Bonsoir ! Bonjour ! Je m’adresse ici à ma lectrice érudite
des impatients qui me suis elle aussi de près juste lui dire merci pour ses
courriels encourageants. Mercredi déjà! Je suis pas mal désoeuvré. Je viens de
manger un chausson aux pommes, je sais pas si je vous ai déjà raconté qu’un
temps je boycottait les produits où on retrouvais des pommes à cause du sort qu’on
faisait aux cueilleurs, je me rendais là avec toute ma bonne volonté en
travailleur honnête on ne me gardais jamais, j’ai jamais su pourquoi ça fait
que les pommes très peu pour moi j’ai aussi la même expérience avec les fraises
et les bleuets, rien de très payant en si peu de temps adieu travailleurs
des champs après on se demande pourquoi y’a personne pour la cueillette on
exploite les sud-américains. Peut-être que c’est ma méconnaissance du travail
agricole au fond je suis essentiellement urbain. J’entretien pas de potager et
les plantes que j’essais de garder chez moi fanent toutes. Je pense à Lenny de
l’œuvre de Steinbeck Des souris et des hommes, on va tu n’avoir des tites
souris ! ? À l’époque de la crise de
vingt-neuf, ils jumpaient les trains pour aller travailler dans les grandes
exploitations agricoles de l’ouest américain. J’en connais qui allaient au
tabac en Ontario pendant qu’ici dans Lanaudière près de Joliette on manquait de
travailleurs. Le tabac je sais pas ce qui a remplacé sa culture, on suivait le
temps des récoltes une après l’autre… C’est dire comment parfois c’est
difficile de gagner quelques dollars et ça vous enlève toute envie de jouer
dans la terre. Je deviendrai pas maraîcher . Je reste chez moi les cultivateurs
engagent pas, j’en connais d’autre aussi qui ont tenté un retour à la terre
loin de la ville comme on pouvais s’y attendre ils ont pas réussis. Mon
histoire avec l’agriculture c’est toujours la même, « ça chauffe ça
chauffe moé j’aime ça l’agriculture va falloir que j’arrose ça plusieurs fois
par semaine » Pierre Harel. J’ai jamais fait les foins j’étais trop jeunes
pour soulever une balle de foin et j’étais incapable de conduire un tracteur.
Voilà pour ma chronique agraire, aratoire ? C’est la fin la chute la conclusion
comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là. Au revoir !!! À bientôt
!!! À la prochaine je l’espère !!! Ciao !!! Arrivederci !!! Obrigado
12/07/2023
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