samedi 3 décembre 2022


 

Bonsoir ! Bonjour ! Dites qu’êtes vous devenus, vous qui dans la nuit dansiez à me faire pleurer, vous que j’essayais de croiser pour partager mon amitié, vous que je n’ais pu aimer car votre amour était déjà donné à celle qui partageais votre identité. Qu’êtes vous devenus à la fin de ces soirées où j’attendais un sourire pas même un baiser, vous qui filiez dans la nuit dans un état achevé vous que j’aimais à me saouler. Qu’êtes vous devenus qu’êtes vous devenus quand je ne pouvais rire et que je préférais pleurer, vous qui fuyiez quand je tentais de m’approcher vous à qui j’aurais aimé que vous pardonniez, vous qui briser tentiez de m’éviter Qu’êtes vous devenus qu’êtes vous devenus dans les rues du quartier a courir comme une mal-aimée vous qui preniez tout ce que vous pouviez à ceux que vous croisiez, vous que je ne cherchais pas a baiser je n’étais qu’un étranger. Qu’êtes vous devenus vous au cœur dur comme l’acier au sourire périmé vous qui mélangiez mais mélangiez les substances et la félécité les virées nocturnes a s’arraché. Qu’êtes vous devenus vous et vos airs policé vos folies engendrées, vous la danseuse qui tentais de me calmer en me faisant entendre le ré en me faisant espérez que vous m’accompagniez pour un café. Qu’êtes vous devenus vous ma muse aux cheveux cendré vous qui m’inspiriez vous qui ne m’avez jamais laisser vous approcher. On ne s’est jamais parler j’aurais bien aimez vous me quittiez avant d’être arrivé. Vous pour qui le bonheur c’étais pas assez vous me laissiez m’en aller je venais pas de l’université j’étais pas scolarisé ce qui comptais pour vous c’étais money. Qu’êtes vous devenue dans quel univers vous baignez ? Celui des illuminées, je sais vous me donnerez pas la clé vous me garderez enfermé derrière cette porte laminé cette cloison fortifié, mais oui je vais m’éloigner quand j’aurai récupérer en pensant à vous ma mal-aimée. Qu’êtes vous devenus, qu’êtes vous devenus vous m’avez assez inspirer, je vous regarde vous habiller dans la loge avant de quitter. Je vous aurai vue danser pour une dernière fois, quelques larmes j’aurai versées j’essairai de vous oublier. J’écris ça par amitié une fois sobre pas trop beurrée et encore qu’êtes vous devenue qu’êtes vous devenue qu’êtes vous devenue …

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