Bonsoir!
Bonjour! Cette nuit je suis plus calme. Je remercie l’amie psychologue pour son
commentaire. Mais oui je vais amener la pleine citoyenneté dans ma vie en
vivant le moment présent et en essayant de faire du bien. Je vous dirais que c’est
pas facile avec la présence de cette foutu angoisse. Je suis réveillé cette
nuit comme toujours j’essais de vous raconter mon senti, ça prend du repos et
je dois rester positif, je remercie aussi la secrétaire syndicale à la retraite
pour son commentaire mais oui des fois je tombe dans l’abîme de l’angoisse c’est
pas rigolo. Quand je l’écris, quand je la traduis en mots ça me soulage. Vous
êtes pas obligé d’y croire mais c’est ce que je vie ça s’apparente à des
hallucinations, des delusion qu’ils disent en anglais. J’ai toujours la beauté
de Washington dans la tête, j’aimerais beaucoup parler de ça avec mon beauf
enseignant retraité, il s’y connait vraiment. Je pense à la chanson Lady in red
de Chris DeBurgh https://www.youtube.com/watch?v=iFcuN2zI3u0 Cette nuit c’est calme dans le goulag
pourtant c’est la nuit de vendredi à samedi plusieurs en profitent pour
festoyer. Je ma rappelle de la discothèque où personne respectais mon espace
vital, je commandais ma bière debout au bout du bar heureusement c’est finis
tout ça la détente artificielle de l’alcool et c’est tant mieux. La question
que je me pose c’est comment je faisais pour retrouver des visages connus dans
ce trou noir. Côté senti, j’ai réussis à dormir quelques heures j’essais de
réfléchir à mon prochain départ, je crois que je suis harcelé par des huissiers
mais c’est pas leurs méthodes c’est plutôt ma folie. Je sais pas pourquoi
Honoré De Balzac me viens en tête ses Illusions perdues… Dehors une moto passe,
j’essais d’y arriver encore une fois, vous écrire quelques chose de pas trop
nul. Je pense au voyage de l’altitude en avion au souterrain en métro et entre
les deux la voiture, j’y suis arrivé j’ai beaucoup aimé le métro de Washington
pour ceux qui y sont jamais allé je conseille cette magnifique ville. M’en
voulez pas trop j’essais de faire survivre le souvenir de ce voyage. Cette nuit
je suis bien chez moi le climatiseur fonctionne encore… Parfois j’ai l’impression
qu’on y crois pas que j’ai été que je suis très malade. J’essais de lâcher
prise là-dessus de m’en tenir au ici maintenant et de vérifier quand j’entends
des mots dénigrants ça fait des années que je fais ça parfois ça deviens
épuisant… Y’a une magnifique odeur de vanille, j’aime ça, je sais pas d’où ça
viens. J’écris jamais la fin avant le commencement, un avertisseur de fumée est
déclenché c’est pas très grave ils viens de s’arrêter. J’ai souvenir de ces longues
marche à pieds pour rentrer chez nous après mes beuveries, ce chauffeur de taxi
que j’avais payé avec mes colliers mexicain. J’arrive à la fin quand je rentre
chez moi voilà! Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au
revoir!!!
Bernard
P.S.
Pardonnez l’utilisation du verbe essayé mais c’est de ça qu’il s’agit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire