Bonsoir!
Bonjour! Nuit de samedi à dimanche. Je pense encore à Paris. J’irais bien mais
c’est tellement agité. Je pense à la charmante rue Mouffetard je crois pas qu’elle
est agitée. J’aimerais bien me lever le matin pour prendre un café dans un
bistro tous près. Voir Paris, regarder les édifices façon Haussman et marcher,
marcher… Mais oui j’y suis déjà aller mais y’a encore des choses à voir ne
serait-ce que Versailles où quelques salles du Louvres. Me perdre dans Paris en
prenant la tour Eiffel pour me guider. Aller à Paris c’est le plus simple pour
un voyage de quelques jours. Je crois que je vous avais raconté avoir perdu mon
canif, je l’ai retrouvé il est tombé d’une poche de mon jeans, je suis heureux…
Les voisins sont silencieux c’est bien, j’avais qu’à écrire ça, quelqu’un cogne
sa porte. J’ai commandé le nouveau recueil Spirou, je vais le lire pour ensuite
le poster au fils de ma nièce un fervent lecteur. La nuit est grouillante ce
soir, il fait doux on a pas peur de rester dehors pourtant dormir sur le ciment
c’est difficile quelques un ont choisis leur temps pour devenir sans domicile
fixe pourtant ont dit que c’est pas un choix, c’est une accumulation de déboire
qu’est-ce qui fait dire cette nuit je ne rentre pas j’ai trop d’ennuis avec le
loyer je vais coucher chez un « ami ». Je vous écris dans un état
hypnotique. Cette nuit j’avance
lentement dans cette écriture, je vous ai pas écrit sur mon malaise intérieur,
mon senti douloureux… Je pense à ces deux gars qui dans le café avaient volé ma
tablette électronique. Je me répète encore comme si j’écrivais la même histoire
depuis cent ans… Je me souviens que le samedi le bar se remplissait à partir de
vingt-deux heure. Toujours la même image, les bouteilles, le miroir et ma
tronche que je ne voulais, ne pouvais plus voir. Parfois je croisais une
connaissance, on discutais pas longtemps… Je pense à cette époque dans les
avions où l’alcool coulait à volonté, je l’ai pas connue. J’aurais été très
désagréable… Retour en arrière, je suis assis, j’écoute la musique qui rime
toujours avec alcool. Je sais plus à quoi je pensais, je suis sur la piste de
danse, seul, je ne vois plus rien, la douleur est partie, je danse à go-go… À l’époque
on appelait ça faire de l’expression corporelle… J’ai quitté ce monde nocturne
parfois j’ai souvenir d’être chez un copain pour regarder le hockey… On
veillait jusqu’à fort tard dans la nuit, j’ai du quitter ce mode de vie pour
travailler sur mon abstinence, un jour à la fois j’y arrive, j’essais de me
détacher du monde matériel, du monde de la consommation cette nuit je suis à
jeun. Voilà! Encore une fois je vous ai pondu ces élucubrations. Je termine et
essais de conclure positivement. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! J’en
rajoute un peu pour l’égalité À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire