Bonjour! Bonsoir! De joyeuses fêtes à tout le
monde amis parents famille. Deux nuits encore et on y est, j’ai pas mal épuisés
ma banque de souvenirs. Je pense à ces vieilles maisons de pierre pas chauffable
ça faisait des fêtes authentique mais frette… Je me souviens un peu des fêtes
chez pépère à Normandin… La table des enfants, non! Non! Pépère habitait pas
une maison de pierre, je me souviens qu’on m’envoyait dormir dans le bas-côté,
avant la tante jouait de l’harmonium, c’est étrange je vois pas mon frère et
mes sœurs. J’ai mis la radio pour me désennuyer… Je pense à pépère qui était
bedeau… Un autre souvenir chez mon parrain dans Villeray et l’énorme train
électrique de mon cousin, souvenir aussi du chien Rex, on trainait un peu
partout dans l’appartement en attendant de manger. J’ai toujours un bon
souvenir de ma marraine qui est partis bien vite, je me souviens qu’elle était
cruciverbiste, une année elle m’avait fait cadeau d’une lampe champignon jaune
très à la mode. Je me souviens que j’étais allé à la messe de minuit à l’église
de cette paroisse, je me rappelle plus son nom… Je suis ému de vous écrire sur
ma marraine je l’aimais beaucoup. Elle était toujours là à Noël… Dans mon
enfance à Noël on étrennait des vêtements neufs chez nous, on était gâté, ça
faisait pas partie des cadeaux on les avait avant, les cadeaux c’était des
bébelles, Johnny West, Billy Blastoff et toute sorte de jeux à assembler… Je me
rappelle de cet oncle qui me donnait une leçon de français en me traduisant
clown par bouffon. La nostalgie, les
fêtes sont faites de ça, j’essais de me rappeler nos jeux d’enfants parfois on
jouait à des jeux de société, milles bornes, Monopoly, Scrabble, et un jeu que
j’aimais bien où il fallait répondre à des questions… Les ordinateurs étaient
pas encore disponible… Le jeu c’est, Quelques arpents de pièges. J’écoute de la
musique de Noël je suis ému… C’est y’a longtemps tout ça j’étais un enfant, le
suis resté longtemps. J’oublie pas que c’est la fête de mon « petit »
frère entre Noël et le jour de l’an… Parfois quand l’hiver s’y prêtais on
jouait sur une patinoire que le patriarche nous préparait sur le terrain vague
d’à côté. D’autre fois on allait glisser sur le coteau. Je vous le répète je
suis ému, tout ce temps qui à passer et c’est pas interdit de vivre des
émotions… Parfois ça prenais pas grand-chose pour me faire plaisir, une galette
à m’lasse et un verre de lait j’étais le plus heureux des enfants. Ça aussi c’était
quelques choses quand la matriarche préparait du dessert pendant les jours de
congé d’école, moi j’aimais bien lire La Presse sur ma moitié de table dans l’odeur
des pâtisseries. Voilà! J’espère que ça vous plait, c’est un peu naïf mais c’est
l’enfance ça se doit d’être comme ça. Merci d’avoir lu jusque-là!!! À la
prochaine j’espère!!! Au revoir!!!
Bernard
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