Bonjour !
Bonsoir ! Aujourd’hui il fait très froid, ce matin je suis allé au marché … Je
vais peut-être donner une entrevue à la radio. Hier j’ai participé au conseil d’administration
d’Antenne communication. Pour l’entrevue le plus simple c’est de rester moi-même,
j’ai un peu peur…Ce soir y’a un match de hockey de l’équipe locale, j’attends
le téléphone des communications de l’institut. Je vous mélange tout ça …
Bientôt je devrais avoir une nouvelle tablette électronique, hier j’expliquais
que tout ce que je faisait c’étais dans l’optique d’une déstigmatisation, c’est
pour ça que ce blog existe écrire plus que le délire. Me suis préparé un café,
je vous écris en essayant d’apprendre mon texte… C’est ensoleillé, on dirais
que les choses commencent à bouger même avec la pandémie. Je reste toujours
avec l’idée d’aider de montrer que le rétablissement est possible ça fait
longtemps que je vous ai écris là-dessus … Y’auras pas de voyage ce printemps n’empêche
que j’ai l’Europe en tête, y’a des émissions télé qui sont pas disponible sur
le réseau, une question de droits je crois. C’est toujours le journal de mon
confinement, je reviens à mon senti à essayer de nommer aussi bien ma douleur
intérieure parfois faut vivre avec ne pas croire que les substances vont l’alléger
c’est plutôt la mort … L’hiver et la poudre, l’hiver et la seringue ils l’utiliseront
pour le vaccin, je sais pas si les toxicomanes vont se faire vacciner. Je pense
au no future à comment c’est faux un jour à la fois on y arrive. Je vois les
gars désoeuvré qui arrivent à Montréal
avec l’adresse d’un copain qui va prêter son sofa pour quelques jours ils vont
essayer de se trouver une job mais n’y arriveront pas, ce seras quelques bières
et la rue, la ville c’est beau quand c’est loin. C’est pourris ce que j’écris
cet après-midi, la cuillère, le gareau, la seringue, la neige, le briquet et on
meurs d’overdose où d’hypothermie
choisis… Je vous écris ça j’y connais rien c’est si loin. Ouais! Je suis encore
dans cette thématique que j’exploite pas aussi bien que quelqu’un que j’aime
bien, mon désespoir est parfois loin j’ai pas la dépression toxique, c’est le
soir qui m’inspire pourtant j’aime bien la lumière du jour, je pense aux
semelles qui craquent sur le trottoir graveleux tu passe et tu parle seul dans
le froid … Un abri … J’ai toujours le sentiment que quand on y met du style on
arrive pas aux vrais affaires, c’est encore tabou faut être fait fort, comment
dire? C’est occulté … L’idée c’est pas d’écrire à la mort, elle y seras bien
assez tôt… Je pense à tout ceux à toutes celles qui ont des médecins chaleureux,
le mien il m’explique pas grand-chose. J’ai été habitué comme ça je trouve mes
explications, je fait pas de la fiction. Voilà! J’ai terminé comme toujours je
vous remercie d’avoir lu jusque-là !!!
Abandonnez pas, à la prochaine je l’espère !!! Ciao
Bernard
J'espère que cette entrevue s'est bien passée. Je regarde aussi pour une nouvelle tablette...et il m'arrive de songer à écrire un récit de voyage...Tu as raison les projets s'animent pour toi.💓
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