas grave, la gériatre m’avait parlé d’un nerf coincé. Y’a une amie qui a plus de soixante dix ans qui dis qu’en vieillissant les bobos sortent. En ce moment je vous écris et je me sent très bien. Ici il fait dix degrés, c’est fou plus que moi. J’aime ça quand vous commentez et partagez sur facebook je me sent moins seul. La prochaine formation c’est début avril toujours sur la stigmatisation. Je pense aux Dingodossiers de Gotlib dans Pilote. J’aimerais que mes petites chroniques ressemblent à ça mais j’ai pas le sens de l’humour, je connais juste les jokes de Lucien Boyer, Ding et Dong pour moi c’était tellement absurde comme la pièce les voisins et la Petite vie d’ailleurs, je riais mais d’un rire désespéré j’en pleurais. Je connais juste aussi l’humour bête et méchant des gars chauds des jokes scatologique pour la plupart. La dernière fois que j’ai eu un bon rire franc c’est y’a longtemps à la fête du patriarche chez le bro, mon beauf m’avait fait rire à mourir je me souviens plus ce qu’il avait raconté, je pense qu’il lavait la vaisselle et je l’essuyait on les rates jamais les chroniques ménagères. J’ai remarqué qu’il y avait des artistes désespérés qui veulent faire de l’argent sur les réseaux sociaux, attelez vous ! Vous avez besoin d’une bonne plateforme, les droits d’auteurs si vous lisez ce texte vous devez vous en foutre vaux mieux que je vende mon numéro de téléphone mon nom et mon adresse mais franchement la machine a déjà tout ça. Ce qui m’irrite le plus c’est payer pour rire, on s’entend les gens paient pour vrai et parfois ils ne rient pas, c’est cher. On peux rire juste pour rire a fait une vrai faillite. Moi j’ai faillis pas vous le dire et encore… Ce soir on attend de la pluie. Mardi se termine, les gens sont tranquille pour retourner à la maison y’a moins ce circulation. Voilà ! Je termine c’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine !!!

06/03/2024

lundi 4 mars 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Grosse répétition théâtrale aujourd’hui, on va en venir à boutte. J’ai affaire à des personnes gentilles, ça me fait bouger c’est bon pour la santé. Ce soir l’horizon littéraire est trop loin j’arrive pas a m’orienter. Pour les enfants c’est la semaine de relâche je leurs souhaite bien du plaisir. Dans mon enfance on avait pas ça, y’a des parents qui en profitent pour prendre des vacances et partir en voyage avec les enfants c’est bien. Je pense toujours à partir j’espère que je vais pouvoir mieux marcher d’ici là.  Je regarde les guitares Gretsch elles sont très belles c’est des guitares électriques classiques. C’est bien pour les rock’a’billy  à la Buddy Holly. J’avais pas la guitare mais j’avais les lunettes des années plus tard. Je sais pas ce que j’en ai fait un doorman les a surement péter. Demain j’ai une entrevue pour une activité ça devrais être intéressant. Ma semaine est tranquille, je vais m’avancer dans mes écritures. Aujourd’hui quelqu’un m’a demandé si j’avais déjà pensés a déménager, je lui ai répondu que j’avais peur sans parler de mon loyer subventionné que je pourrais pas avoir dans un autre appartement, j’aurais pas du lui parler de mes voyages… Cette personne là à jamais vécu dans une chambre je crois, moi si et je veux pas retourner là… Encore faut il être conscient du prix des loyers je trouverai jamais à me loger ailleurs. Quand je pense à ça j’angoisse. C’est comme si on voulait que je prenne le bord de la rue. Moi depuis le temps que je suis ici ça me conviens, pas besoin de plus grand, plus beau, c’est assez pour moi. Parfois je vous dis, ce qu’il faut pas entendre. J’ai pas envie de partir de guerre avec le propriétaire, je paye mon loyer j’essais d’entretenir ça du mieux que je peux on devrais me laisser tranquille. L’argument qui veux que je devrais laisser la place à un autre il tiens pas moi je dis qu’ils en fassent plus d’appartement supervisé. Ce soir je dors chez moi, sobre c’est déjà beaucoup. Y’en a plusieurs qui sont déménagé et qui sont décédé, je veux pas que ça m’arrive. Voilà !!! C’est la chute !!! L’Épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

