vendredi 30 avril 2021

Vinyenne

 

Bonsoir ! Bonjour ! Ce soir c’est pas terrible, je suis gris comme le temps comme les nuages comme la pluie. Avant de dire que je suis incompris, je vais essayer de vous expliquer c’est comme si la maladie essayait de me rattraper. Parfois j’ai envie d’en finir mais je sais que c’est pas la solution ma douleur est toute morale pas physique. Parfois psychose et misère ne font qu’un dans ce cycle de haut et de bas pourtant je suis pas bipolaire,  je me rétablis d’une autre maladie… Des jours et des jours soixante cinq ans bientôt. Un jour à la fois c’est encore la meilleure façon de vivre. Je passe du courriel à Facebook et je lis des choses inutiles, l’ami dis que c’est hyperréaliste ce que j’écris. J’en ai pas vraiment conscience. Je me meurs d’ennuis, je vous écris pour m’amuser puisque tout le monde dit écrire pour passer le temps … C’est plutôt pour me rétablir en ce moment avec ces quelques mots j’ai réussis à changer d’humeur. Je donne peut-être trop de pouvoir à l’écriture mais ça marche … J’ai téléphoné à la ligne d’aide, j’ai raccroché le gars croyait que j’avais bu. Je ne bois plus depuis longtemps … Pour ceux qui veulent m’entendre encore une fois je suis là https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/8291/art-de-se-faire-du-bien . C’est comme si je me courrais après la queue. Lentement dehors ça verdis, l’odeur me rappelle Lille en France malheureusement les voyages sont déconseillé par les autorités. J’écoute ce que dis mon âme elle répète toujours son chagrin sa peine, je suis malheureux. Aujourd’hui j’ai participé à une formation virtuelle sur le rétablissement. J’en connais un peu surtout l’expérientiel … Ce blog fait aussi partie de l’expression de l’expérience mais c’est mon côté indépendant quoi que je compte sur vous pour me commenter, me critiquer.  J’ai reçu un appel téléphonique, je lis les gens qui écrivent et qui disent qu’ils ne sont pas écrivains pourtant, moi je crois en être un j’écris c’est tout ce que ça prend. La difficulté c’est d’explorer son monde intérieur écouter ce qui coule vers le dis, parfois quand je parle en public je suis dur c’est pas évident d’entendre la morbidité mais à la fin je suis toujours vivant et positif. Tout à coup je pense à la solitude des maladies mentales comment c’est difficile pour les proches, j’en reviens aux explications d’angoisses d’anxiété … « De tants en tant un copain de tants en tant un ami mon frère » Jean-Pierre Ferland. Je me suis calmé ça aide s’exprimer. Demain samedi et le cahier voyage dans le journal faute de partir on lis. Je vous écris tout il arrive que j’ais plus rien à vous raconter. Voilà! J’ai presque finis je me cherche une conclusion potable, je suis heureux de vous écrire j’espère que ça vous plait. Comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Arrivederci !!! Bye !!! Ciao !!!

Bernard


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