vendredi 22 mars 2024

 

Bonsoir ! Bonjour ! Le monde est fou, comment fait on pour garder sa santé mentale ? On parle de prison à la radio je pense à Michel Foucault et son Panopticon, la folie et le pouvoir psychiatrique… Mais j’irai pas là c’est un discours trop compliqué, la prison vaux mieux s’en tenir loin, je sais pas ce qu’est devenus le poète Léo Lévesque. C’étais loin de la poésie de Saint-Denys-Garneau, je regardais un site de poésie sur les réseaux sociaux étonné de ne voir que des jeunes enfants comme si la poésie pouvait pas venir d’adultes majeurs et vaccinés. Depuis le lancement du film On achève bien les rockers on entend plus parler de Lucien Francoeur… Parfois la poésie peux nous bousculer, nous sortir du confort de la lecture patenté, nous choqué souvent ça provoque une réflexion, une recherche de vie maximale pour donner à voir à vivre. Quand on en sort tout à l’envers c’est bon signe parfois une amorce de réponse, un effet miroir pour une tentative de poésie bien à soi face à l’autre, face aux autres. La poésie ils y mettent leurs vies loin des châteaux en Espagne plus près de la taverne et des mauvaises salles où on s’endort pour se réveiller dans un hangover et chercher les mots de l’apocalypse. Pourtant plusieurs sont bien à l’abri dans leurs recherches universitaire rentrent le soir sacs en main en négligeant la vie optant pour de la littérature périmée. On ne me vois plus dans les cafés, j’ai tout donné, j’ai trop donné j’en suis à l’agonie scripté… Je les entend plus les poètes j’y vais avec un grand manque d’humilité et la peur de disparaitre du vivant, je ne reviendrai pas longtemps. Et on confond pornographie et poésie, pédérastie et littératie. Les enfants on les oublie pour pratiquer des jeux d’adultes tenaillés. Je lirai, j’écrirai seul jusqu’à ce que je meure c’est le prix a payer… J’arracherai encore des mots du levant au couchant avec pour enseigne la ville, la chambre des mourants. Ce soir c’est ce que je vous donne une sorte de désespoir à écrire le voisin qui se saoule et qui se cogne sur les murs. C’est le concret. Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! La conclusion ! Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là ! Au revoir ! À bientôt ! Obrigado ! À la prochaine !

23/03/2024


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