Bonsoir!
Bonjour! C’est encore moi, un de ceux qui se demande si le gouvernement a
déposé un montant d’argent dans son compte aujourd’hui. Dans le goulag
occidental les guichets sont fermés de vingt-trois heures à six heures. J’ai
peur que la danseuse m’évince de chez moi, je crois que ces temps-ci elle vie un
peu comme une itinérante. J’écris ça pour quelle me déteste et qu’elle ne me
rappelle pas… Ça ressemble à mon senti du moment, j’ai un peu dormis, j’entends
un avion, l’argent a été déposé, un passant parle de quelqu’un qui avait les
yeux plein d’eau, au bord des larmes je crois… La dernière fois que j’ai retenu
mes larmes c’est sur la scène du TNM, j’étais tellement ému qu’on ait réussis à
jouer ça entendre la foule qui applaudissait c’était émouvant… J’écris ça comme
le gros bonasse que je suis. Hier j’ai fait le marché le caissier a eu un bon
mot, je suis partis du super marché heureux. Pour moi le bonheur c’est tous ces
petits moments dans une journée. Ai sortis la boîte de Mae West en ai mangé un,
du sucré devant un écran y’a de quoi me garder éveillé. J’aimerais quand même
que la danseuse me téléphone. Je pense à Jessica à Madame Sorgini qui ont si
bien joué mes textes, avec intensité je dirais. Me prépare un café en pensant
au calcaire qu’il y avait sur l’ancienne bouilloire c’est comme les êtres
humains on bouille on bouille et on finit enveloppé paralysé dans le calcaire.
Ce soir un chercheur en santé mentale a demandé à faire partie de mon réseau
sur Linkdln, je sais pas ce que ça augure… Je crois qu’à l’institut on juge que
le web c’est pas important maintenant pourtant… Ce que je raconte ça se passe
dans ma tête, les histoires avec la danseuse c’est dans ma tête, je suis bien
assis chez moi et personne ne me menace d’éviction… On parlais, on se disais
comment on aime bien les gens qui ont toutes leurs têtes qui sont là présent
pas intoxiqué… Il est une heure sept c’est vraiment la nuit, je sais pas si je
vais trouver une photo du bistro polonais sympathique. La danseuse a nettoyé la
table avant de partir, je pense jamais à faire ça. Bon je vous ai pas mal
raconté ce qui se passait à l’extérieur de moi les choses et les gens sur
lesquels je n’ai aucun pouvoir. J’en ai que sur moi du pouvoir et si peu, je me
laisse balloter pas les évènements. J’ai
peur de faire des confidences d’entrée de jeu pourtant ce que vous lisez là ce
sont des quasi confidences. Je sais pas si les cartes débits sont acceptées
dans les débits de boisson le premier comme ça ça fait de belles entrées dans
le mois, personne ne les sauveras sauf leur soi. Je termine en vous remerciant
d’avoir lu jusque là!!! Et je vous souhaite une bonne nuit . À la prochaine j’espère!!!
Bernard