mardi 11 août 2020

Autrefois


Bonsoir ! Bonjour ! Voilà un autre texte, je regarde des téléséries en pensant aux rédacteurs, aux scripteurs… En y pensant bien les médias c’est aussi une affaire d’écriture. Je pense aux analphabètes y’en a beaucoup, des maisons, des appartements sans un journal, sans un livre… J’ai eu et j’ai encore tant de plaisir à lire et à écrire comme j’ai pas étudié j’ai pas eu la chance de fréquenter un milieu « intellectuel ». J’ai bien essayé mais j’y suis pas arrivé, les études s’accordaient mal avec mes habitudes… Je vais y aller avec mon senti, je pense à ma fratrie à mon lecteur de Deux-Montagnes avec qui j’échangeais sur le bonheur à mon âge de n’être pas trop malade…

Les mots sont dur

Les mots sont doux

Les gardés pur

C’est tiguidou

Y’a rien de sur

C’est comme les poux

Leur piqure

Sans dessus dessous



La rimaille l’azur

C’est pour vous

Je voudrais bien écrire des chefs d’œuvre sans trop y prétendre… Je crois que je vous l’ais déjà écris je suis un faiseur solitaire. J’aurais tant aimé être un artiste comme dans la chanson mais ce sont des textes de confinements,  je suis enfermé chez moi j’ose pas trop sortir seul… Je pense à la deuxième vague de la COVID-19… Parfois j’en veux aux gens qui ont réussis enfin ça sert à rien ma vie est presque finie. Pauvre vieux « poète » sur le déclin, la poésie c’est pour la jeunesse et son exubérance… Encore, le vieux poète interné on lui rendait visite pour qu’il récite quelques un de ses mauvais vers, la muse était partie, la mélancolie aussi il récitait la mauvaise poésie de son confinement… Mon confinement est volontaire je veux pas prendre la chance d’être infecté… Mon loyer est payé, souvent ceux qui disent qu’on respecte pas leurs droits ont pas remplis leurs devoir, ils ont même empiété sur la vie privée du voisin… J’ai enlevé mon t-shirt ça fait très prestataire… Lavé la vaisselle… Je sais pas pourquoi j’écris plus tous ce qui me passe par la tête, la peur de blesser quelqu’un peut-être… Je sais pas si vous appréciez mes vers de mirliton, on parle pas du grand art, je vous écris ça en pensant à écrire de la poésie plus contemporaine sinon plus savante

Recule mon chien

Ton plateau ta moulée

C’est les miens

Les grands mots ont sauté

Bestial

Faute de spatial

 Jouez le jeu, le confinement c’est près de la réclusion avec les fers aux pieds. Je suis pas dans une cellule c’est permis d’écrire, je suis libre si c’était pas de la COVID-19 j’irais où je veux… Bon! J’essaye de trouver une conclusion qui n’a pas mal vieillis, une nouvelle musique, ça semble impossible… Ce matin à la radio y’avait de bons texte… Voilà! C’est la conclusion, c’est pas un grand cri à peine un murmure j’en profite pour tous vous saluer. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine je l’espère !!!

Bernard

1 commentaire:

  1. Tes vers de mirliton sont bien jolis. Tu as réussi ta vie à ta façon et avec courage. Nous devions aller dans les Laurentides mais c'est reporté... Ces temps-ci, j'ecoute les mots de Tir de Coyote. Bonne journée 💙

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