Bonsoir!
Bonjour! J’arrive un peu tard ce soir, y’avait un jeune noir qui fouillait dans
les boîtes postales… Rien a faire avec ça, ces gestes là ce sont toujours les
pauvres qui les posent, ça me fait pensés aux terroristes aux jeunes
radicalisés… Je pense à ces deux jeunes, noirs eux aussi, qui m’ont volé ma
tablette électronique après ils vont dire qu’on est racistes appliquant leurs
racismes à l’envers… Bon j’abandonne ça là. Parfois j’ai peur de ces jeunes
hommes… Je reviens sur mon sentie les cons qui fredonnent des airs inconnus, ça
me fout l’angoisse. Dehors les chiens jappent, les maîtres crient et moi j’y
vois que des ennuis… Aujourd’hui c’est l’été, j’imagine que les terrasses sont
bondées, quelques un vont se saouler. J’entends les balançoires qui grincent.
Je sais pas trop trop où je vais avec ça, on entends aussi les mouettes. C’est
toujours la même rengaine, la même chanson… J’aimerais beaucoup écrire quelque
chose de réjouissant, à la télé ce sont les stars de Cannes toujours aussi
sexy. Je suis d’accord avec Woody Allen, les œuvres d’art c’est pas fait pour
les concours, on joue pas au football, la compétition c’est pas très artistique…
Pourtant un écrivain qui gagne le prix Goncourt il s’assure d’un bon revenus,
ici c’est le prix du Gouverneur Général qui arrive avec une belle somme, faut
pas rêver y’a pas de prix pour la littérature on-line. Je radote, vous voyez
bien que je radote incapable du moindre humour. Ça a pris du temps avant que je
prenne conscience que c’est chez soi qu’on est le mieux. Je pense à la très
chère amie qui s’en va en Roumanie, j’espère qu’elle va faire bon voyage… Quand
la chaleur arrive le goulag occidental s’agite. Je sais pas où je vais, à tous
les jours comme ça c’est le défi que je m’impose écrire pour vous. Lentement la
nuit s’en viens mais les journées s’étirent… J’ai commencé a lire un Malraux
une œuvre importante du siècle précédent. Vous allez me dire on en a rien a
faire de Malraux ce qu’on veux c’est de l’argent et du plaisir facile. Je vous
répondrai que c’est pas dans mes valeurs, je valorise toujours l’effort même si
parfois le résultat est pas terrible. Le plus grand des talents demande
toujours du travail. C’est très moraliste mon affaire on est pas avec Burroughs
ni avec Miller n’empêche y’a de la beauté dans leurs œuvres, le sexe est bien
présenté. Je crois que les voisins lisent pas leurs journal, ils font grogner
leurs chiens enragé trop stupide pour voir que l’animal peux dévisager un
enfant. Ce soir c’est pas fort ce que j’écris. J’aime les chiens, les bouviers
bernois mais j’ai pas de place et je veux pas d’un chien qui pleure de
solitude. J’arrive à la conclusion encore quelques mots. Je vous salut tous mes
lecteurs. Je vous remercie d’avoir lu jusque là!!! J’étire un peu mets de l’eau
dans la soupe. À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
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