Bonsoir!
Bonjour! Les réservations pour le voyage à Washington sont faites. J’ai déjà
hâte de partir. Il est quatre heure vingt-quatre je suis debout, Narcisse pue
il va prendre une douche, c’est fait! Je sent bon. Hier j’ai regardé un
reportage sur la bataille de Verdun pendant la guerre quatorze-dix-huit c’était
horrible pourtant y’a encore des guerres et le front est partout. Je pensais à
ces illustrés que je lisais dans mon enfance la guerre y étais idéalisé, les
américains gagnaient toujours, ça donnais l’envie d’y aller, j’étais incapable
de visualiser la mort d’en faire autre chose qu’un concept pour bandes
dessinées. J’ai petit-déjeuner,des toasts avec du beure ai j’ai aussi regardé
les numéros et le parcours des bus jusqu’à l’hôtel en attendant je suis collé
dans le goulag ocidental, pense à « l’affection particulière » qu’avait
le cheuf pour le faubourg à m’lasse, on dis de lui qu’il lui manquait une
couille… À Verdun les hommes d’état faisaient des discours pendant que les
poilus crevaient. Ce matin il fait beau soleil et c’est doux. Je me suis
recouché et j’ai dormis. Le repos parfois ça inspire vous rappelez vous du film
Alexandre le bienheureux c’était extraordinaire. J’ai rêvé mais je ne me
souviens plus de quoi. Je lis présentement sur la littérature et internet ça s’intitule
Google Goulag, c’est un livre, l’auteur est pas chaud chaud à l’idée d’un cyber
espace littéraire, c’est un penseur un philosophe qui a de bonnes idées sinon
des intuitions. Il parle pas beaucoup des tirages de livres qui sont parfois
eux aussi très confidentiel. J’arrête ça là je vais laisser décanter cette
écriture et je vous en reparlerai. Aujourd’hui c’est mardi je me croyais
samedi!!! Écrire c’est ça, ça se fait envers et contre tous, seul et pour se
faire aimer parfois on aime l’œuvre même si l’auteur est un parfait abrutis « mea
culpa ». Me suis habillé, on aime
pas que je raisonne à pleine page, j’avoue que le contact direct je l’ai pas,
je suis lu mais y’a pas d’interaction c’est tant mieux. Le Google Goulag me
prête des intentions que je n’ai pas… Je ne me dénigrerai pas encore aujourd’hui.
J’ai pas besoin de votre avis. Je suis en écriture comme on est en analyse vous
pouvez peut-être lire ma part d’inconscient. Ce matin je pense aux
col-bleu à comment ils sont essentiel à
la bonne marche de la municipalité. Bravo messieurs! Je bave mon café, je sais
vous dites c’est pas de la vrai littérature c’est quand même écris dans l’urgence
de créer, le désir de s’exprimer vous allez me dire c’est pas suffisant ça
prend la qualité que validerais un éditeur, pourtant… Vous êtes ici sur les
berges de la folie où je ne me rappelle plus si je l’ai dis où écris… Dehors
une ambulance passe un peu tôt pour faire un A.C.V. voilà j’ai écrit une
niaiserie. Je termine comme toujours en vous remerciant d’avoir lu jusque là!!!
À la prochaine j’espère!!! À bientôt!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire