Bonsoir! Bonjour! Je viraillait dans
mon lit, je me suis levé je préfère vous écrire. La peur commence à me prendre
à propos du voyage, j’ai beau me dire j’ai rien à craindre, je deviens anxieux.
Je pense à mon lecteur chauffeur d’autobus qui me dis que chaque fois qu’il
part en voyage, il a peur mais il faut la dépassé cette peur. L’illustration ce
soir c’est un commerce dans une ville du Rhône y’a plus de trente ans de ça,
une époque difficile où je croyais « guérir » en voyageant. J’avais
oublié qu’en France le vin était bon et pas cher. Je reviens à mon senti, j’ai
pris ma médication, aujourd’hui je disais à la travailleuse sociale qu’il y a
pas un toxicomane qui donnerais une cenne pour ces médicaments. Je pense à un
voisin qu’on ne voie plus depuis qu’il s’est fait opéré pour le cœur… On m’a
conseillé d’aller faire prendre ma pression et mes prises de sang. Pour l’illustration,
je me demande qu’elle espèce de Français fou avait décidé de nommer son
commerce comme ça… J’ai pas réussis à dormir pour le senti c’est pas pire, ceux
qui veulent des récits de pêche qu’ils lisent ça http://www.quebecpeche.com/forums/index.php?%2Ftopic%2F253073-sortie-du-5-mai-faisait-fret%2F C’est le lecteur ami de la Rolls-Royce…
Ouais! Je suis très réveillé demain c’est samedi, je vais marcher jusqu’à la
librairie, ça aussi c’est une chose que je dois faire marcher, en Espagne ça me
dis que je vais beaucoup marcher, je veux voir l’architecture… J’essais de
pensés où je vais mettre mes médicaments dans mes bagages à main ou de soute, à
date j’ai pas eu de problème… Pour ce qui est de mon senti je vais essayer de
pas consommer aujourd’hui… Un autre vingt-quatre heure qui commence… Je me vois
sur le gros nerf dans un bar, j’entends les gens qui jacassent qui parlent
fort. Je sais pas combien ont vraiment du plaisir, y’a un moment dans l’alcool
et la drogue où t’a tout dis, tu répète ad nauseam tes niaiseries… Bon c’est
samedi, j’écris ça et après je retourne au lit. Je me souviens de cette
tension, mes amis de l’époque étaient pareil comme moi ils s’apaisaient avec un
verre de bière pour ensuite se remonter avec une ligne de coke et ils pouvaient
répéter ça des nuits durant. Moi j’étais itinérants je couchais chez l’un et
chez l’autre… C’est finis tout ça, le monde de la nuit c’est maintenant chez
moi… Je regarde sur le toit de l’édifice en face si y’a pas une carabine
pointée sur moi, paranoïa! Je vous disait que j’avais peur de partir mais c’est
important je sais pas si je vais réussir à renouveler ce que j’écris. Reste
encore pas mal de temps avant de partir, je vais réfléchir y’a une difficulté
qui s’ajoute je parle pas espagnol. Je vais essayer de me débrouiller. Ça
parais que c’est le Grand-Prix les voitures sport sont bruyantes. Je termine en
vous remerciant d’avoir lu jusque-là!!! À la prochaine j’espère!!! Ciao!!!
Bernard
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