vendredi 21 décembre 2018

Au présent

Bonjour! Bonsoir! Souper et diner de Noël, on peut pas se plaindre qu’on crève de faim. Je suis un peu mêlé dans mes journées, le week-end arrive… J’ai appris que ma voisine d’en haut étais maintenant itinérante, je crois qu’elle s’est isolée et ne payais plus ses comptes, la vie pour elle est maintenant très difficile pourtant c’était une bonne voisine, je lui souhaite de se trouver un abri pour le temps des fêtes. Ici aux appartements on a vieillis on ne fait plus la fête comme avant, ça fait plus de vingt ans que j’habite ici, y’a plus de ces soirées où on échangeais des cadeaux, écoutais de la musique et où je jouais de la guitare, comme on dis c’était le bon temps… Aujourd’hui il pleut ce soir ça va se transformer en neige on auras peut-être un Noël blanc… Ce soir les ouvriers vont finir plus tôt question de fraterniser entre collègues… Y’a tout ceux qui ont des enfants et qui bossent pour leur faire un beau Noël… Je pense qu’à Montréal y’a cinquante-trois pour cent de célibataires. Plusieurs se recomposent des familles avec les amis, aujourd’hui c’est la journée la plus occupée pour les achats… Je suis toujours en rétablissement, parfois la paranoïa surgie quand je l’attends le moins… Vendredi aussi dans les bureaux on va diner au resto avec les collègues… Bientôt janvier, j’aime beaucoup vous écrire en pensant aux petits enfants. Je crois qu’ils terminent l’école cet après-midi… Aujourd’hui c’est vraiment l’hiver qui commence je vais le passer en préparant mon voyage… Je salue les amis de Brossard et leurs souhaite de belles fêtes. Tout à coup je suis un peu triste, je peux plus m’amuser vraiment comme dans l’enfance. Du temps de l’innocence… Je vois ce gars étendu dans la porte du bureau de la sécurité du revenu, il croit peut-être qu’il auras son chèque plus vite… J’ai hâte de rencontrer mes frères et dis bon voyage à celui qui ne sera pas là… Dans le parc la neige a fondue, je voudrais faire de la poésie mais comme toujours j’y arrive pas, j’explore mon senti essais de nommer ces sentiments pourtant… Parfois je crois que mes lecteurs comprennent trop ce que j’écris… Je crois souvent qu’un vrai poète est incompris sinon maudit… Quand même, l’immense poète avait inventé un langage, l’exploréen, on comprends pas plus ce qu’il voulait dire peut-être fallait-il ressentir tout simplement… Je veux pas oublier personne pour Noël, tout ceux qui me lisent ont une pensée de moi… Je veux pas aller trop vite en affaire en garder un peu à vous raconter… J’entends un avion dans cette journée triste et grise. Je pense déjà à l’impôt il est un peu tôt, je crois qu’à partir d’aujourd’hui les journées vont s’allonger. Voilà! J’en suis presque à la chute, j’espère que ça vous amène un peu de bonheur de me lire. C’est toujours difficile de terminer. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Au revoir!!! Ciao!!!
Bernard

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire