Bonsoir ! Bonjour ! Il neige c’est samedi j’ai lu que c’étais
la bordée des corneilles. Avec mon bro on se rappelait les années soixante
quand les automobiles puaient. Je me souviens ça puait tellement que j’avais de
la difficulté a monter dans la Rambler du patriarche. J’avais des haut-le-cœur c’étais
comme la cigarette aujourd’hui on s’aperçois vite que quelqu’un fume. Le fumeur
en est pas conscient. Ça ressemble pas vraiment au printemps. J’ai terminé un
roman intitulé le Silence de David Lehane. C’est sur le Boston des années
soixante dix les troubles raciaux pendant qu’on essais d’installer ce qui s’appelle
le busing. Amené des enfants noirs dans des écoles blanches et l’inverse aussi
pour une mixité raciale et économique y’avait eu des émeutes à ce propos. Je
peux pas vraiment vous parler des villes américaines, j’en ai vu que quelques
une je me souviens du centre-ville de Boston, une belle ville. Je me rappelle
pas avoir vu beaucoup de noir, j’étais pas dans leur quartier. Lentement le
soleil se couche rose, il va faire beau demain. J’ai hâte que ça bourgeonne que
ce sois vert et chaud, ça va venir. Le voisin écoute une émission musicale à la
télé moi j’ai regardé une vidéo de je sais pas qui, une bonne chanteuse en
quatuor. Je suis triste l’ami est malade, trop pour me parler, il manque d’oxygène,
autour de moi les êtres chers s’en vont. La nuit est là, solitaire j’écris pour
ne pas pâtir, pour ne pas partir. Quand même je connaitrais un grand succès ce
sentiment de solitude resterais présent même avec un compagnon, une compagne le
grand vide abyssal resterais là. Je parlais de la journaliste la semaine passée
on se disait comment il faut aimer les gens pour faire ce métier là, c’est pas
facile. Maman n’est plus là qu’elle veille sur moi, il fait froid, la rue est
tranquille comme à mon habitude je pense aux itinérants comment c’est
difficile. Quand j’étais plus jeune j’ai beaucoup lu sur le retour à la terre
mais j’ai raté le mien. Je suis devenus essentiellement urbain a usé mes
chaussures sur les trottoirs. Je savais qu’il y avait des communes urbaines
mais celles que j’ai rencontré c’était tous des voleurs à la petite semaine.
Voilà! C’est la chute ! La finale ! L’épilogue ! Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là ! À la prochaine je l’espère !
24/03/2024
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