05/03/2024

dimanche 3 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour !  C’est encore étonnant de nos jours d’entendre des voitures aux pots d’échappement bruyant. Nous autre on appelait ça des minounes ça fait bein du bruit pis ça avance pas vite. Je vous parlerai pas longtemps de chars, je connais pas ça, j’en aurais un je saurais pas quoi faire avec… Je retraite au plus près de moi, de mon discours intérieur, ce soir les voix sont muettes heureusement. Je vous écris sans trop m’auto-stigmatiser. J’ai envie de vous parler des études que j’ai pas faites, j’avais jamais réaliser que ça coutais quelque chose étudier. Y’a cinquante ans des gars disait qu’ils étaient payé pour étudier, y’a que depuis un an où deux que ça existe maintenant je suis vieux. J’apprend quand même un peu avec mes lectures et les formations santé mentale, quand je vous écris j’essais de choisir mes mots. Demain c’est la répétition théâtre souvent ça m’inspire, c’est exténuant mais j’en tire du bon. Y’a la mort de cet animateur radio, il avait à peu près mon âge ça me fait peur. Ce soir je trouve pas, je trouve plus j’appelle les muses je crois qu’elles sont assoupis et moi je baille. Je mange des biscuits salés on appelait ça des biscuits soda, à l’époque y’avait que ça a manger. Je me suis préparé un café, j’ai dormis un peu, ai rêvé je me souviens plus. Je continus mais ce soir y’a une sorte de désir qui disparait. J’ai lu un article sur Marrakech au Maroc ça m’a donné envie d’y aller faut dire que ces jours ci… Le goulag est dans la brume on vois pas de l’autre côté de la rue. Ces jours ci j’ai la chanson C’est la vie d’Emerson Lake & Palmer dans la tête, « who knows who care for me c’est la vie » le voisin est sourd sa télé est plein volume. C’est lundi, groupe d’entraide et théâtre ça fait des journées chargées. Il fait doux j’ai ouvert la porte quelques secondes. J’ai eu une rencontre virtuelle avec ma collègue pour la prochaine formation. Voilà ! On y est presque, j’ai pris tout mon temps comme m’a conseillé un poète. C’est la chute !!! La conclusion !!! L’épilogue !!! La finale !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!!

04/02/2024


samedi 2 mars 2024


 

Bonsoir ! Bonjour ! Souvenir du poète qui disait « Vous êtes pas écoeuré de mourir bande de c***! » Ce soir il pleut j’aime croire que c’est le printemps. J’espère que je vais vivre assez vieux pour faire d’autre voyages. Hier l’amie du voyage m’a téléphoné pour me donner quelques conseils c’était bienvenue. Elle m’a rassurée le prochain voyage que je veux faire est plus long mais pas très compliqué. Je vous en dis pas plus au cas où ça se ferait pas. Je me donne du temps. J’essais ce soir comme souvent, de vous écrire quelque chose d’original. Je sais pas si vous êtes comme moi mais j’écoute plus les variétés télévisées les émissions à pépère. C’est difficile les très proches et les moins proches disparaissent. Ça me met en face de ma finitude. Aujourd’hui j’ai fait la lessive et regardé la télévision… Ce soir c’est calme dans ma tête, je le prend ça passe de temps en temps. On souhaite bon voyage au bro retraité de la Rolls Royce qui s’en va à l’île de Saint-Martin avec sa douce. Souvenir encore de la gang des Éclopés ça éclusait solide, voulez vous me dire ce qu’on faisait tous là ?!!! Combien on en a laissé sur le trottoir enivré sans le sous, sans endroit où aller pour eu la vie était une beurrée de m**** tu prend ta bouchée et tu te ferme la gueule. Je m’étais recouché j’ai beaucoup rêvé quand le rêve est trop intense je me réveille j’arrive pas au sommeil paradoxal. C’est dimanche un gars traîne dehors et cri des Yo! Yo! Je sais pas ce qu’il fait là, un autre qui profite du doux temps. J’imagine que la voisine lui fait une fellation. Elle semble démunie la voisine mais elle sors dans la nuit sans trop de problème. Je suis toujours dans mes thèmes de prédilections, C’est dimanche à part le congé ça veux plus dire grand-chose et encore plusieurs personnes travaillent, des emplois de service beaucoup d’étudiants. J’essais de pas abandonner tout de suite, les itinérants croient que la voisine est sacrée, qu’elle est bénie. Je crois qu’il y a des gens qui la nuit sont abonné à certains refuges. Voilà !!! Je termine c’est la chute !!! L’épilogue !!! La conclusion !!! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine je l’espère !!!

03/03/2024