Bonjour!
Bonsoir! Très beau temps… Cet après-midi je me sent bien, j’ai reçu du
courrier, ça coupe mon angoisse… Je lis le recueil Spirou ça me détend
vraiment. Je vais le terminer et passés à des lectures plus sérieuses. Tout est
maintenant vert, un week-end de trois jours, lundi c’est la journée des
patriotes, l’ami avait un bon point on pourrais se servir du groupe Reprendre
Pouvoir comme d’un levier pour le dédommagement mais je vois pas trop comment…
Je suis calme comme souvent ça me rend muet. Je trouve pas les mots, j’espère
que la super-maman de Cantley m’envoie pas des courriels infectés. Si je fais
quelque chose qui lui déplait elle n’a qu’à me le dire je vais arrêter… J’ai
pas envie de parler maladie, je suis pas de ceux vous savez qui justifient
leurs malheurs parce qu’ils sont malades. Je sors souvent de mon moment
présent, je verrai quand je serai rendus à la rivière… Parfois j’ai besoin d’être
rassuré… Un bonhomme de soixante et un ans qui fait de l’angoisse
schizophrénique, ça excuse rien… Y ‘a quand même toujours quelque chose
qui gosse, la paix de l’esprit c’est ce que je demande. Ce soir je mange du foi
de bœuf avec brocoli carottes et pommes de terre. Les légumes sont à la cuisson…
J’ai souper, y’a encore eu un carnage aux États-Unis… Rien à dire là-dessus,
ils veulent pas réglementer les armes à feu… Comment vous dire que je désire
pas regarder les actualités, c’est juste du négatif. Lentement dehors ça se
réchauffe, je pense aux mains sales de ceux qui ne veulent pas contrôler les
armes à feu… J’ai trop mangé je me sent mal, j’entends les camions qui hurlent
en passant devant chez moi… Je sais pas si je vais arriver à vous écrire
quelque chose encore aujourd’hui. J’ai fait sauter le foi dans l’huile d’olive,
c’est pas mauvais… Je fais tremper la vaisselle, rien d’important à écrire… Les
merles chantent, je suis un peu mal pourtant j’ai eu un bon état d’esprit tout
l’après-midi. Je l’aime bien mon petit chez nous, j’ai qu’à me rappeler ou j’étais
avant j’ai pas envie de déménager… Je veux pas que ça se gâte. Le savon à
vaisselle à quand même une bonne odeur. Vous voyez comment je suis pas très
littéraire, j’ai pas de femme de ménage pour pouvoir me consacrer exclusivement
à l’écriture. Je sais pas quel genre d’aventure vous voulez lire, je suis un
peu dérangé. Combien de temps, comment le jour et tous ces ans et tous ces
tours me veulent vivant me veulent amour… Encore des vers une fois sortis de l’hiver
et revenus au vert, ça vaut rien c’est juste un peu pervers… Voilà! Je crois
que je vais y arriver encore une fois. J’aime toujours vos commentaires.
Vendredi les gens rentrent à la maison, d’autre s’en vont au chalet le préparer
pour la saison. Je vous remercie d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!!
Au revoir!!! À bientôt!!! Ciao!!!
Bernard
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