Bonjour!
Bonsoir! Il fait un temps magnifique et c’est toujours agréable de discuter
avec l’ami dans le parc. Je viens de rentrer, ai lu une partie du guide
National Geographic sur Washington. J’ai hâte d’y aller. Ici tout deviens de
plus en plus vert. Je pense aussi à l’ami marcheur qui se croit suivis, on l’a
soignée il marche maintenant au ralentis et ne parle plus à ses fantômes. Il a
maintenant une longue barbe et avance sans regarder derrière me semble qu’avant
il était plus vivant tout est question de souffrance vous allez me dire tout se
joue entre la vie et le zombie. On entend déjà les gens se plaindre qu’il fait
chaud, bein voèyons! Parait que dans le quartier maintenant y’a une croix verte
où on vend du pot aux malades… Je suis heureux de ne plus consommer de cette
drogue, tout pour me mener à la psychose. Soudain y’a un doux parfum de savon…
Je pense à mon neveu et à ma nièce qui a eu son bébé aujourd’hui. Je suis très
heureux pour eux. J’ai pas connus ça la joie d’être parent. Je les embrasses
très fort… Je pense que je vais sortir mes culottes courtes, viens de laver la
vaisselle, je crois que ce bébé là nous emmène du beau et du bon temps, « laisser
le bon temps rouler » dirais Zachary Richard. Je reviens à mon senti et
souhaite que mes petits neveux et petites nièces ne connaissent pas la
souffrance comme je l’ai connus. Je leurs souhaite juste juste du bonheur et de
pas être aussi idiot que moi. Ce soir je prépare du riz, je vais le manger avec
de la sauce soya et du jambon. Je croque des Life Savers, je suis toujours
aussi maniaque des bonbons. En attendant le riz mijote, je suis loin de mon
sentis mais je peux vous dire que je suis heureux qu’il fasse beau comme ça, je
me répète… Les années passent les bébés naissent et moi je ne me vois pas
vieillir. Je suis devenus juste ce que je pouvais pas ce que je voulais et c’est
tant mieux comme ça. Je pense à la piscine qu’on avait dans la cour dans mon
enfance à Dolbeau au Lac Saint-Jean. Je suis pas un exemple pour le bonheur
mais j’essaye, j’essaye fort et parfois j’y arrive, c’est bien. Je mange trop
vite je m’étouffe c’est de l’ordre du domestique on fais pas de la littérature
avec ça, la sueur me tombe dans les yeux. Je sais pas pourquoi je pense à la
Cocagne et à ce français qui faisait partie du club de camping… Semble que le
pays de Cocagne c’est une sorte de paradis imaginaire, j’y suis pas et je suis
loin de voir la France comme un paradis. J’ai écris trop vite cet après-midi ça
se tiens pas, je vais tout de même encore dire bravo à la famille de L’Outaouais.
Merci d’avoir lu jusque là!!! À la prochaine j’espère!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire