Bonsoir !
Bonjour ! Je suis content je viens de m’entendre
à la radio c’était une bonne émission. On y a parlé des rôles de femme que j’ai
tenu, un homme qui joue une femme comme avant la première guerre mondiale. Ceux
qui veulent écouter peuvent aller là https://ici.radio-canada.ca/ohdio/premiere/emissions/8291/art-de-se-faire-du-bien
à la date du vingt et un. J’essais de voir où ça me mène tout ça, je me ferai
pas payer pour vous écrire c’est que du plaisir… Ce soir je suis sensible quoi
dire ? Je me cache pas, je me cache plus j’ai aussi le droit de vivre. C’est la
nuit je fais ça pourquoi ? Pour qui ? Ça joue du piano chez le voisin, ça
reviens toujours au même tout ce qu’on ferais pour se faire aimer. Dites moi ce
que je peux écrire pour vous aider, parfois ça va tellement mal on sait plus à
qui où à quoi s’accrocher … J’ai connus ça, cette semaine la paperasse de l’Office
Municipal d’Habitation est rendus on va m’envoyer le montant la semaine
prochaine, le loyer parfois c’est du domaine de l’intime presque autant que la
couleur de vos bobettes. Je pense à la jeune amie qui s’est enlevé la vie, c’est
regrettable mais y’a l’autre amie qui joue la chanteuse d’un autre temps, j’ai
hâte de voir la vidéo. Je suis loin de la sensibilité dont je vous parlais au
début je vous écrirai pas sur ma vie sexuelle y’a rien a écrire y’en a pas … La
paranoïa c’est une forme de sensibilité ça a je crois un rapport avec la vie
sexuelle mais je sais pas comment l’expliquer. Ce matin je pensais à la vision
qu’on avait du fou, seul dans son studio du bas de la ville essayant d’apprivoiser
le normal un mot que je déteste …Ouais! En camion de livraison ils les voient
tous les errants aux cheveux teints aux habits féminins quand t’est helper on
te demande ce que tu va faire de ta vie si tu va devenir comme eux … Comme si,
comme si on devait choisir la vie parfois c’est une histoire de drifter de
dérive, de courant qui t’emporte on ne sais où, tu peux pas devenir autre chose
qu’un voyou. Pendant ce temps là c’est toujours mon journal du confinement on
est encore et toujours pris avec la Covid-19 … Encore une chose intime on m’a
livré deux paires de chaussettes magnifiques que j’ai payé cher mais ça vaux la
peine, je passerai pas tout de suite au travers, c’est pas de la littérature c’est
de l’écriture de catalogue. J’approche de la finale quelques mots encore, l’ami
disait toujours que c’est difficile de terminer il commençait jamais rien … C’est
la conclusion l’épilogue j’espère que vous avez apprécier. Encore une fois ce
soir je croyais pas réussir mais c’est ça qui est ça !!! Comme toujours je vous
remercie d’avoir lu jusque-là !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!
À bientôt !!!
Bernard
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