Bonsoir ! Bonjour ! Un autre vendredi d’hiver et celui là y’a quelqu’un qui me manque. C’est froid comme toujours à ce temps ci de l’année et j’ai toujours plus froid de ne plus parler à celle qui nous a laissée. Elle n’a plus mal elle est libérée pour moi c’est normal c’était mon aimée, un amour filial désiré, nous n’irons plus au bal des enfants éplorés, pourtant pour moi c’est pas final j’attend l’été comme un animal réveillé. Maintenant un marginal éploré je n’ai d’égale que celle qui nous a quitté. Le deuil est infernal la vie brisée. Mais c’est vital de se réhabilités, le plaisir viral nous a accompagné jusqu’à la finale de ces vers déglingués.

 

Voilà c’est mon état d’esprit de ce soir, pour moi écrire c’est important on dois bien sur montrer aux enfants mais ne pas leurs laisser c’est plus grand. C’est effarant les statistiques d’illettrés au Québec ils savent pas le bonheur dont ils se privent. Quelques mots de latin ça jamais fait de mal à personne. L’esprit des lettres voilà vers où il faut aller, c’est pas un recul c’est une avancée vers plus de liberté. Le seul latin que je connais c’est celui des églises. Je pourrais aller sur google chercher des mots latins mais je pense aux moines qui enluminaient les pages des livres sacrés eux ils connaissaient le latin. Je sais pas pourquoi je vous raconte ça peut-être parce que le français est une langue latine à laquelle on préfère l’anglais. Et je continu je continu dans mon français brinqueballant le regretté patriarche dirais t’a pas voulus aller à l’école… Je suis un peu vieux pour tout ça pourtant écrire c’est ma passion. Y’a que dans ces moments là que mon discours intérieur se « place », la regretté matriarche dirais « saudite follerie! » Voilà je fait mes jours de l’écriture. Sur Facebook un gars a posté que dans huit jours ils aurait plus rien a manger il nous prend pour des nonos. Ce soir j’ai parlé voyage je doute que ça se passe comme j’avais pensés. Quand même je verrai. Quelques mots encore pour vous remercier de lire. Voilà !!! C’est presque finis on est rendus à la chute !!! À l’épilogue !!! À la conclusion !!! et comme toujours je vous remercie encore d’avoir lu jusque-là !!! Au revoir !!! À bientôt !!! Obrigado !!! À la prochaine !!!

17/02/2024