Bonsoir!
Bonjour! Le froid est là, j’arrive pas a décider de vous écrire. Les arbres
sont vert mais le temps est triste. Je me prépare un café… Je pense aux
percussionnistes aux joueurs de tam-tam dans les manifestations, ça m’énerve ça
viens d’où cette coutume? C’est encore des granos, l’ami dirait des « peace
and love », parfois les vieux soldats en veulent à ceux là, je sais pas
trop pourquoi? Parce qu’ils sont des bagarreurs et les plus jeunes ont d’autre
valeurs. Ce soir c’est pas très bien écris, je pense à Cannes aux spectateurs
aux publics on croirais y voir bobonne et sont bonhomme mais non ce sont de
tout jeunes gens encore là c’est une question de valeurs les paillettes et le
clinquant… Je reviens dans les parages intérieurs comme toujours j’arrive pas a
nommer mes sentiments c’est encore l’angoisse et l’anxiété comme si ils n’y
avait que ces deux là pour nommer une douleur proche de la peur. Je pense à mon
couple de neveux qui attendent un bébé c’est pour très bientôt elles vont la
nommer Raphaëlle, le patriarche se prénommait comme ça… La nouvelle bouilloire
fait bien la job, quelques propos domestiques dans ma fébrilité. Je suis pas
serein, je m’ennuis à plein, je cherche le rythme le mien, je suis pas un saint
pourtant y’a toujours demain et le divin… Je me suis fait longtemps dire que j’étais
un sans génie, aujourd’hui c’est difficile d’en avoir, j’ai pas de génie ce que
je touche deviens pas de l’or. Je veux pas d’une fausse humilité, je pense à ma
lectrice de Deux-Montagnes j’espère qu’elle et mon lecteur vont bien. Ici j’ai
un livre dont l’auteur a le même nom que
ma lectrice… La température me déprime c’est comme si j’avais passé la majeure
partie de ma vie sous un ciel nuageux. Attend moi! Attend moi! Je suis rarement
en retard quoi que là j’ai de la difficulté a savoir ce que je vais vous
raconter. La première idée c’est la
forêt avec la douce du temps j’aimais bien marcher dans la nature avec elle c’était
ressourçant, y’avait de magnifiques points de vue, on voyait plus loin que l’horizon.
Je sais bien ça a pas de bon sens mais on voyais loin. Parfois on marchait le
long d’un cours d’eau pour revenir dans un sentier dans le bois, de vous
raconter ça je suis ému j’aimais ça. On se baignais aussi c’était bien, l’eau
étais rafraichissante, on partais pour une journée parfois y’avait des averses
mais c’était pas grave. Ce fut de bons moments ne serait-ce que pour ça ça
valait la peine. Mais c’était pas de la peine c’était de la joie dans la nature.
Je me souviens en vacances on avait fait du canot c’étais fantastique de
descendre la rivière sous le soleil. Je pense qu’aujourd’hui j’ai assez de
nostalgie. Je termine donc là-dessus en vous remerciant d’avoir lu jusqu’ici!!!
J’espère que vous avez apprécié!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! À
bientôt!!!
Bernard
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