lundi 10 juillet 2023

 

Bonsoir ! Bonjour! J’espère que vous allez bien. Je salue bien bas la lectrice qui prend la peine de me commenter elle donne vie à tout ce que doit être la « littérature » un échange. Merci! Cette nuit comme toujours je cherche mon propos. Je pense à mon premier resto à Porto je suis tombé sur des gens sympathiques qui m’ont servis la célèbre Franceshina le repas typique de Porto. J’essais de me trouver une destination pour l’an prochain cette fois ci j’aimerais  bien le Vietnam où la Thaïlande mais accompagné, c’est encore loin je verrai… Je pense aux changements climatiques c’est rien d’attirant. Bon ! J’ y vais maintenant dans l’ordre de l’émotion comme toujours j’essais de nommer cette émotive précarité, cet état d’esprit que les psys se plaisent à analyser ce versement presque déversement dans l’oedipe devant l’écran, les mots qui me renvoient la balle et que j’essais de dire et d’écrire, sans pouvoir le suivre je pense au philosophe Deleuze, l’anti-oedipe un concept très compliqué pour moi. Enfin comme toujours chez les plus récents psy et philosophes il est question de sexualité disont que je n’ai plus cette vie là je la trouvais malheureuse et douloureuse. Je crois qu’il est possible de se rétablir de se réaliser sans avoir une vie sexuelle en analyse transactionnelle on parle de sublimer… J’ai longtemps été à la recherche d’une partenaire je manquais de subtilité mon corps transpirais le désir… Tout ça c’est terminé maintenant je m’abstiens tout ça c’est de l’ordre de la confidence. Je peux pas écarter Narcisse avec qui j’ai longtemps partagé dans les bars à miroir, mon soliloque se faisait des commentaires devant mon reflet, ça me menait que dans la folie la schizophrénie plutôt que l’oedipe. Combien de temps combien de mots avant de faire le saut vers l’antithèse l’anti mots ne vivre que le sursaut d’un noyé à l’eau un malheureux plein pot une peau sur le dos une envie un désir un défaut. Voilà! On y est presque, c’est lourd ce que je vous écris cette nuit, je pense à ce miroir tellement présent chez les toxicomanes, il deviens tordus et distordus. N’empêche la douleur ne disparait qu’un moment. C’est la chute, la conclusion, l’épilogue comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! N’ hésitez pas à me communiquer votre appréciation. Au revoir !!! À bientôt !!! À la prochaine je l’espère !!!

11/07/2023


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