Bonsoir !
Bonjour ! Ce soir c’est gris, je pense à Londres, on ne peux plus partir le Royaume-Uni
a sa part de COVID-19. Je suis vacciné je vais m’en tirer. Je reste confiné c’est
le journal de ce confinement, y’a des gens qui trainent dehors comme si les
visites étaient pas interdites, c’est d’un je m’en foutisme assassin. Ce matin
je suis sortis j’ai acheté un roman et L’OBS, je m’en veux un peu je devrais
plutôt acheter le journal Le Devoir pourtant le magazine français est très
intéressant y’a aussi l’Actualité mais ça me dis pas de le lire. C’est plus le
temps de rêver de la France c’est trop loin en distance et en maladie… Je pense
à l’ami sclérosé qui a passé des années à Marseille. J’ai démarré avec Londres
pour revenir tout de suite à la France, Je vais comme toujours tenter de vous
écrire mon senti en pensant à ce gars dans le métro la cheville tordue, péter c’est
douloureux, moi j’ai les genoux qui claquent et j’arrive pas à marcher aussi
longtemps qu’avant. J’en ai parlé au médecin je devrais m’y remettre mais à
cause de la COVID je ne sors que pour l’essentiel. J’entends le train qui
passe, je sais pas comment s’appelle sa sonnerie, je pense au train grande
vitesse entre Roissy et Lille. J’y retournerai, j’y retournerai regarder la
campagne du nord français … La nuit est tombée le couvre-feu approche les
adolescents doivent trouver ça difficile, je pense au plus vieux de la
super-maman, je me souviens de mes soirées d’adolescence passées devant un café
au restaurant El Rancho à Terrebonne, je soupais et je partais tout de suite après
comme le grand bum que j’étais. Pas de sport organisé le seul sport que je
pratiquais c’étais le vélo. La vie pour moi est vite devenue sérieuse, je ne
riais plus, je souffrais y’a longtemps déjà … Mon très aimable lecteur
collectionneur de voitures a fait mes rapports d’impôts, je le remercie
beaucoup. Dans le bas de la ville y’en a toujours qui crient tout seul, ça été
long avant que je me pause que j’arrive à vivre et à atténuer cette douleur de
mort, parfois je réalise que ma thématique est toujours la même, un beau grand
voyage à l’étranger serait pas de trop, on verras après la pandémie … Voilà le
week-end qui commence, je vais lire et écrire comme toujours. J’ai hâte de vous
montrer le fruit de notre travail au Théâtre du Nouveau Monde, je félicite tout
les collègues. Encore une heure et c’est le couvre-feu comme toujours il y en a
qui comprennent pas. Quelques mots encore pour terminer, je sais pas trop quoi
vous raconter encore une fois je vous remercie d’avoir lu jusqu’ici !!! N’abandonnez
pas ça y est presque, j’espère que ça vous plait j’essais de faire remonter l’émotion
c’est pas facile, voilà !!! À la prochaine je l’espère !!! Au revoir !!! À
bientôt !!! Arrivederci !!! Ciao !!!
Bernard
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