lundi 1 mars 2021

Hors

 

Bonsoir ! Bonjour ! Je sais pas si y’avait des insomniaques qui m’attendaient cette nuit mais me voilà ! Je pense aux enfants de la super maman de Cantley, j’espère qu’ils s’amusent bien. Y’a aussi ceux de la maman photographe de premier jours. Je sais pas si le gars a recommencé à jouer au hockey mais je suis comme lui j’ai hâte, C’est toujours le journal du confinement, je pourrais écrire de l’isolement, écrire ça aide à tenir le coup à faire passé la tristesse, la douleur qui reste quand on a cru être complètement rétablis de la schizophrénie.  Souvent je lis des textes immenses, allusifs quand à la maladie, on fait tout on tourne autour sans la nommer quand ce serais essentiel … Cette nuit la poésie attend pendant que je vire au vent comme le naviguant dans la tempête, le bateau qui vogue sur les moutons blanc maritimes … Je vais essayer d’être sentimental puisque je me tourne vers mon senti c’est pas facile je vais être prosaïque, hier je suis allé chez le voisin pour l’aider à débloquer sa cuvette, j’ai pas réussis, je crois que l’ouvrier y est allé et à débloquer avec ce que j’appelle un « phish » il a réussis … Je sais pas comment ça vas être après la semaine de relâche, j’espère que tout le monde va bien se porter. Je crois que la vaccination va nous aider, Y’a toujours cette voix qui bouscule qui veux que je choisisse les mots, écrire ça calme tout ça, le babillage s’éteins se calme pourtant je veux pas écrire n’importe quoi. Je me répète je veux juste donner un nom littéraire à ma souffrance malheureusement je suis pas de ces poètes à la précision chirurgicale, nommer les choses les écrire c’est important. Le grand Général De Gaulle avait écris son appel il connaissait le pouvoir des mots. Avec la pandémie on auras tous vécu notre moment d’histoire c’est beaucoup pour ça que je tiens mon journal je veux qu’on se rappelle. Les camions passent et épandent du sel des îles de la Madeleine , çe seras moins glissant, moins coulant comme ils disent au Lac-Saint-Jean … Pour le théâtre du Nouveau Monde on approche du tournage, j’ai réussis à mémoriser une partie de mon texte c’est pas facile. Je pense à cette allemande rencontré y’a un moment, elle aime bien les hommes costauds et virils les poètes très peu pour elle. Voilà! C’est presque finis pour cette nuit, la chute toujours difficile j’ai toujours le sentiment de vous avoir tout dis, c’est pas simple … Les camions qui passent devant chez moi sont très bruyant. J’essais de connecter mon âme avec ma tête c’est de la vie ça s’en approche. J’essais de voir ce qui me stimule pour le moment à la fin comme ça c’est diminué. J’ai terminé, comme toujours je vous remercie d’avoir lu jusque-là !!! Lâchez pas vous y êtes arrivé. À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!!

Bernard


1 commentaire:

  1. Il très bon ce texte rempli de poésie. J'aime bien ton allusion aux vagues et à la tempête.Ton marathon d'écriture laissera des marques, tout comme Damien qui chante une toune par jour...Je fais justement une toile maritime😍

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